Le Prêche Du Père Paneloux

écartés, dans une attitude de pantin. Le vieil homme tenait le bras d’un prêtre que le docteur reconnut. C’était le père Paneloux, un jésuite érudit et militant qu’il avait rencontré quelquefois et qui était très estimé dans la ville, même parmi ceux qui sont indifférents en matière de religion. Rieux demanda au père Paneloux ce qu’il pensait de cette histoire de rats : – Oh ! dit le père, ce doit être une épidémie, et ses yeux sourirent derrière les lunettes rondes. Le docteur Rieux essaye de le soigner

égoïste et refuse de participer aux formations sanitaires de Tarrou. Enfin, il est emporté puisque la seule évocation de l’arrestation suffit à le mettre en colère : « envahi tout à coup d’une rage trop forte pour lui » p 147. Le père Paneloux Le père Paneloux est le prêtre d’Oran et est très estimé par la population. Ce « Jésuite érudit et militant » (p23) porte des « Lunettes rondes » (p 23) en acier. Il est « de taille moyenne mais trapu ». Il est dépeint comme ayant des « grosses mains »

égoïste et refuse de participer aux formations sanitaires de Tarrou. Enfin, il est emporté puisque la seule évocation de l’arrestation suffit à le mettre en colère : « envahi tout à coup d’une rage trop forte pour lui » p 147. Le père Paneloux Le père Paneloux est le prêtre d’Oran et est très estimé par la population. Ce « Jésuite érudit et militant » (p23) porte des « Lunettes rondes » (p 23) en acier. Il est « de taille moyenne mais trapu ». Il est dépeint comme ayant des « grosses mains »

Présentation de l’auteur : Albert Camus est né le 7 Novembre 1913 en Algérie. Son est père d'origine alsacienne et d'une mère d'origine espagnole. Il provient d’une famille modeste. Il est le deuxième enfant du couple: il a un frère, Lucien, plus âgé de 4 ans. Son père est mobilisé en septembre 1914. Blessé à la bataille de la Marne, il meurt à Saint-Brieuc le 17 octobre 1914. Il ne connaitra pas son père. Dès la mobilisation de son mari, Catherine et ses deux enfants vont s'installer chez sa

(L’Etranger, un passage extrait du procès dans la seconde partie, après le réquisitoire du procureur jusqu’au verdict) le nihilisme (Caligula, Acte II, scène X, « l’empoisonnement de Mereia ») la transcendance (le prêche du père Paneloux, La Peste, Folioplus p : 101 à 106 « …le père Paneloux monta en chaire…Dieu ferait le reste. » OU/ET la visite de l’aumônier à Meursault dans L’Etranger, Folio p : 173 à 183 « C’est à ce moment précis que l’aumônier est entré… à la fin »).

les carnets de Tarrou : le vieil asthmatique qui passe le temps en comptant les pois, allongé sur son lit. Ce personnage est un spectateur de la peste et non pas un acteur comme l’est par exemple Rieux. Cette description intervient après le prêche du père Paneloux. On peut donc supposer qu’il existe un lien entre ces deux personnages. Nous allons nous interroger sur le rôle de ce vieillard dans le roman. Nous nous intéresserons tout d’abord au caractère exceptionnel du personnage, puis à son rapport

notre culpabilité est prouvée ? I) De la culpabilité de certains à la culpabilité générale 1. La culpabilité d'ordre judiciaire Meursault est effectivement criminel (meurtre de l'Arabe). Mais, en écho, on peut voir un autre crime, celui du père de Tarrou, qui se rendait criminel en réclamant la tête des accusés. 2. La culpabilité morale En voici plusieurs exemples : celle de Clamence, qui ne sauva pas une jeune femme en train de se noyer ; celle du Christ, responsable du massacre des

habitants de la ville ne veulent quand même pas réaliser et accepter qu'il s'agit d'une épidémie et continuent à vivre leurs habitudes même après la fermeture de la ville. Deuxième partie La fermeture de la ville fait de la peste > 6) Le père Paneloux Portrait physique -prêtre -voix forte et passionnée -porte des lunettes -grosses mains -taille moyenne, mais trapu Portrait moral -jésuite érudit -intégriste rationnel, refuse toute évolution -très sage -très estimé par les habitants d'Oran -homme

attendent. Partie 4 (octobre-décembre) Rambert à eu l'opportunité de quitter la ville, mais finalement reste pour aider Rieux et Tarrou. Le fils du juge Othon tombe malade et meurt dans d'atroces souffrances ce qui ébranle Rieux et trouble la fois de Paneloux. Celui si rentre dans la solitude et meurt sans avoir consulté Rieux. De plus Tarrou et Rieux s'offrent un bain de minuit dans la mer et deviennent amis. A noël, Grand tombe malade et se voit déjà mort mais grâce au nouveau sérum de Castel (collègue

reconnut. C'était le Père Paneloux, un jésuite érudit et militant qu'il avait rencontré quelquefois et qui était très estimé dans notre ville, même parmi ceux qui sont indifférents en matière de religion. Il les attendit. Le vieux Michel avait les yeux brillants et la respiration sifflante. Il ne s'était pas senti très bien et avait voulu prendre l'air. [28] Mais des douleurs vives au cou, aux aisselles et aux aines l'avaient forcé à revenir et à demander l'aide du Père Paneloux. - Ce sont des grosseurs