Légitimation

premier temps la légitimation du viol conjugal bien que limitée avant 1990 puis dans un second temps la reconnaissance du viol entre époux depuis 1990. I) une légitimation du viol conjugal bien que limitée avant 1990 Dans un premier temps nous verrons que le « devoir conjugal » est à l’origine de la légitimation du viol entre époux puis dans un second temps que la définition du viol est bien présente mais restreinte. A) Le « Devoir conjugal » à l’origine de la légitimation du viol entre époux

fabriquent les décisions et comment elles sont légitimées aux yeux des citoyens. Pour cela, il cherche à dénouer " le paradoxe d’un gouvernement de l’Europe reposant tout à la fois sur des institutions relativement fortes et sur des processus de légitimation extrêmement faibles " (p. 59). Ou bien, dit autrement, il formule l'objet de sa recherche en se posant la question de savoir " comment gouverne-t-on durablement une Union européenne qui, de toute évidence, comporte un lien social particulièrement

La notion émotionnelle est primordiale ici. Il pourrait s’agir de couvrir la cruauté provoquée par la décision en question, en usant de charmes (d’ailleurs exploités grâce à l’intellect) et de séduction. Cela induit par conséquent la notion de légitimation de la décision. La présence éventuelle d’un décidé, d’un passif, implique ainsi pour le preneur de la décision d’user de moyens pour la légitimer (dans une société démocratique) ; ou de l’imposer par la force (société totalitaire). Son rôle va

diversifiés et articulent plusieurs sources de légitimation, qu’elles puisent dans les institutions modernes, comme les élections démocratiques, ou les légitimités traditionnelles, mutées et adaptées aux systèmes parfois exogènes comme l’idéologie communiste. En démocratie, la légitimité politique provient essentiellement des élections. Or ce modèle de démocratie représentative reposant sur le suffrage universel doit, cohabiter avec des modèles de légitimation traditionnels. L’Histoire et l’ethnologie

« La souffrance rédemptrice  : légitimation ou subversion religieuse de la violence ? » Jean-Guy Nadeau Théologiques, vol. 13, n° 2, 2005, p. 5-19. Pour citer la version numérique de ce document, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/013602ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction)

dresse un portrait humoristique et tranchant de la génération X. Éminemment postmoderne, il permet d’établir, par le biais d’exemples, les caractéristiques majeures de cette esthétique. De plus, il présente la critique littéraire dans son rôle de légitimation par l’intermédiaire d’un personnage principal qui s’adonne à ce travail. Enfin, il met en scène les oppositions entre la génération X et celle des baby-boomers ouvrant ainsi la porte à l’étude sociologique. La présente séquence didactique s’applique

gouvernés aux gouvernants ? N’y a-t-il pas risque, par cette suprématie, d’une atteinte à l’idée d’une « démocratie du peuple » et « pour le peuple » ? Ces considérations font clairement apparaître deux champs en apparence contradictoires : la légitimation de la justice constitutionnelle comme institution régulatrice de l’identification des gouvernés aux gouvernants opposés, a priori, à son intrusion dans les fondements et finalité de la démocratie.La justice constitutionnelle confinée dans le cadre

peines de prison, amendes, dommages et intérêts… -La légitimation de la domination et de la force de l’Etat se fonde sur la légitimation traditionnelle, la légitimation charismatique et la légitimation légale-rationnelle. Ainsi l’Etat se fonde sur la force qui est elle-même légitimée par différents canaux permettant à l’Etat de justifier son éventuel recours à la force pour faire respecter ce qui découle des trois formes de légitimation wébérienne. CONCLUSION La force parait capitale

la fonction « propre » (enseignement) et la fonction « externe » (lien avec la société, légitimation de l’ordre établi) du système d’enseignement. « La tendance à la conservation du système d’enseignement et de la culture qu’il conserve rencontre une demande externe de conservation sociale ». C’est en se prétendant autonome (ce qu’il est) que le système d’enseignement masque sa fonction externe de légitimation de l’ordre social (reproduction de la distribution du capital culturel). Pour se convaincre

intéressés par les mécanismes qui assurent l'accession au pouvoir. A cet égard, le problème de la légitimité du pouvoir est une préoccupation fondamentale.             A notre avis, la légitimité du pouvoir est un problème de discursivité. L'acte de légitimation du pouvoir pour un groupe politique est le résultat d'une activité discursive d'une grande amplitude, déroulée sous des formes diverses, avec des intentions différentes et en usant de canaux de communication très diversifiés. D'où cette préoccupation