Le Président De La République Monarque

La 5ème République : naissance et affirmation (1958-1965) I. Une nouvelle République pour la France (1958-1962) 1) Une mise en place rapide Elaboré au cours de l’été, le projet de nouvelle constitution a été présenté par le général de Gaulle dans un discours prononcé place de la République à Paris, le 4 Septembre 1958, jour anniversaire de la proclamation, en 1870, de la 3ème République. Le 28 Septembre, le projet est soumis à référendum. Seuls le Parti Communiste, une minorité de socialistes

la majorité parlementaire : il est donc responsable devant elle et doit remettre sa démission s’il ne dispose plus d’une majorité. Pour cette raison, l’Exécutif est dissocié entre le chef de l’État et le Gouvernement. Le premier, qui peut être un monarque, incarne la continuité de l’État et ne participe pas à l’exercice du pouvoir en dehors de la nomination du chef du Gouvernement. N’ayant pas, en principe, de rôle actif, il est politiquement irresponsable. En revanche, le chef du Gouvernement et

pouvoir est symbolisée par une seule personne, appelée « monarque ». Elle n'est ni nécessairement une royauté, ni nécessairement héréditaire : il a toujours existé des monarchies électives, par exemple chez les Gaulois. Selon la définition de Montesquieu, une monarchie se définit par le gouvernement absolu d'un seul, mais ce pouvoir est limité par des lois. La monarchie est dite monarchie constitutionnelle lorsque les pouvoirs du monarque sont définis par une constitution qui fixe par écrit des

Etat garant de l’ordre. Cet Etat est incarné, selon Hobbes par un monarque tout-puissant qui n’a rien promis et qui est extérieur à ce contrat social. Au contraire, John Locke considère que les Hommes primitifs étaient heureux. Les Hommes ont institué l’Etat pour accéder à un bonheur plus complet. Les Hommes ont passé un contrat avec le futur monarque. Le monarque doit respecter les libertés et la propriété de ses sujets ; le monarque doit rendre des comptes à ses sujets. Traité du gouvernement civil

y sont liés, parmi lesquels se trouve la question du gouvernement qui convient pour la bonne gestion de la société. A la suite de Platon et Aristote qui ont traité de la question liée aux formes de gouvernements, précisément dans la République et la Politique , Montesquieu y compris en fait l’un des objets de sa thématique dans son ouvrage De l’esprit des lois.Voilà pourquoi, ce chapitre abordera la question de la généralité sur les gouvernements

anglais sont toutes des conventions de la constitution . 2 règle fondamental ==> le monarque s'abstient de tt action politique active . ==> le premier ministre démissionne ac son cabinet lorsqu'il est mis en minorité devant la chambre des communes . 2e ex : Notre 5e république actuelle ac l'ex des articles qui déterminent les pouvoirs ou les missions respectives du président de la république et du gouvernement. (article 20 de la 5eme rep : le gouvernement détermine et conduit la

totale liberté pour établir une Constitution. De ce point de vue, ce pouvoir semble donc illimité. Lorsqu’une Constitution est établie selon un mode autoritaire, le pouvoir constituant originaire se trouve entre les mains d’un seul homme : le monarque. C’est alors qu’il établit lui-même une Constitution sans faire appel au peuple et en s’engageant à la respecter. Son pouvoir n’étant alors plus absolu, car il organise et limite ses pouvoirs. On peut penser ici à la Charte octroyée en 1814 par

Renaissance : les arts, catholiques et protestants François 1er (XVIème) Henri IV et l’édit de Nantes (XVIIème) Traite, esclavage, colonie, plantation Perspective, mécène, artiste, humaniste, protestant, catholique, pape Louis XIV, un monarque absolu Louis XIV, Richelieu (XVIIème) Les Lumières Voltaire, Rousseau (XVIIIème) M. BRUNY – M. AUREILLE – Circonscription Marseille 7 Sujet, société d’ordres, privilèges, monarchie absolue Tolérance, philosophe, salons, l’Encyclopédie

L’histoire de France est riche de par ses bouleversements institutionnels et idéologiques aussi rudes que variés. Ainsi, la fille ainée de l’Eglise, traditionnellement monarchie, a vu se succéder des régimes démocratiques, à l’image de la République, auxquels se sont des cadres plus autoritaires tels que le Consulat, l’Empire ou encore la monarchie de juillet, bien que plus modérée que par le passé. Si, de ce fait, la possession du pouvoir a, en théorie et en pratique, subi de nombreuses mutations

Africains nés après l’indépendance en 1960 pour les anciennes colonies françaises le président est doté de pouvoirs importants. Ce régime concentre les pouvoirs entre les mains du chef de l’État : élu au suffrage universel direct légitimité du suffrage il bénéficie d’une majorité parlementaire qui est en quelque sorte à sa dévotion. Le régime français de la Ve République = une forme de présidentialisme (président élu au suffrage universel direct + majorité présidentielle + majorité parlementaire)