Le Registre Laudatif

selon le point de vue de Voltaire. Ensuite, dans une seconde partie, j’analyserai les évènements à travers les yeux du protagoniste Candide. D’abord Voltaire donne à sa description de la guerre une dimension esthétique en utilisant des termes laudatifs et de la gradation montante avec l’usage de l’anaphore « si » : « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées ». Ainsi, par la personnification de l’armée, il montre les ressemblances des deux armées, ce qui

la guerre de sept ans (1756).• C'est un pamphlet dirigé contre la guerre, ses protagonistes et ses conséquences1) Une peinture ironique de la bataille :a. Un spectacle de défilé militaire :• Caractère esthétique paradoxal, énumération d'adjectifs laudatifs renforcés par si• Description structurée, ponctuée : 'd'abord, ensuite, enfin' : montre l'ordre du déroulement bataille. • Les qualitatifs et superlatifs 'si bien ordonnée, telle qu'il n'y en eu jamais' : montre la guerre sous un aspect de parade

qui s’adresse-t-il ? Dans quelle condition. :: Le paratexte et le contexte : l’auteur, la date, l’œuvre, le contexte historique et littéraire. :: Les thèmes abordés. :: Le ou les registres dominants : tragique, épique, fantastique, pathétique, comique, lyrique (et puis les nuances polémique, satirique, ironique, laudatif, élégiaque). :: La structure du texte : repérer les différentes parties ou mouvements du texte. :: Et surtout l’objet d’étude auquel renvoie le texte, en mobilisant les connaissances

et « on » donnent un effet totalisant et instaurent l’idée d’une admiration unanime de la cour, tout le monde la trouve d’une beauté extraordinaire. Cette idée est renforcée par les hyperboles «Beauté parfaite » et « admiration » qui relèvent du registre épidictique et qui donnent l’impression d’une énumération de plusieurs aspects de sa beauté inégalable. Nous apprenons aussi que sa beauté ne lui permet pas de passer inaperçue, même dans un lieu « où on était si accoutumé à voir de belles personnes »

tournure superlative « rien n’était si … que » donne à cette description une tonalité épique grâce à laquelle généralement on retrace les exploits souvent guerriers de héros exceptionnels et donc forcément élogieuse. La succession des adjectifs laudatifs, d’un nombre de syllabes croissant et dont le rythme est plus ample relève de l’amplification oratoire dans l’éloge. La valeur esthétique de la guerre passe également par une référence à la musique et donc ici au plaisir auditif grâce à l’usage

il fait la rencontre d’un esclave atrocement mutilé. Lecture L’extrait surprend par la neutralité du ton : le narrateur et l’esclave lui-même ne semblent faire qu’un simple constat. Pourtant, la marque du philosophe apparaît bientôt grace au registre ironique, principal outil de la dénonciation. I. Un simple constat ? A. un narrateur distant Lignes 1-3 Narration/focalisation externe Les lignes qui introduisent décrivent la scène objectivement, d’un ton

linéaire : « L’Aveugle », Sonnets de Charles Péguy. « L’Aveugle » est un des Sonnets de Charles Péguy ; sa composition est tardive (vers 1913). Il s’agit d’un sonnet de facture classique de typologie poétique et de registres pathétique, dans les quatrains, et laudatif, dans les tercets. Le poète décrit la condition de l’aveugle, privé de la lumière du jour ; mais la cécité semble également favoriser le développement d’une sensibilité particulière de laquelle résulte la suprématie des aveugles

fonction d'un certain nombre de consignes rendues explicites par le libellé du sujet " (Bulletin Officiel n° 26 du 28 juin 2001). Elle suppose :   • l’analyse du corpus ou du texte unique pris en compte par le sujet (paratexte, thèmes, genres, registres, énonciation, époques(mvt littéraire), auteurs, objet(s) d’étude concerné   • une bonne connaissance des règles des différents types de textes    I.LES TYPES DE SUJETS Le libellé du sujet est très important et doit faire l’objet d’analyses

(fonction symbolique du portrait) une description subjective ( focalisation interne)à travers laquelle on lit les sentiments de Frédéric : « pressait amoureusement » « les rubans palpitaient » « cette splendeur de sa peau ». Ton laudatif « jamais il n'avait vu... », « splendeur », « séduction »,  « finesse », champ lexicalde labeauté, hyperboles. la sacralisation et l'idéalisation de la femme aimée( fonct° symbolique suite) Dimension aérienne du portrait : le vent

naturels » qui désigne le viol. 2 L’amplification : représentation hyperbolique du nombre de morts - « 6000 hommes » - « environ 9 à 10000 coquins » - « quelques milliers d’hommes » - « une trentaine de mille âmes » 3 Le registre pathétique ( Tableau vivant des victimes révélateur de l’horreur. - Enumération crue des civils morts ou agonisants : « des tas de morts et de mourants», « vieillards criblés de coups », « femmes égorgées », « mamelles sanglantes », « filles