Le Rire Mecanique

d’adaptation : capable de s’adapter dans un groupe d’individu Globalement défaillant  trouble mentale ou aliénation mentale ( attacher a quelque chose ) Globalement partielle suivant son mode de vie (ex : couple et célib ) Différente hypothèse : Mécanique ( organique, génétique ) Relationnel  psychologique Innée et acquis : Signes sont inscris dans la génétique ( innée) Signes arrive après un trauma ( acquis ) Ordre et désordre : Regroupé les symptôme c’est mettre de l’ordre dans le désordre

5. regarder l’auditoire entre chaque séquence pour savourer, respirer. 6. repérer au crayon les mots que l’on veut colorer d’un certain sentiment (joie, tristesse, ironie,…) 7. varier le rythme, jamais trop rapide ou trop mécanique. 8. Adapter sa voix à la personnalité du personnage. Activité 3 : Lecture d’un premier texte. Voici une série de textes de R. Devos Les antipodes On pourrait en pousser des cris d'alarme, à propos de pas mal de choses! Parce

Introduction Le propre de l’homme, c’est de rire. Soit mais de quoi? de la mécanisation du vivant comme l’affirme Bergson? De situations qui nous permettent de nous sentir supérieurs ? Pagnol n’a pas tort, le désarroi des autres prête à rire. Toutefois, mon objectif ne sera pas atteint par une formulation concise mais large d’une théorie du principe comique. Je cherche, pour l’enseigner ensuite, des structures comiques qui permettront de faire rire au travers d’improvisations courtes. L’urgence

Citation théâtre Dans les œuvres : Dans les Fourberies de Scapin (II, 7) de Molière, le vieux géronte répète 6 fois la même phrase « Mais qu’allait-il donc faire dans cette galère ». La répétition fait rire car elle transforme le vieillard en une sorte de mécanique enrayé. Dans Tartuffe de Molière (V, 5), l’hypocrite et pique-assiette, Tartuffe, a pour réplique : « Vous qui toussez fort, Madame ». Ainsi il suppose qu’Elmire tousse, pour attirer l’intention de son Mari. Selon la formule du poète

visage teint très blanc, tel un fantôme. Avec Nagg, ils forment un couple mécanique autant dans la gestuelle que dans leurs discours. Ils sont tels deux marionnettes, animées pour faire rire le spectateur et donner de la dérision à la morosité de la pièce ''Qu'est-ce que c'est mon gros ? C'est pour la bagatelle ? ''. Ces deux personnages ne sont alors pas pris au sérieux et malgré leur condition physique, on se permet de rire à leur malheur. Mais si on se permet de trouver ces scènes comiques c'est

théâtre de la fable où l’on observe une histoire se dérouler avec des actions successive qui aurait des conséquences sur l’évolution de la situation. C’est un spectacle qui vit dans l’instant grâce à des improvisations contrôlées. Ce spectacle m’a fait rire, j’ai trouvé les artifices théâtraux très efficace, mention spéciale au coup du décor qui s’effondre pour des raisons que chacun décidera de trouver. L’idée d’aller au théâtre pour finalement ne pas voir une pièce de théâtre « normal » m’a plu. L’idée

Néanmoins son humour ne s’arrête pas ici. Tout d’abord, Proust nous expose des personnages comiques sujets à un humour dit de « caractère ». Lorsque nous découvrons Du côté de chez Swann, nous sommes enclins aux sourires et même parfois au rire. Avant de nous attacher aux détails de cette réflexion, il me semble important de souligner ce qu’est l’humour proustien. Il ne s’agit pas d’un humour grossier, réalisé sous forme de saynètes banales ; le comique de Proust est contenu dans la subtilité

jeu des portraits lui offre une position de domnination, elle donne le ton de la conversation et ceux qui refusent de la suivre par le rire sont menacé d'exclusion sociale. C'est le problème d'Alceste. 3. Le jeu des portraits : Un fonctionnement social ambigu Jeu relatif à la collectivité : il créé une conivence au sein de l'assemblée qui se manifeste par le rire et l'éloge des marquis (v.649). Ainsi, le jeu est un facteur d'identification et d'unification au sein de la collectivité. Néammoins

en conversations creuses, il joue. Son quotidien est traversé de rencontres et de divertissements insatisfaisants. Le rire et l’humour sont importants dans le texte de Beckett. La condition humaine est ici tournée en dérision. Ce rire de la dérision permet de supporter la désespérance de l’homme qui attend un quelconque événement donnant sens à son existence. Mais c’est aussi un rire amer qui met en relief l’écart entre ce que l’homme espérait obtenir de la vie et ce qu’il en obtient, entre ses rêves

Le Malade imaginaire – Molière Scène I,1 depuis « Plus, du vingt-sixième... » à la fin de la scènePrésentation :Eléments biographiques (cf. approche générale de l'œuvre) : dernière pièce de Molière, même s'il n'est pas mort en scène, elle contribue à la légende d'un homme qui a consacré sa vie au théâtre et qui a fait évoluer le genre et sa renommée.Le Malade imaginaire est une comédie-ballet, genre qui plaît à Louis XIV, donc à la