Le Sublime Et Le Grotesque

étaient baroques puis classiques L’illusion comique : mélange tous les genres théâtraux, mise en abîme les héros doivent choisir entre l’amour et l’honneur  « dilemmes cornéliens » Horace : tragédie Victor Hugo : Préface de Cromwell : mêler le grotesque au sublime, rejet des règles Hernani : comique, voire burlesque, puis mort tragique, ton pathétique, lyrique  excellent mélange des genres et registres Règle des unités = cage Ruy Blas  Drame romantique = refus des règles, se débarrassent des « carcans »

auteurs classés dans ce mouvement, obéissent à différentes règles: - celle de plaire et instruire est la règle d’or du classicisme ; il faut plaire pour pouvoir toucher le public, tout en le purifiant de ses passions. -celle du merveilleux et du sublime: naturel , simplicité -> s'oppose à la préciosité. -celle de la bienséance et de la vraisemblance: on ne doit pas mourrir sur scène. -celle des 3 unités: temps, lieu, action. Les grands genres : l'épopée (qui met en scène l'héroïsme), la tragédie

romantisme » sont l’amour impossible, la nature, la solitude et les ruines. En 1830, un autre romantisme apparait. Il se caractérise par ses personnages complexes et excessifs, qui incarnent des forces opposées, comme le bien et le mal, le grotesque et le sublime. A partir de La Comédie humaine, Balzac crée le réalisme en 1830. Chaque personnage se rapproche le plus de la réalité, il a un prénom, un nom, un métier et un statut social bien défini. Le personnage n’est plus exceptionnel comme au XVIIème

ET en dehors D'ELLE. Ce drame romantique composé en 1830 cause à l'époque une véritable révolution littéraire ! Il met à bas les grandes règles classiques (notamment celle des trois unités : temps, lieu, action). Il mélange également le sublime et le grotesque, choque la bienséance et mêle les registres de langue. Le rideau s'ouvre sur une scène nocturne à Saragosse en Espagne. Dona Josepha Duarte, vieille duègne espagnole du temps du roi Don Carlos, seule, dans la pénombre d'un palais. On entend

Jouer des intrigues bourgeoises où s’oppose les interets personels et le types sociaux. La farce : Elle appelle le rire populaire, le jeux de scène y dominent. Le drame : Apparait en france au 19ème, selon Victor Hugo il veut mêler le sublime et le grotesque et abaisser les barrières qui séparent les genres, en faisant passer le spectateur du rire aux larmes.

mages dépenaillés valent les autres. L'idylle n'est pas seule à se laisser "déchauss(er)"[36], l'épopée y passe aussi. Les Chansons sont les petites épopées des rues et des bois, qui n'ajournent pas la grande mais la complètent comme le grotesque complète le sublime. Fin du grand poète Mais la démocratisation des objets et du personnel poétiques doivent s'accompagner d'une démocratisation de l'énonciation poétique. Il s’agit, pour Hugo, de trouver le moyen de donner la parole au peuple. Jusqu'aux

(les Trois Glorieuses : juillet 1830). Le style de l’auteur “(…)nous voudrions un vers libre, franc, loyal, osant tout dire sans pruderie, tout exprimer sans recherche ; passant d’une naturelle allure de la comédie à la tragédie, du sublime au grotesque ; (…) ; sachant briser à propos et déplacer la césure pour déguiser sa monotonie d’alexandrin ; plus ami de l’enjambement qui l’allonge que de l’inversion qui l’embrouille ; fidèle à la rime, cette esclave reine, cette suprême grâce de notre

un noble qui a un orgueil démesuré, alors qu’il devrait respecter certains codes moraux liés à son statut social : il a l’épée et la toison d’or mais il a dévergondé une jeune fille envers laquelle il a du mépris vers 9 o HUGO mélange le sublime et le grotesque. Pour caractériser le drame romantique dont il parle dans sa Préface de Cromwell : ‘donzelle’ ; ‘fille de rien’ vont par exemple s’opposer à ‘vingt ans d’un labeur difficile’ ou ‘sape profonde, obscure et souterraine’. Cela souligne le mépris

tous les genres : roman, poésie, théâtre (Les valeurs esthétiques et morales du romantisme sont présentes dans la littérature, la peinture, et la musique). * Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. « Le classicisme, c’est la santé, le romantisme, c’est la maladie » de Goethe. Etre romantique c’est « prendre au sérieux ses rêves » selon André Malraux. « Le romantique est en quelque sorte un explorateur à la recherche de terres

le jeune homme ambitieux remet en cause les règles bien établies du théâtre classique, et introduit les thèmes romantiques sur la scène : multiplication des personnages, des lieux, mélange des registres — le vulgaire et le recherché, le sublime et le grotesque – et met ainsi davantage de vie dans un théâtre trop compassé. Revers de la médaille : Cromwell, pièce aux 6000 vers et aux innombrables personnages n’est pas jouée — « injouable » disent certains… C’est grâce à Hernani que le dramaturge