Le Silence Dans Phedre

lecteur, de partir à la recherche d’un secret à dénoncer. 2ème partie Apport d’argument pour justifier le désordre d’écriture= «  Tant pis pour le désordre » « blanc, creux, échos, franges », ligne (18)= écriture  mémoire. Thème du silence= le silence n’en n’ai pas un en relation avec « rumeur, vent ». Polyphonie= plusieurs voix. (beaucoup de roman au XXème siècle écrient avec la polyphonie). Thème de fragment et de polyphonie mise en relation avec l’énigme= roman sous forme de labyrinthe

cour. > La princesse souffre de sa jeunesse « une femme de mon âge », elle a peu d’expérience, et cherche une solution afin de rester « maitresse de sa conduite ».Elle exprime en peu de mots, par un effet de sourdine créé par les litotes et les silences propres à l’écriture de Mme de La Fayette, l’intensité des périls auxquels elle se sent exposée.> « Quoi que j’en ai eu plusieurs fois le dessein » l.2. Parmi les solutions envisagées, la possibilité de l’aveu s’est présenté deux fois à elle lors

embarrassée. La litote accentue l'impression de l'embarras profond qu'éprouve la Princesse de Clèves. LA PÉRIPHRASE La périphrase substitue au mot propre une expression composée de plusieurs éléments. Pour éviter de nommer Hippolyte qu'elle aime, Phèdre dit: mon superbe ennemi (RACINE) L'ANTIPHRASE L'antiphrase consiste à sous-entendre le contraire de ce qui est affirmé. C'est la figure privilégiée de l'ironie. Quand Valère parle à Élise de l'honnête homme de père que le Ciel lui a donné, dans

distingué parmi les poètes anglo-normands, dans les écrits desquels on devait espérer ,de trouver quelques renseignements sur ce qui la concerne; mais tous, à l'exception de Denys Pyramus, qui d'ailleurs en dit peu de chose, ont gardé un profond silence sur cette muse, bien supérieure à son siècle par ses lumières, par ses sentiments et par le courage qu'elle eut de dire la vérité à des oreilles mal disposées ou peu accoutumées à l'entendre.Les premières productions de Marie sont une collection de

parfois pour faire connaître des méconnues ou des oubliées. C’est ainsi que Anne Delbée a fait revivre Camille Claudel, avec le succès que l’on connaît, que Anne-Marie Lazarini monte deux spectacles sur Virginia Woolf Des Cailloux dans les poches et Un Silence à soi, et un spectacle sur Katherine Mansfield Le Deuil éclatant du bonheur. Viviane Théophilidès crée Ida de Gertrude Stein, tandis que Rachel Salik monte un spectacle sur Suzanne Lenglen, Gertrude morte l’aprèsmidi sur l’amour de Gertrude Stein

quelle mesure Pascal propose une vision tragique de l’homme. Travail préalable : Les élèves ont été invités au préalable à rechercher dans deux tirades de Phèdre de Racine (II, 5 v.670 à 711 et IV, 6 v.1257 à 1294) les composantes du tragique. On rappelle rapidement le rôle de la fatalité (II v.679 à 682 le feu fatal) qui montre Phèdre impuissante face à la volonté divine (les vers 687 et 694 en font d’ailleurs le constat) ; le sens étymologique du verbe « séduire » au v. 682 (égarer, tirer

Présentation d'une œuvre Phèdre est la dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de douze ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et à la religion. Une nouvelle fois, il choisit un sujet déjà traité par les poètes tragiques grecs et romains. Le roi Thésée étant absent, Phèdre finit par avouer son amour à Hippolyte, fils de Thésée et d'une amante amazone. Tout dans Phèdre a été célébré : le tragique, les personnages. Racine fait mourir Phèdre à la fin de la pièce, sur

Auteurs et œuvres Français BAUDELAIRE PREVOST Les fleures du mal - Manon l’Escaut BARBARA.C RACINE L’assassinat du pont rouge - Phèdre CAMUS.A V.HUGO L’étranger - Melancolia La peste -Aux morts de la nuit CORNEILLE du 4 L’illusion comique -Hernanie Le cid VOLTAIRE FLAUBERT - Candide Mme Bovary ZOLA MOLIERE - Thérèse raquin l’école des femmes Don juan LA MARTINE Le lac PLAUTE Amphitryon Le soldat fanfaron

est dans le coma suite à une balle reçue dans la nuque . En faisant de lui sa pierre de patience, sa syngué sabour, elle rejette sa condition de femme soumise ; au père d’abord, à la belle-mère, au mari et à la religion ensuite. Il l’écoutera en silence sans pouvoir bouger, se révolter, parler. Elle va l’utiliser comme défouloir, elle laissera éclater sa colère, jusqu’à ce que la pierre de patience explose Il sera le destinataire de ce monologue ainsi qu’adjuvant puisque grâce à lui, elle s’exorcisera

à succomber, Et j’ai honte du trouble où je la vois tomber. 1375 J’ai vu devant mes yeux Rome entière assemblée, Le sénat m’a parlé. Mais mon âme accablée Écoutait sans entendre, et ne leur a laissé, Pour prix de leurs transports, qu’un silence glacé. Rome de votre sort est encore incertaine. 1380 Moi-même à tous moments je me souviens à peine Si je suis empereur, ou si je suis Romain. Je suis venu vers vous sans savoir mon dessein. Mon amour m’entraînait, et je venais peut-être