Le Souverain Bien Aristote

une époque différente de l’histoire de la philosophie : Aristote pour l’Antiquité, Hobbes pour la Modernité, Levinas et Sartre pour l’époque contemporaine. Le choix qui consiste à mettre l’accent sur cette dernière période est motivé par le fait que la question d’autrui a connu, à notre avis, ses développements les plus importants avec l’apparition de la phénoménologie au 20e siècle. I. Autrui de l’Antiquité à l’époque moderne 1. Aristote (-384 – -322) A. Eléments de contexte historique *

détriment d’autres. De plus, le fait que le bonheur soit communément conçu comme un état stable et permanent, comme une « paix intérieure », montre bien qu’il ne saurait être la simple conséquence de la satisfaction des désirs car ceux-ci sont justement ce qui ne cesse de venir perturber tout « repos » dans un état déterminé. En ce sens, le bonheur est-il bien plutôt la conséquence d’une maîtrise des inclinations, d’une faculté (souvent dite morale) de supprimer les désirs qui viendraient troubler cette

détriment d’autres. De plus, le fait que le bonheur soit communément conçu comme un état stable et permanent, comme une « paix intérieure », montre bien qu’il ne saurait être la simple conséquence de la satisfaction des désirs car ceux-ci sont justement ce qui ne cesse de venir perturber tout « repos » dans un état déterminé. En ce sens, le bonheur est-il bien plutôt la conséquence d’une maîtrise des inclinations, d’une faculté (souvent dite morale) de supprimer les désirs qui viendraient troubler cette

Thèse de Richesse Selon Aristote Dans la citoyenneté d’aujourd’hui, un individu qualifiera la richesse (avoir de l’argent) comme la véritable richesse et acquisition dans la vie, comme sa fin ultime. Aristote, lui, à une autre définition pour la richesse. Pour lui, la richesse est quelque chose que l’on peut viser, ça sert à entretenir l’existence. Il définit la richesse en deux formes que l’on pourra qualifier selon leurs fins. Une des fins dispose des fins limités et des biens indispensables

de satisfaction pleine quasi absolue). En ce sens, satisfaction des désirs et bonheur semblent aller de paire. Ms de fait, il est impossible de satisfaire tous nos désirs. En outre, nous faisons l’expérience que satisfaire un désir ne nous procure bien souvent pas du tout le plaisir escompté (cad imaginé). Il semble donc logique de se dire qu’il vaut mieux ne pas avoir de désirs (du moins, ne pas chercher à les satisfaire) si on veut pouvoir accéder à une certaine sérénité. ( premier élé contraditoire

La société Ce qu’il faut retenir - L’homme, animal politique : Pour Aristote, l’homme est un animal politique. Autrement dit, la société ou cité n’est que le développement des dispositions naturelles de l’homme. La famille et le village subviennent à certains besoins de l’homme, mais il n’y a que dans la cité que l’autarcie est atteinte. L’homme, à l’état isolé ne serait qu’un être inachevé, n’ayant pas réalisé ses possibilités. - État de nature et contrat social : Le point de départ de Hobbes

une part de chance. On peut en effet faire des mauvais choix et nous éloigner de notre quête. Néanmoins Aristote remarque que lorsque l'on mène une action, elle aboutit à la réalisation et à un but mais n'est jamais finie. Ces buts ne sont que des moyens (sortes de paliers) qui nous guident vers d'autres objectifs à accomplir. Ainsi il en ressort que seul l'individu et lui seul peut mener à bien sa conquête du bonheur. Car lui seul se connaît, du moins ses propres désirs. Lui seul sait ce qui peut

PREMIERE SECTION : La Morale I – L’éthique eudémoniste : a) « Ethique à Eudème », Aristote -Réfléchir sur le fait qu’on a de vivre ou ne pas vivre. Opinion des uns et des autres. Celles le plus souvent avancées ne sont pas des opinions suffisantes. Au début, impasse : Pourquoi les raisons que nous avons de vivre nous échappent ? La première thèse positive est celle d’Anaxagore. -D’abord, Aristote nous parle de la vie des plantes et des animaux. Puis de la notre, une vie contemplative

intérieure », montre bien qu’il ne saurait être la simple conséquence de la satisfaction des désirs car ceux-ci sont justement ce qui ne cesse de venir perturber tout « repos » dans un état déterminé. En ce sens, le bonheur est plutôt la conséquence d’une maîtrise des inclinations, d’une faculté de supprimer les désirs qui viendraient troubler cette « paix ». Le bonheur – entre plaisir et vertu Selon Aristote, Socrate et Platon : « Un plaisir pourrait s’identifier avec le plus grand bien, même en admettant

ILe sujet AUn sujet doué d'une conscience souveraine BLes remises en cause de la souveraineté de la conscience C) L'homme, un être de désir IILa culture ACulture contre nature BLe travail et la technique CLa religion DL'art IIILa raison et le réel ALa raison et la rationalité dans le monde BL'accès à la connaissance et la vérité ? C) La remise en question de la vérité DL'étude du vivant, entre matière et esprit IVLa politique AFondation et fondements de la société BL'individu et la société CLe pouvoir