Les Champs Lexical De La Tempete

un univers marin agité. C’est bien une descente en enfer que va devoir affronter le poète. Cependant le poète semble euphorique face à cette situation. Rimbaud juxtapose le champ lexical de l’allégresse à celui du danger : «  les clapotements furieux des marées » avec « enfants » «  tohu-bohus » et « triomphants », « tempête » et « béni ». Cet état est résumé au vers 14 et 15 : « Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes ». Cette liberté nouvelle

| | |récit |Construction en labyrinthe. | | |Lexique |Champ lexical : | | | |--regard. | | |

CHANT D'AUTOMNE , CHARLES BEAUDELAIRE champ lexical de la mort:"funèbre ,tombe, succombe, cercueil;Adieu" plusieurs sorte de mort sont évoquer=>"une mort soudaine",'la mort des innocents" avec les bélier et la mort criminel avec l'échafaud (thème de faute originel)=>se situe dans la tradition religieux chrétien Métaphore de la mort:l'obscurité:"ténèbres,s'oppose a la clarté:"blanc" le froid ,la glace:"l'hiver" qui s'oppose à "l'été" Métaphore de la noyade:" plonger " Métaphore de la

ondulation » = Ces mots évoquent une danse orientale comme la danse du ventre. « Son voile » l1 « les brillants de ses oreilles sautaient» l16 « l’étoffe de son dos chatoyait » l17 « de ses vêtements jaillissaient d’invisibles étincelles » l17= Champ lexical des vêtements et de la lumière avec les mots : étincelles, brillants, chatoyaient… : Montre à la fois la richesse de la beauté de Salomé Mais aussi les types de vêtements prouvent qu’il s’agit d’une danseuse orientale L5 «

Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Problématiques : « Je me propose de montrer en quoi … »  - En quoi ce poème rend compte de la condition du poète ? - En quoi le détour par l’allégorie amplifie la portée du poème ? + annonce du plan : « aussi, dans un  premier temps … » I- Ce poème est un récit des persécutions subies par l’oiseau. A) Le cadre * La mer (champ lexical) est  un  cadre  important

« peaux-rouge » qui désigne les indiens d’Amérique, « blés flamand » nommant les Pays-bas et la Belgique et « coton anglais ». Le Poète évoque plusieurs zones géographiques étant éloignées, cela montre la longueur du voyage a travers ces destinations. Le champ lexical du temps montre que le voyage ne ce fait pas en 1 seule journée mais sur une durée assez longue : « l’autre hiver »v.10 , « dix nuits »v.16, « l’aube » v.31 et « le soleil bas »v.. Il y a dc une double opposition entre la nuit et le jour puis l’été

boitant, l’infirme qui volait ». De plus, on peut penser que « ces hommes d’équipages » se permettent de tel s gestes car ils sont dans leur environnement : la mer. Le champ lexical de la navigation vient nous conforter dans cette idée. Nous avons donc « les hommes d’équipage » v1, « des mers » v2, « le navire » v4, « aviron »v8 et « tempête »v14. Nous voyons également que c’est un jeu courant grâce au premier mot du poème : « souvent ». Cet acte est cruel mais il l’est d’autant plus s’il est habituel

caractérise par une volonté d’exprimer les extases et tourments du cœur et le l’âme, il cherche l’évasion et le rêve qui peut être morbide ou joyeux. Baudelaire parle d’évasion, il rêve : il dit «  les mains au menton » au vers cinq. On retrouve le champ lexical du ciel « astrologues », « clochers », « la lune », « grands ciels », « étoiles dans l’azur », qui accentue le phénomène de rêve et d’évasion avec de la hauteur et de l’infini « monter au firmament », « rêver d’éternité ». II) Les différents

poème occupait la deuxième place dans l'édition de 1861. S'il reflète peut-être quelque lointain souvenir du voyage exotique effectué par Baudelaire dans sa jeunesse, l'oiseau est ouvertement allégorique dans le dernier quatrain en remplaçant le champ lexical maritime par celui de la difficile "marche sur le sol", terrestre et dénuée de toute fluidité. Une telle solidification qui a commencé dès le deuxième quatrain instaure donc une dégradation. De ces 4 quatrains on ne retient souvent que le dernier

faiblesse du roseau, mais faiblesse uniquement apparente, car sa force vient de la souplesse, ce qui lui confère de l’habileté. En effet, « je plis mais ne romps pas « au présent de vérité générale : l’identité du chêne était « mon front brave la tempête ». • Nous remarquerons une diérèse appuyée sur le mot « compassion », vers 18, qui montre bien la réponse du roseau au chêne sur sa charité. Le roseau rejette la charité du chêne, et montre ainsi qu’il n’est pas dupe sur le jeu du chêne qui essaie