Le Substantialiste

conçue de plusieurs façons : forme de relation sociale diffuse , fondée sur l’influence que certaines personnes peuvent exercer sur d’autres ( contrainte ). En science politique , on distingue plusieurs approche du pouvoir : - approche substantialiste : le pouvoir est assimilé à un capital , qu’on acquiert , qu’on accumule , qui produit des avantages et que l’on peut dilapider. - approche institutionnelle : prendre le pouvoir ici est prendre le contrôle des institutions politiques ( faire

être définie comme le degré d’importance qui lui est socialement conféré. La valeur repose donc sur une « estimation sociale », selon une expression utilisée par Maurice Halbwachs. Cette conception sociologique s’oppose à des conceptions plus substantialistes issues de l’économie, qui voient dans la valeur le produit de la quantité de travail incorporée dans un bien ou un service (valeur-travail), ou dans la rareté et l’utilité (valeur-utilité) et qui distinguent traditionnellement valeur d’usage

être définie comme le degré d’importance qui lui est socialement conféré. La valeur repose donc sur une « estimation sociale », selon une expression utilisée par Maurice Halbwachs. Cette conception sociologique s’oppose à des conceptions plus substantialistes issues de l’économie, qui voient dans la valeur le produit de la quantité de travail incorporée dans un bien ou un service (valeur-travail), ou dans la rareté et l’utilité (valeur-utilité) et qui distinguent traditionnellement valeur d’usage

droit et en délaissant la dimension ethnique du problème. o La réaction du souverainisme : En réaction à la prise de position de Habermas, un courant intellectuel français mais aussi britannique a réagit en produisant une interprétation plus substantialiste de la citoyenneté et la République. Ils sont appelés les « nationaux souverainistes », les « républicains nationaux ». Parmi eux, on trouve Paul Thibaud, Dominique Schnapper, Régis Debray, Emmanuel Todd, Pierre-André Taguieff ou encore Alain Finkielkraut

Pour une approche relationnelle du pouvoir La définition du pouvoir est la capacité de produire un effet, la possibilité d’action sur quelqu’un ou sur quelque chose. On peut distinguer 3 grandes façons d’étudier le pouvoir : - La perspective substantialiste (qui désigne ce qui existerait en soi): le pouvoir est une substance, une chose que l’on peu détenir comme quand on utilise l’expression « avoir du pouvoir ». Le pouvoir est assimilé à une propriété quasi magique mais ça ne permet de penser la

qui dispose du monopole du contentieux Lorsque acte les concerne des personnes ou des entreprises peuvent saisir cour de justice L’UE ne remet pas en cause la souveraineté des E b. Le maintient des souverainetés. 2 conceptions: Substantialiste: ensemble de compétences importante si E ne les exerce plus l’E n’est plus souveraine. Conception des souverainistes. Approche qualitative de la souveraineté : 1 qualité à disposer d’une puissance absolue. J Bodin 16e. Selon cette approche

crancier est dans limpossibilit dagir. - Effets de la prescription extinctive Lorsque le dlai de prescription sest coul, lobligation est teinte. La majorit de la doctrine considre que la prescription teint tout la fois le droit et laction (analyse substantialiste). La prescription ne produit quoi quil en soit aucun effet automatique, mais doit tre invoque par la personne qui y a intrt. Fiche 13 La gestion daffaires Envisage aux articles 1372 et s. C. civ., la gestion daffaires suppose quune personne (le

reposent les conceptions du transsexualisme et du trouble de l'identité de genre présentées précédemment. Que ce « noyau » soit culturel ou naturel, le débat reste ouvert chez les spécialistes. Ce qui importe à notre sens, c'est son caractère substantialiste. Caractère qui fait de l'identité sexuelle – dans ses deux occurrences possibles – un trait anobjectif de l'individu, une relation pure, préconsciente, à soi-même. L'énoncé du mauvais corps, qu'on n'exclura pas complètement du champ de la pathologie

d’empêcher le créancier d’exiger du débiteur le paiement de l’obligation prescrite. Mais, pour expliquer ce résultat, deux thèses s’affrontent et la réforme de 2008 n’a pas tranché le débat. Distinction entre la thèse processualiste et la thèse substantialiste. Dans la 1ère opinion, la prescription n’affecterait pas le droit lui-même mais seulement sa mise en œuvre judiciaire. Le droit existerait toujours mais comme il n’y aurait pas de moyens forcés d’exécution, le débiteur en serait libéré

scientifique, les conditions qui permettent à la pensée scientifique de surmonter les obstacles, en partie « verbaux », qui l’entravent dans son progrès. L’un de ces « obstacles épistémologiques », comme les appelle Bachelard, est l’obstacle « substantialiste », qui nous fait concevoir les phénomènes physiques comme l’expression de propriétés qui seraient inhérentes aux corps qui les possèdent à la manière dont un adjectif est attribuable à un substantif8 et nous empêche ainsi de reconnaître que la