Le Roseau Pensant

donner une vision pessimiste de l'homme pour que le lecteur « ressente » au plus profond de lui-même l'étendue de son « néant ». D'où l'utilisation de la rhétorique pour persuader le libertin qu'il n'est qu'un être misérable : métaphores du « roseau pensant » et du « point » dans l'univers. 2) Ensuite, Pascal veut démontrer que la raison humaine est incapable de concevoir en même temps les 2 éléments contraires de l'homme. Le couple Misère/Grandeur constitue donc dans Les Pensées un noeud inextricable

25, 27). HUGO, se sert aussi de ponctuations fortes et de beaucoup de virgules qui crée un rythme saccadé, rapide dans son discours. Les trois auteurs emploient des figures de styles variées. On remarque une métaphore et personnification « le roseau pensant » (l.1) dans Pensées ; des répétitions et anaphores dans le Traité sur la tolérance « de tous » (l.2), « à toi » (l.4), « entre tous » (l.10 à 12), « que ceux » (l.14, 16, 19) ; et des hyperboles et gradations dans le Discours sur la misère. Ensuite

universelle Marque de la condition humaine, le sujet capable de se désigner, se nommer avec un langage (animal pas de langage > pas de conscience ?), conscience : acquisition tardive chez l’être humain, processus évolutif, Pascal « L’homme est un roseau pensant » : paradoxe condition humaine : faiblesse de l’homme face à la nature, mais a conscience de sa faiblesse alors que la nature n’a pas conscience de son avantage sur l’homme > homme être supérieur III – Peut-on par conséquent refuser toute

« 346 - Pensée fait la grandeur de l'homme. 347 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, puisqu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui ; l'univers n'en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C'est de là qu'il faut

La vision de l’homme selon Pascal I-VISION NEGATIVE DE L’HOMME _ 1-condition de l’homme 3-L’imagination II-VISION POSITIVE DE L’HOMME _ 1-L’homme, un roseau pensant Pascal nous présente l’homme comme marchant entre deux abîmes: l’infiniment grand et l’infiniment petit. L’homme apparaît ainsi comme «un milieu entre rien et tout», perdu dans l’univers infini que nous apprend la science. Cet univers est désenchanté. «Son centre est partout et sa circonférence nulle part». L’homme

habitudes qui engendrent une paresse de l’esprit qui nous empêche de réfléchir). b- Grandeur de l’homme L’homme est certe misérable, mais ils est grand aussi par sa pensée (cf frag 186 “L’homme n’est qu’un roseau pensant, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant”. c- Explication de la double nature énigmatique de l’homme: Pascal passe d’abord en revue ttes les explications possibles, données par d’autres religions, par la philo, … et montre les limites de chacunes de

précepte invite a découvrir notre part universelle. Nous sommes tous des pour soi, des consciences, c’est à dire des libertés. Sois averti qu'elle n'est pas toute. Je terminerai avec cette pensée de Pascal : « L'homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant ». Sachons rester humble et utilisons notre conscience à bon escient. Elle peut ainsi entre un des outils de notre grandeur. Ne serait-il pas préférable de n’avoir aucune conscience des limites de notre condition ?

peut pas La conscience peut se définir comme la connaissance qu’a l’homme de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Elle fait de l’homme un sujet capable de penser le monde qui l’entoure. « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant » écrit Pascal dans les Pensées. Si l’être humain pense que la conscience est une connaissance de soi, il est alors impossible se mentir à soi même. La conscience n’est pas une chose, elle se refuse d’être une substance

140). Sa misère même est une misère de seigneur, car elle procède de son intelligence (§ 398, 399, 402). Il est misérable, mais il est grand car il en est conscient (§ 416). L’homme est un roseau, mais un roseau pensant : 347. – L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce

n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant.»Pascal nous présente l’homme marchant entre deux abîmes: l’infiniment grand et l’infiniment petit. L’homme apparaît ainsi comme «un milieu entre rien et tout», perdu dans l’univers infini que nous dévoile la science. Cet univers est désenchanté. «Son centre est partout et sa circonférence nulle part» (Pensées).L’homme est de toutes parts dépassé par la puissance énorme de la nature, d’où la métaphore du roseau. Sa faiblesse