Le Travail Taylorisme Fordisme Toyotisme

Ch. 3 – Organisation du travail et croissance L’organisation du travail a subi de multiples mutations au cours de l’histoire. Chaque forme d’organisation n’a pas forcément balayé la précédente. Toutefois, ces transformations ont eu des conséquences sur les conditions de travail ainsi que sur le contenu et les formes du salariat. Notions essentielles et complémentaires : division du travail, qualifications, taylorisme, fordisme, toyotisme, contrat de travail Mécanismes à savoir expliquer : Les

LE TAYLORISME SYLVAIN Mickaël. Guy CAIRE, 1985, « lectures du taylorisme », Revue de l’Economie Sociale n°3 et 4, distingue trois dimensions du taylorisme : 1.Un ensemble de principes de gestion du travail, élaboré par Frederick Winslow TAYLOR, dès 1904 dans Shop management, et surtout en 1911, La direction scientifique des entreprises (1927 pour la traduction française) 2.La doctrine sociale de Taylor, c’est-à-dire, l’idée, attribuée à tort à Ford même s’il l’a bien mise en pratique, d’une

et sa vision du Management : -Taylor, l ’Organisation Scientifique du Travail - Fayol, le Principe Administratif - Weber, la Bureaucratie 2/ l’Ecole des Relations Humaines et sa vision : - E. Mayo, père des relations humaines - A. Maslow, la pyramide des besoins - F. Herzberg, la théorie des 2 facteurs - Mac Gregor, les théories X et Y 3/ les tendances récentes du Management : - Toyotisme - la théorie Z 1/ l’Ecole Classique et sa vision du Management :

dynamisme technologique te lutte contre les inégalités sociales  Accords tripartites (syndicats, patronat, état°  Rôle majeur d’un syndicat fort - Le modèle étatique (France, Italie) :  Rôle central de l’Etat dans le domaine du travail, de la concurrence, de l’insertion dans l’économie internationale  Syndicats multiples selon affiliations politiques La victoire par défaut du modèle capitaliste ? L’adoption du modèle rhénan pour la France est difficile faute d’institutions

en place de deux organisations du travail : l’étude du travail et sa séparation en différentes tache, l’ensemble étant accompli par un ou plusieurs travailleurs, ayant pour but toutes 2 de contribuer à la croissance économique : augmentation soutenu et durable d’un indicateur : le P.I.B. Cependant jusqu’à quel point ces organisations du travail peuvent-elle permettre de contribuer à la croissance ? Nous observons dans un premier temps que l’organisation du travail tayloro- fordienne est le moteur

Organisation du travail et croissance. Introduction : Division du travail et productivité. Doc 2p98 : Définir la division du travail Division du travail : répartition du travail entre les individus ou des groupes spécialisés dans des activités complémentaires. La division technique du travail dans l’E : * la division du travail horizontale * même niveau hiérarchique entre salariés ex : entre ouvriers spécialisés ou entre ouvriers qualifiés. * la division du travail verticale

naissance d’entreprises familiales, SA, taille nationale, avec production artisanale, puis production de masse grâce aux méthodes importées des EU (travail à la chaîne, production en série, fordisme) car demande croissante, ouvriers peu qualifiés (OS) - Depuis 1960/70, développement à l’inter, le manager et actionnaires hors famille, groupe Peugeot-Citroen, toyotisme. b/ De manière générale, le renouvellement des méthodes de production et l’essor des grandes entreprises - Au XXème, forte croissance

En effet dans la logique du Taylo-fordisme qui reprend les bases de la division du travail, des exemples montrent que ce système d’organisation du travail a des obstacles qui ne sont pas en faveur de la croissance. Ces deux organisations permettent d’intégrer une main d’œuvre peu qualifiée à une époque ou les besoins en main d’œuvre de l’industrie sont importants. L’aspect de la division horizontale, fait que la spécialisation du travailleur ne lui permet pas de pouvoir alterner de poste, de ce fait

financiéres) : Adam Smith,philosophe écossais de XVIIIeme siécle définit les causes de la richesse comme: -''la division du travail:Les racines de l'idée de ''la meilleure façon de produire''de Taylorisme ce qui vise à optimaliser la capacité de production par l'organisation scientifque du travail. -''l'accumulation du capital:L'idée fondamentale du capitalisme ce qui vise à maintenir un capital en le grandissant par des entreprises comme le commerce,le textile,la production de l'énergie

e toyotisme serait le modèle idéal de l’organisation de l’entreprise. Mais sa mise en place au Japon a pris plusieurs dizaines d’années et n’a probablement été possible que parce que le modèle social japonais pouvait l’accepter. D’autres grandes entreprises ont bien essayé de l’appliquer au sein de leur organisation et à chaque fois, elles ont connu un échec retentissant. Certaines multinationales ont cependant décidé d’appliquer quelques concepts toyotistes : * Le juste-à-temps : système