Le Présidentialisme

la fois l’ouvrir et le fermer. Le fermer en excluant du domaine de l’article 11 le domaine constitutionnel, trancher la vieille querelle, en exclurent les lois constitutionnelles. Il faut en ouvrir l’initiative, l’article 11 traduit l’ultra présidentialisme de la 5ème République, il est entre les mains du seul Président en période de cohabitation. Il faut accepter le référendum d’initiative minoritaire, qu’un certain nombre d’électeurs puisse déclencher en référendum législatif qui relancerait le

De cette manière, on a bien un régime parlementaire qui pendant les période de concordance des majorité est un régime parlementaire à direction présidentielle (B). A. Une volonté présidentielle influente L’instauration du régime présidentialisme est largement liée à la démarche du GDG. On peut dire que l’élément historiquement important ici c’est la guerre d’Algérie. Les conséquences qu’elle a eu sur le fonctionnement de nos institutions c’est la déviation présidentialiste. Ca

la coexistence d’un président de la République et d’une majorité politique à l’Assemblée nationale qui lui est opposée. Si le chef de l’État ne dispose pas d’une majorité parlementaire de la même opinion politique, il n’est pas le chef de l’exécutif et le présidentialisme change vers cette situation de la dite « cohabitatiton ». En période de cohabitation, la présidence exercée est plutôt symbolique, le président perd certains de ses prérogatives. Le président nomme toujours le Premier ministre mais il faut

cette époque : l'émergence de héros nationaux ou panaméricains (comme Simón Bolívar qui a lutté pour l'indépendance de son pays et a tenté d'unifier le continent) qui entraîne une culture du « chef providentiel » et explique une tendance au présidentialisme (place prépondérante du président dans l'État) ; la doctrine Monroe (président américain, 1817-1825) : « aux Européens, le vieux continent, aux Américains, le Nouveau Monde », complétée par Théodore Roosevelt en 1904, « les États-Unis […] peuvent

certaine stabilité dans le régime politique. Les pouvoirs sont distincts les uns des autres, ils n’ont pas de contacts (ou très peu) et ils ne peuvent se renverser mutuellement, ils se font face. Il faut également faire une distinction entre le présidentialisme qui est pour G. Burdeau une forme de dénaturation du régime présidentiel avec un déséquilibre des pouvoirs au profit du président. Et, enfin, le régime semi-présidentiel qui est pour M. Duverger une déviance du régime parlementaire déséquilibré

des gouvernements entre présidence et parlement . A. De quel organe procède le gouvernement ? Le système de gouv résulte de 2 idées divergentes ce qui explique ses particularités : les idées qui donnent naissance à la 5ème : présidentialisme et parlementarisme , DG voulait le faire procéder du pré (discours de Bayeux ) la contrainte constit par la loi du 3 juin 1958 et l’usage de la 3 et 4ème rep :logique parlementaire. Résultats : on a cette originalité d’avoir un gouv resp mais

république peut exercer de façon totalement discrétionnaire, sans tenir compte de l’avis du premier ministre et du gouvernement. Depuis 2007, avec l’installation à l’Elysée de Nicolas Sarkozy et la victoire de l’UMP aux élections législatives, le « présidentialisme » s’affirme plus nettement que jamais. Assumant à la fois le rôle du président et celui de premier ministre, le nouveau chef de l’état rejette explicitement la théorie des deux domaines en affirmant qu’il a été élu «  pour faire quelque chose

totalement soumis au Parlement que dans les IIIe et IVe Républiques. La cinquième république a introduit donc une nouvelle étendue très présidentialiste. Évidemment, l'Article 5 de la Constitution de 1958, est responsable de cette évolution vers le présidentialisme. Il présente un élément nouveau dans l'histoire françaises, car l’Article démontre que la Constituion suit le Président de la République plutôt que le Parlement, comme dans les constitutions précédentes. D’ailleurs, c ‘est notable que cet Article

Michel de Debré a assuré que les pouvoirs dispensé de contre seing ne sont que des exceptions. En réalité c’est la pratique et non pas la Constitution qui a conféré d’avantage de pouvoir au président sous la Ve République jusqu'à parlé d’hyper-présidentialisme. Ces éléments ne font pas partis du régime mais du système. Cette visions à convaincu beaucoup de monde pendant bien longtemps mais n’a une fois de plus pas survécue à la cohabitation. Conclusion : Le texte de Maurice Duverger montre bien l’intérêt

parlementaire de la Ve République est un régime dit “présidentialiste” = un régime de confusion des pouvoirs, au bénéfice du président de la République, régime où le président accaparent les autres pouvoirs, du gouvernement et du parlement le présidentialisme s‟explique par la légitimité politique du président de la république, qui est sans nul autre pareil : l‟élection présidentielle est depuis 1962, l‟élection la plus importante et cette légitimité s‟explique également par le “fait majoritaire”