Le Prêche Du Père Paneloux

posé sous deux angles différents en justifiant et d’autre part en réfutant l’affirmation du critique. Dans un premier temps nous pouvons dire que la peste est une abstraction car elle est irréelle. En effet le père Paneloux nous le démontre très bien grâce à son tout premier prêche. Pour commencer il utilise une personnification pour décrire la peste puisqu’il dit « Voyez-le, cet ange de la peste, beau comme Lucifer et brillant comme le mal lui-même, dressé au-dessus de vos toits, la main droite

travail qu'il fait la nuit. Explication confuse de Grand : "quelque chose sur l'essor d'une personnalité" • Seconde partie, chapitre 4 : Il va lire sa phrase à Rieux. Ceci a lieu juste avant le prêche du Père Paneloux. Contraste entre l'image idéaliste de l'Amazone et l'angoisse provoquée par le prêche. La lecture de la phrase produit un effet sur Rieux : elle modifie sa perception de la ville. Les "terribles hurlements" se sont éloignés à la lecture de la phrase. Commentaire de Grand sur sa phrase

Rieux fait son apparition : « C’était une petite femme aux cheveux argentés, aux yeux noirs et doux » (l. 183-185). Elle semble d’emblée affirmer une force paisible que la peste ne pourra ébranler. Quelques jours plus tard, le docteur croise le père Paneloux, décrit comme « un jésuite érudit et militant […] qui était très estimé dans notre ville » (l. 271-272, p. 21). Lorsque Rieux l’interroge au sujet des rats, ce dernier répond que « ce doit être une épidémie, et ses yeux sourirent derrière les

Au moment où Paneloux termina son discourt, Rieux se lève pour interpelé l’oratoire. Mon père avec tous le recepé que j’ais pour vous je ne suis pas d’accord avec votre prêche. Je me présente pour ceux qui ne me connaisse pas encore je suis le Docteur Rieux, depuis le début je suis au cœur de l’épidémie, c’est moi qui ai osé en parler le premier et je refuse de croire que la peste est une punition divine, tout cela à une explication scientifique. Cette épidémie proviens d’une bactérie nommé Bacille

une ampleur bien plus grande, et le concierge va mourir dans de grandes souffrances. Il sera, pour nous lecteurs, le premier mort de la peste. Nous faisons aussi la connaissance de quelques personnages qui prendront de l’importance. Il y a le père Paneloux, un Jésuite érudit, militant, mais aussi ouvert aux autres. Nous avons rencontré le journaliste Rambert, mais il y a également Grand, petit fonctionnaire dans l’administration de la ville et Cottard, son voisin de palier. Ce dernier vient de tenter

étouffante : « la ville s’était repliée sur elle-même » (tiré de La peste). Dans le passage d’ Œdipe Roi proposé à la page 306 du manuel, toute la description de ce fléau est le discours d’un prêtre : Camus s’en ai inspiré pour le personnage du Père Paneloux. Celui-ci tient également des discours au même propos : la peste et ses ravages. En dehors des sources littéraires, Camus s’est également inspiré de quelques évènements comme son expérience avec la deuxième guerre mondiale en 1942 que l’on appela

dénouement est-il double ? 5.Où apparaissent la plupart des personnages du roman ? Qu’est ce que cela met en évidence ? 6.Quels sont les 2 personnages principaux ? 7.Que représente Cottard ? 8.Quelles différences faites-vous entre les deux prêches du Père Paneloux ? Pourquoi est-il un personnage ambigu ? 9. Quelles réflexions vous suggère sa mort ? 10.Comment est présenté Tarrou ? 11.Comment considère-t-il la peste ? 12.Que pensez-vous de sa mort ? 13.Que représente son métier pour Rieux ? 14

une ampleur bien plus grande, et le concierge va mourir dans de grandes souffrances. Il sera, pour nous lecteurs, le premier mort de la peste. Nous faisons aussi la connaissance de quelques personnages qui prendront de l’importance. Il y a le père Paneloux, un Jésuite érudit, militant, mais aussi ouvert aux autres. Nous avons rencontré le journaliste Rambert, mais il y a également Grand, petit fonctionnaire dans l’administration de la ville et Cottard, son voisin de palier. Ce dernier vient de tenter

sens à sa vie. S’il n’en trouve pas, il doit alors se révolter contre le cadre religieux et social qui l’entoure. Albert Camus(1913-1960) Albert Camus nait le 7 novembre 1913 à Mondovi. Il a un frère Lucien. Son père est envoyé au front en 1914 et il ne connaitra jamais son père. Sa mère décide de partir à Alger. En 1918, il entre à l’école communale, grâce à son instituteur, il présentera un concours pour rentrer au Lycée d’Alger qu’il réussit. Dans ce lycée, il a comme professeur de philosophie

de nouveau une trentaine. | La découverte de la maladie | - Docteur Bernard Rieux (p. 15)- M.Michel, le concierge de l’immeuble de Rieux (p.15)- M.Othon, juge d’instruction (p.18), sa femme et son fils- Raymond Rambert, journaliste (p.18)- Le père Paneloux (p.23)- Joseph grand, employé de mairie (p.24)- M.Cottard (p.25)- Docteur Richard (p.26)- Jean Tarrou (p.26)- Castel, médecin (p.39) | II | - A partir de ce moment xx- Au bout de quelque temps- Pendant quelques jours- Pendant des semaines- Quelques