Les Biais Cognitifs Et La Prise De Décision

La psychologie sociale est une discipline qui en tant que branche commune à la psychologie et à la sociologie (une psychologie pour sociologues en même temps qu'une sociologie pour psychologues) s'intéresse d'une part à l'influence des processus cognitifs et sociaux sur les relations entre les individus (relations interpersonnelles), et d'autre part à la façon dont ces deux dimensions en interagissant entre elles produisent tantôt du « social », tantôt du « psychologique ». Schématiquement, elle étudie

entreprises. La question du développement industriel invite à développer la réflexion, d'une part, sur l'impact 2 de l'expansion des sociétés modernes sur la notion de risque et par suite sur les comportements des individus et leurs modes de décision, et d'autre part, sur l'adéquation des mécanismes existants de gestion du risque industriel à l'ensemble de ces évolutions. L'étude présentée ici est une réflexion sur l'intégration de la précaution (apprentissage du risque et prévention) dans le

les idées rationnelles ne suffisent pas en politique(P1). Premièrement, étant de simples mortels, nous sommes limités dans notre prise de décision. Notre rationalité est influencée par nos biais cognitifs pour raisonner[footnoteRef:1] et ceux-ci lorsque nous sommes face à un choix peuvent nous mener à des raisonnements incorrects et nous limiter dans la prise d’une décision réfléchie (SP1). Deuxièmement, certains politiciens ont recours à l’appel aux émotions et donc à la flatterie, car ce moyen peut

de sa consommation), caractéristiques de la décision d'achat au sein de la famille (rôles, influences). La fin du chapitre est consacrée à l’analyse de l’impact des ressources discrétionnaires des individus sur leurs CAC : ressources financières (revenus, patrimoine), temporelles (loisirs, temps rémunéré, temps contraint domestique, temps contraint personnel), ressources cognitives et psychocognitives (connaissances nécessaires pour prendre une décision d'achat ou utiliser un produit). Le chapitre

approche comportementale séduisante..................................................................... 23 A. Les fondements de la finance comportementale ......................................................... 24 B. La présentation des principaux biais comportementaux.............................................. 31 L’ANALYSE JURIDIQUE RENOUVELEE PAR LA PORTEE SECONDE PARTIE NORMATIVE DE LA FINANCE COMPORTEMENTALE ................................................. 39 I. Une réglementation aux

sociale et de la psychologie du travail II. Modèles théoriques ¾ Classifications de Kanfer (1990) et Levy-Leboyer (2002) Besoins/Mobiles/Valeurs – Choix cognitif – Socio-cognitives JA 2006 (I. Définitions ) Les théories de la motivation : les apports de la psychologie sociale et de la psychologie du travail Besoins/Mobiles/Valeurs Choix cognitif Socio-cognitives Modèle VIE (Vroom) Théorie de la fixation des objectifs (Locke) Approche cognitive Interactionnelle (Atkinson) Théorie de l'autorégulation

Les influences inconscientes De l’effet de nos émotions et croyances sur nos jugements Notre existence est jalonnée de décisions, de choix souvent hâtifs aux prises avec peu de rationalité.. il y a  en en effet peu de chances que je fasse appel à du discours « raisonné » lorsqu’il s’agira de faire un achat, décider d’un crédit, rompre une relation et en débuter une nouvelle.. Pourtant nous demeurons persuadés que, pour peu que nous procédions de manière rationnelle, ces « choix » « problématiques »

Mellon (March & Simon 1958, Simon 1960 par exemple), de nombreux travaux se sont intéressés à la façon dont se construisent les choix stratégiques dans les entreprises. La logique dominante de ces travaux a longtemps été d’assimiler stratégie et décision stratégique (Langley et al. 1995, Laroche 1995) et par conséquent stratèges et dirigeants (Chakravarthy & White 2002). Pourtant, de nombreuses recherches ont mis en lumière le rôle fondamental joué par des acteurs opérationnels dans la définition

Mellon (March & Simon 1958, Simon 1960 par exemple), de nombreux travaux se sont intéressés à la façon dont se construisent les choix stratégiques dans les entreprises. La logique dominante de ces travaux a longtemps été d’assimiler stratégie et décision stratégique (Langley et al. 1995, Laroche 1995) et par conséquent stratèges et dirigeants (Chakravarthy & White 2002). Pourtant, de nombreuses recherches ont mis en lumière le rôle fondamental joué par des acteurs opérationnels dans la définition

Quelle rationalité pour la décision stratégique ? Introduction : Accroche : Difficultés de l’industrie automobile américaine qui résultent de décisions stratégiques déplorables sur le choix des modèles à fabriquer puis à commercialiser (quasi absence de motorisations hybrides, gamme de véhicules polluants et gros consommateurs d’essence). Annonce du dépôt de bilan de Général Motors à la presse le 28/05/2009, plan de sauvetage de Chrysler par le gouvernement américain (prise de participation dans le