Le Relativisme Culturel

partant de cette thèse: de nature, l'être humain est perfectible, et l'éducation est la réalisation de cette perfectibilité. En seconde partie, on traitera du relativisme des cultures, qui mène à une relativité des éducations, et nous amène à nous poser une question: puisque bien des réflexes qui nous paraissent naturels sont en fait culturels, quelle est la vraie nature humaine ? Existe-t-elle vraiment ? Y-at-il un humain naturel ? La troisième partie sera donc une remise en question de la dichotomie

la simple sympathie manquent. Tolérer est-ce supporter ce qu’on ne peut empêcher? On dit bien de l’oreille qu’elle ne “tolère” qu’un certain niveau sonore, le mot a-t-il le même sens quand on parle de “tolérance” envers telle ou telle différence culturelle ou religieuse?    Le sens commun a tendance à confondre les deux attitudes: entre supporter, malgré nous, ce que nos limites nous permettent de supporter (ce qu’on ne peut empêcher) et respecter ce pour quoi on n’a pas de sympathie au départ (ce

langage ». Donc nos discours sont toujours relatifs aux valeurs culturelles + aux connotations de nos discours. Notion de paradigme scientifique  théories scientifiques incluent également des valeurs. Grammaire matérialiste rationaliste  thèse réaliste « théories scientifiques permettent un accès à la réalité ». = par rationalité scientifique, l’humain est capable de dépasser la relativité de l’apparence sensible + le relativisme de la connaissance ordinaire. Position idéaliste pour philosophes

indigné 2. La dénonciation d’une entreprise violente et colonisatrice 3. Une critique du mode de vie européen II/ A travers une leçon de tolérance 8 1. Un éloge de la vie simple et de la culture des Tahitiens 2. Une leçon de respect et de relativisme culturel 3. Un discours de liberté et de fraternité. Rédigez deux paragraphes : Choisissez dans chaque axe une sous-partie et rédigez pour chacune un paragraphe en utilisant certains éléments de vos réponses précédentes. Rédigez l’introduction

dans un contexte particulier culturel, on exige qu'il y ait une universalité de la règle à laquelle on obéit, sinon on ne voit pas pourquoi appeler cela morale. 3) en même temps on peut se demander si cette universalité est une expérience aussi courante que ce que dit Malebranche. Il peut y avoir des différences de points de vue, et la question est de savoir si cette différence peut être uniquement expliquée comme une forme d'erreur. C'est le problème du relativisme : comment concevoir à la fois

discours indirect libre. Conclusion Dans cet extrait « Des cannibales », Montaigne, à travers le récit de la rencontre avec les brésiliens critique la société française, l’hérédité du pouvoir et les inégalités sociales. Il met en évidence le relativisme culturel en inversant les valeurs. D’autres auteurs dont Montesquieu 2 siècles plus tard avec ses Lettres persanes qui fait une satire de la société, restent dans la continuité car ils utilisent un regard étranger pour critiquer. Ces auteurs mettent

la science, la morale, la politique. II. LA SPECIFICITE CULTURELLE DE L’HOMME. 1. la diversité culturelle Défini comme mode collectif d’existence, il apparait que chaque société a sa culture, par conséquent il n’existe pas de société inculte. Toutefois, la tentation est grande de ne penser qu’à soi. Ainsi, les grecs et les romains qualifiaient les autres peuples de barbares. Dans ce sens ils refusaient d’admettre le pluralisme culturel en prenant leurs culture comme universelle, celle en dehors

LA DIVERSITE CULTURELLE On relève plus de 150 définitions de la culture dans la littérature anthropologique. C'est un terme polysémique, difficile donc de trouver LA définition. On retient alors la définition la plus couramment présenté comme étant la plus complète. Edward TAYLOR 1871 > Culture:"un ensemble complexe qui comprend les connaissances, les croyances, l'Art, le droit, la morale, les coutumes, et toutes les autres attitudes et habitudes qu'acquière l'homme en tant que membre d'une

sociologie s’inscrit dans un inventaire systématique (p.20) qui tente de relier les événements entre eux selon une relation de cause à effet. Les divergences terminologiques ont classé la sociologie soit en tant que branche de l’anthropologie culturelle et l’anthropologie sociale définie comme étant la science des groupements humains, de leur culture et de leur histoire, indépendamment du degré de développement de ces groupes, écrit (Kroeber, 1948) selon l’acception anglo-saxon. Alors que l’école

essaie de plus, de comprendre comment un individu acquiert la culture de la société dans laquelle il évolue, comment son comportement en est déterminé, comment évoluent les relations interculturelles, enfin comment se présente la question d’hégémonie culturelle. Denys Cuche aborde-t-il ces questions à un niveau à la fois restreint et mondial ? La théorie générale de l’auteur est en effet de démontrer à quel point la culture peut être conçue comme l’expression de la diversité de l’Homme. Selon lui, elle