Le Structuralisme Et Constructivisme

servent de références. L’institution est là mais elle sert les motifs et les intérêts des agents et les enserre : c'est la « cage de fer » de la bureaucratie. Autres paradigmes[modifier] D'autres paradigmes fonctionnent en sociologie. Ainsi, le constructivisme social envisage la réalité sociale et les phénomènes sociaux comme étant « construits », c'est-à-dire produits et institutionnalisés. L'émergence récente d'une analyse sociologique fondée sur les réseaux sociaux suggère des pistes de recherche

métropolitain de Paris). Le structuralisme flamboyant Anatole de Baudot Anatole de Baudot met au point un système structurel complexe constitué de planchers ou de dalles courbes en béton d’épaisseur réduite, armés d’une maille métallique serrée, et avec des nervures, toujours en béton armé, reliées à des piédroits en briques creuses armées. La géométrie de la structure, issue d’une réflexion sur les géométries gothiques, conduit à un développement dans des formes de structuralisme flamboyant. Baudot

rattache à celle de Claude Lévi Strauss et au structuralisme. L’approche de Bourdieu qualifié de structuralisme constructivisme : le structuralisme : il existe certaine structure objective (état, institutions….) qui orientent qui contraignent les pratiques et les représentations des individus et ce indépendamment de leur pensée (sans qu’il en ait conscience…) Par exemple, l’état structure objective sans s’être penché de savoir d’où vient l'état ? Constructivisme : les chaînes de pensé, de perception

ni évaluateur, il peut être à la rigueur être maximisateur mais sa préférence incontestable pour le plus plutôt que pour le moins fait l’objet d’une manipulation subtile et inconsciente. Cette vision de l’individu et de la société conduit au structuralisme pour lequel des valeurs et normes sociales exogènes (hors de nous) déterminent un ordre au dessus des individus et hors de leur participation. Tout est déterminé et joué à la naissance. Nous sommes ce que nous sommes et nous ne pouvons y échapper

servent de références. L’institution est là mais elle sert les motifs et les intérêts des agents et les enserre : c'est la « cage de fer » de la bureaucratie. Autres paradigmes[modifier] D'autres paradigmes fonctionnent en sociologie. Ainsi, le constructivisme social envisage la réalité sociale et les phénomènes sociaux comme étant « construits », c'est-à-dire produits et institutionnalisés. L'émergence récente d'une analyse sociologique fondée sur les réseaux sociaux suggère des pistes de recherche

De la série à l’éthos : philosophie de Salanskis Introduction Trois centres d’intérêt chez Salanskis : - Les mathématiques : L’herméneutique formelle, Le constructivisme non-standard (intro et conclu, le reste est « indigeste ») (1999), Philosophie des mathématiques (2008, synthèse des deux autres), Vivre avec les mathématiques (2009, le plus « lisible »). - Lévinas et la tradition juive (mais on n’en parlera pas dans ce séminaire) - Philosophie contemporaine, de tous pays : « Derrida

aboutit à la fondation en 1935, de la société de meubles Artek, chargée de distribuer les meubles d’Aalto. Toute sa vie il réévalua le bois par rapport au béton comme matériau d’expression. Sa propre maison, signale cet éloignement par rapport au constructivisme international. En forme de L irrégulier, elle fut mise en œuvre comme un collage de maçonnerie enduite, de planches rainurées et de briques apparentes. Aalto considéra par la suite que ce changement de mode d’expression qui le fit passer du

ces acteurs non-étatiques se nouent des relations transnationales qui viennent aussi bien concurrencer que compléter les relations interétatiques 18 L’analyse systémique se compose d’une approche formelle qui la constitue et la délimite (le structuralisme mis en lumière par le linguiste Ferdinand de Saussure), d’une logique de fonctionnement (la General System Theory introduite par le biologiste Bertalanffy) et d’échanges (la cybernétique du mathématicien Norbert Wiener). Elle ne peut être réduite

qu’un phénomène peut être récessif aujourd’hui et dominant demain ; 4) K. Popper, épistémologue autrichien, rappelle que les résultats scientifiques ne sont pas des dogmes, chaque fois qu’un problème en découle, ils sont falsifiables. 5) Le constructivisme du sociologue P. Bourdieu à qui, nous répondons en ces termes : il n’y a pas qu’en sciences sociales où l’objet parle, même en sciences de la nature. Le problème pour le chercheur est de savoir ce qu’il fait de la « parole » de l’objet. Fort

Essayons d’en dessiner les limites. L’art de la seconde moitié du XXe siècle a, selon Rosalind Krauss, été révélateur d’une crise des méthodes pour les critiques et les historiens de l’art. Ce qu’elle refuse, globalement, en s’appuyant sur le structuralisme, c’est un historicisme et un positivisme qu’elle juge envahissant et inadapté lorsqu’il s’agit de comprendre l’art post-moderne. Si l’art moderne de la première moitié du XXe siècle représente une fracture formelle au sein de la modernité née