Les Champs Lexical De La Tempete

Commentaire texte Cléopâtre captive, acte III : « Voulez-vous donc vostre fait excuser ?… N’est que mourir, ou bien ce n’est que feindre. » Au milieu du XVIème siècle les écrivains et poètes du groupe de la Pléiade rompent avec la poésie médiévale et se tournent vers l'imitation. À cette époque, les œuvres étaient le plus souvent anonymes relevant du théâtre religieux, avec les miracles et les mystères joués sur les parvis des églises. Il y avait aussi un théâtre profane avec les soties

tirent les bateauxLibération dès le premier versV8:"les fleuves m'ont laissés descendre où je voulais"Accélération du rythmeV9:le bateau par en haute merEnjambement de "je courus",v11Course d'un bateau: intégralité de son itinéraire même dans la tempête le bateau est à l'aise, v13Éveil maritime:1ère expérience tout à fait accepté par la merb)cette libération se fait avec une certaine violencev3,4:"des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles/ Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs"liberté

Ulysse nomme t-il la mer ? Dans l'Odyssée on trouve six mots désignant la mer : - Thalassa ( mot grec , le plus courant) - Pontons (chemin) - Aitma (gouffre) - Hals ( saumure) - Pelagos ( mer du large) - Benthos ( âbime) 2) Le vaste champ lexical maritime: page 92 à 95 : " vague" ; "l'eau"; "la lame " "le ressac"; "la mer" ; "l'ecume" "l'onde"; "les flots" ; "le remous" " la houle "; "les courants" ; " le gouffre"

possède les caractéristiques d’un monarque absolu. Pour illustrer cette idée, nous pouvons remarquer tout d’abord qu’un champ lexical du pouvoir traverse la fable : il est question d’un oiseau nommé « Roitelet » (vers 3); on dit du vent qu’il « oblige [le roseau] à baisser la tête » (vers 6); La Fontaine emploie les mots « Royaume » (vers 16) et « empire » (vers 32). Ce champ lexical ajoute clairement une dimension politique au texte et suggère la supériorité du chêne. Ce dernier, à l’image du Roi-Soleil

comment il met en valeur le caractère parfaitement injuste et incompréhensible du mal. Développement I) Une souffrance cruelle 1) Une peinture réaliste - Le narrateur évoque précisément les effets de la peste sur tout le corps de l’enfant : le champ lexical du corps est abondant : « les dents », « bras et jambes », « estomac », la tête », « les yeux », « visage », « jambes », « chair », « sa carcasse » - Tous ses symptômes sont évoqués : la sudation à travers l’odeur « d’ aigre sueur », la difficulté

doit l’agiter pour ne pas le renvoyer à son propre désespoir. C’est pour cela que la musique est décrite par des métaphores renvoyant à la météo. Le champ lexical de la météo est multiple dans ce poème : brume, bon vent, tempête… Le voyage se passe de nuit dans un climat agité.. La musique le transporte vers cet idéal et il vit cela comme une tempête. Par opposition à ce qui a été dit précédemment, le poète recherche son étoile sous la brume et uniquement dans cette condition. Des conditions météorologiques

bateaux Libération dès le premier vers V8:"les fleuves m'ont laissés descendre où je voulais" Accélération du rythme V9:le bateau par en haute mer Enjambement de "je courrus",v11 Course d'un bateau: intégralité de son itinéraire M^m dans la tempête le bateau est a l'aise, v13 Eveil maritime:1ère expérience tt a fait accepté par la mer b) cette libération se fait avec une certaine violence v3,4:"des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles/ Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs"

expriment leurs états d'âme à travers l'évocation de la nature. Ainsi, dans un sonnet de jeunesse datant de 1880, "Méditation grisâtre", le poète symboliste Jules Laforgue trace un paysage marin, en proie à une formidable tempête, au sein duquel il semble seul et perdu. .Cette tempête symboliserait-elle donc les sentiments intimes du poète? C'est ce que nous allons étudier au cours de cette étude , en observant tout d'abord la façon dont Jules Laforgue met en place les éléments de ce paysage tourmenté

 Chantre de l’amour, Victor Hugo est un romantique assumé. Il est au XIXème siècle un des poètes les plus engagés dans l’expression des sentiments. Ainsi fait-il scandale en représentant Hernani. Les règles tombent sous la tempête de son lyrisme. Le théâtre ne lui suffit pas : ses poèmes confirment sa fièvre. Dans Les Contemplations, ses regrets, ses douleurs, ses passions, tout fait prétexte à libérer son cœur en enchantant le nôtre. Extrait de ce recueil, « Crépuscule » en est une nouvelle preuve

par Créon, dans les lignes 24 à 38 est celle du navire dans la tempête qui figure l'état et le gouvernement. Le champ lexical du bateau ( barque, gouvernail, équipage, cale, radeau, mât, voile ) étaie cette métaphore filée tout au long de la tirade. Cette métaphore constitue un argument grâce à l'analogie qu'elle établit entre le naufrage du bateau qui libère les bas instincts de l'équipage et l'anarchie dans l'Etat qui laisse le champ libre à toutes les exactions. L'analogie est tellement frappante