Le Relativisme Moral

met face à eux-mêmes les libéraux qui s’arrêtent en cours de raisonnement. Ainsi, arrive-t-il au final (de cet avant-propos. L’essai étayera le sujet par la suite) à toucher un mot des principes de ce qu’il appelle l’éthique minimale : Le but de la morale n’est pas de régenter absolument tous les aspects de notre existence mais d’affirmer des principes élémentaires de coexistence des libertés individuelles et de coopération sociale équitable. (cfr cours) Reprenons le cheminement de notre auteur.

opinions sont changeantes et instables, l’homme, qui est la mesure de tout, est donc versatile.  Il n’y a pas de vraie mesure, de critères de vérité. Cet humanisme est donc un relativisme radical. Cette pensée politique légitime la rhétorique, l’efficacité. Socrate : - Connais-toi, toi-même » - Il refuse le relativisme de Protagoras et utilise la Maïeutique pour le discréditer. - Il se contente de mettre en évidence l’ignorance des autres sans proposer de solutions. - Il est contre les

réflexion actuelle sur le mythe d’Œdipe les derniers mots de la pièce : « Qui sait » ? = hommage à la richesse du mythe : gloire d’Oe. incompréhensible au monde des préjugés qui régissent la société (incarnée par Créon). - Relativisme moral déjà exprimé dans les paroles consolatrices de Jocaste : l.10 l.36 : le mythe est populaire, se transmet à l’oral ; Sophocle=poète= médiums qui révèlent des vérités invisibles ; « cœurs purs » : ni engoncés dans la rigidité des lois,

animal) L’H est un animal raisonnable, il a raison : il va vivre ds un univers rationnel. * L’’h w, il utilise des outils, des techniques * L’h capable de crée des œuvres d’art * Code linguistique L’H rompt la loi de la N / valeurs morales &politiq : l’H se réfère à Dieu, à la religion. L’H est le seul ê vivant à rechercher le bonheur. L’h : ê vivant spécifique : ê spirituel. L’H est capable de comportement désintéressé, cad qui n’ont x de finalité biologique. L’H est capable de

d’affirmer qu’il n’y a pas de justice en ce monde, car une telle négation suppose une certaine idée de la justice d’après laquelle on juge de l’injustice présente. Kant disait que « même l’homme le plus dépravé gardait au fond de lui une conscience morale, un sens de ce qui est juste. » Le sujet nous interroge sur la légitimité des lois, sur ce qui les rend acceptables à une communauté d’hommes raisonnables. Il nous faudrait un critère pour distinguer les conditions d’une loi juste et de son contraire

menacé. Cette nuance apparaît clairement dans le cadre du sujet: la vérité caractérise des énoncés précis, la tolérance n'est pas le but d'une action mais plutôt une disposition générale qui consiste à se garder des actions intolérantes. Fanatisme, relativisme. On qualifie parfois un peu rapidement de "fanatiques" ceux qui poursuivent sans concession une exigence absolue. Il faudra veiller ici à ne pas simplement condamner les excès mais à réfléchir sur leur origine, à se demander ce qui peut motiver

affinités et s'ouvre au monde? Cependant, le manque d'éducation représente-t-il également un danger pour l'humanité? Seulement, l'éducation, le transfert des connaissances, ne suffisent plus. il est nécessaire que l'homme acquiert en plus un sens moral, un jugement, fasse la différence entre le bien et le mal. en effet, prenons l'exemple de la science et plus particulièrement du clonage, néfaste et dangereux pour l'humanité. Cependant, le clonage est une technique scientifique tres evoluée, technique

de) la raison. [16] Le pluralisme : chaque culture possède sa propre échelle de valeurs, ses propres modes de comportement, tous également absolus, et qu’il est impossible de mesurer à une aune commune. Cette notion, forme radicale de relativisme culturel et moral, invalide toute prétention des Lumières à définir des valeurs universelles. Chez Taylor, nous trouvons des similarités avec le « communautarisme » ou le « multiculturalisme » dont il fait activement la promotion. [17] Taylor est donc

question « quels mobiles peuvent nous inciter d’un point de vue logique à faire telle ou telle chose ? » 2. Il faut que vous interroger sur la nécessité subjective de faire ou de ne pas faire quelque chose. La nécessité peut impliquer un rapport moral avec le sujet. Il faut vous poser la question « quelles conséquences dans le domaine des fins, va-t-il résulter du fait de commettre tel ou tel acte ? » 3. Vous pourrez ensuite vous poser la question de savoir si une discipline trop stricte de la

sont Protagoras, Gorgias (connus par les dialogues de Platon), Prodicos de Céos, Hippias d’Elis ( moins connus ), Antiphon d’Athènes, etc. Ils enseignaient la morale et la rhétorique à de jeunes aristocrates ayant les moyens de payer leurs services, et qui se destinaient à devenir d es hommes politiques . On faisait appel à eux pour apprendre à