Le Style Dans Tartuffe

convient. Dans les deux cas, le spectateur est « guidé », souvent inconsciemment par l’auteur, à prendre conscience de ses défauts, des défauts de son entourage et de la société pour ensuite les corriger: comme par exemple Molière (1622-1673) qui écrit Tartuffe ou L’avare où il dénonce certes l’avarice mais aussi la tyrannie domestique, le sexisme et l’égoïsme sous une forme comique et divertissante. Nous pouvons ainsi nous poser un bon nombre de questions sur ces œuvres où les auteurs n’expriment pas explicitement

Morts de quatre-vingt-douze … Joug : Contrainte. Trique : Gourdin, gros bâton. Le poème est un sonnet. Rimbaud a utilisé des allitérations en s avec sous, sabot, sautaient, soldat, semés, sillon, christs, sombre, ...On retrouve aussi des figures de style comme des métaphores pales au baiser, des allégories, des synecdoques grandeur salie et des personnifications nous vous laissons dormir avec la république. Les thèmes principaux sont la mort et la guerre.Effectivement, l’auteur semble toucher par la

septante à Berlin. Écrit par Kai Hermann et Horst Rieck, ce récit choquant translate le rêve de s’en sortir d’une jeune fille, mais sans réussite. En lisant ce livre on se trouve dans la réalité de la drogue la plus crue et la plus sordide. Le style direct, le vocabulaire simple donne à ce témoignage une dimension réellement sincère: « Je choisis, tranquillement, le w.-c. le plus propre. Je suis parfaitement calme. Vraiment. Je n'ai pas peur. Je n'aurais jamais pensé qu'un suicide manque

caractère qui vire au drame et qui contient de nombreux éléments baroques. La pièce a été retirée de l’affiche au bout de 15 représentations. Cette pièce faisait partie de la trilogie du menteur dans laquelle Molière dénonce l’hypocrisie religieuse (Tartuffe), l’hypocrisie amoureuse (Dom Juan) et l’hypocrisie sociale (Le Misanthrope). Contexte historique : La cour de Louis XIV : Louis XIV a 27 ans lorsque Molière joue Dom Juan. Il a accédé au trône 4 ans auparavant. Le roi établit progressivement

mode de l’époque. Ses lèvres vermeilles et ses belles dents bien blanches (sans bien sûr qu’il n’y soit pour quelque chose, celles-ci ont une délicatesse pratiquement divine) nous rappellent le portrait que Molière faisait de son dévot personnage du Tartuffe presque un siècle auparavant. Dorine décrit dans la pièce le faux dévot comme « gros et gras, le teint frais et la bouche vermeille ». Cependant Marivaux va plus loin dans l’ironie avec laquelle il dessine la grasse condition de ces personnages.

utilisant les mêmes procédés. - Montrer sa supériorité dans l’art du portrait satirique : Célimène a une maîtrise éclatante du portrait d’Arsinoé. Elle montre clairement que c’est elle la plus forte à ce jeu. - Dénoncer l’hypocrisie féminine : sorte de Tartuffe féminine : ironie omniprésente sur la scène. Conclusion Célimène montre son talent oratoire en ce qui concerne les portraits satiriques. Derrière ce langage, il y a un portrait cruel et blessant, une méchanceté avec des propos assassins qui s’appuient

coraniques, on ne peut que saluer un tel courage, qui n’est pas seulement intellectuel. De bout en bout, ce livre est passionnant. L’auteur a eu beau faire des études de philosophie, il n’en parle pas moins clairement, sans jargon, sans emphase. Le style est vif, alerte, sans recourir à la plaisanterie anticléricale qui nuirait là au sérieux du propos. Que dit donc Hamid Zanaz ? Ce que tout libre penseur, tout libertaire dit couramment, depuis des décennies, des religions judéo-chrétiennes, mais aussi

tromperie : cf. lexique de l’hypocrisie « affecté » (20), « couvrant » (21), « apparence ». Il est donc en apparence très religieux (cf. antithèse « défauts » vs « sainte apparence ») tout en étant en réalité hypocrite et peu charitable. Personnage de Tartuffe qui se cache sous les dehors d’un dévot. Car il est « orgueilleux », fait preuve de « vanité », s’imagine avoir de la « puissance » : l’orgueil est un péché cardinal ! Sa vanité lui fait penser qu’il peut « duper jusqu’à

dramatique de paris. Il devint ensuite comédien dans une troupe amateur, puis fonde dans l'ancienne Comédie parisienne, le Théâtre-Libre en 1887. Le théâtre-libre est un mouvement théâtral novateur visant à ouvrir la scène à de jeunes auteurs, à un style de mise en scène et de jeu d'acteurs en rupture avec le théâtre de boulevard. Le courant théâtral s'ouvre aux écrivains du courant naturaliste français, mais aussi aux auteurs dramatiques scandinaves. Sur son modèle, des théâtres libres se créent à

l'intrigue, la résolution du conflit. Il varie en fonction du genre de la pièce : dénouement comique (heureux), tragique. Exemples : Le dénouement du Tartuffe (1664) de Molière, qui repose sur l'intervention d'un personnage extérieur à l'action - le roi - a souvent été jugé comme une faiblesse de la pièce. C'est en effet le roi qui révèle que Tartuffe est un scélérat dissimulé sous un faux nom et qui permet l'issue heureuse du mariage de la fille d'Orgon avec le jeune Valère. Le dénouement de Phèdre