Les Champs Lexical De La Tempete

. Le plus souvent le héros est en proie à une souffrance physique et morale . Lors de la lecture de " la médée de Sénéque " Nous avons pu faire individuellement un répérage de champs léxicaux ( Corps , douleur , famille , aimé , crime , culpabiliter , colére , furor , tuer , mourir, puis la méthaphore filée de la tempéte : « lorsque le vent (…) aux mêmes fluctuations » Passage qui montre combien Médée est tiraillée . Dans l'antiquité il devais y avoir un respect que l’on doit aux dieux, à sa

conscience de sa condition absurde et de son malheur. Baudelaire magnifie et fait valoir le désir ardent de solitude. Ce dernier considère le fait de ne pouvoir être seul comme un grand malheur. Ce besoin de solitude est mis en avant par le champs lexical de l'exclusion : « silence » et « repos » l.4, tout ce qui le gênait « a disparu » et il reste désormais « seul ». Il installe des « barricades » pour se « séparer » des autres. Toute sociabilité est rejetée et un profond sentiment

premiers caractéristiques du Romantisme. Rapport profond entre ce personnage et la musique : impression qu’il chante ses textes par le biais de la « lyre » par exemple. Rapport aussi entre la nature et son âme : « tempêtes » sont ses « tourments »... Il utilise aussi un champ lexical de la nature : « vents, les nuages, forêts, feuilles séchées ». Métaphore qui se transforme en métaphore filée entre son âme et la nature. Toutes ces observations témoignent de la présence de deux caractéristiques

Q1)Il nous donne sa vision de la beauté féminine tout en dressant un portrait de lui-même. Il raconte un coup de foudre sans suite, une rencontre manquée, qu’il prolonge par la poésie.I/ LA BEAUTE FEMININE SELON BAUDELAIRE1/ La beauté, la grâceChamp lexical de la noblesse « fastueuse, noble, majestueuse »Associée à l’art « jambe de statue », à la « beauté », au luxe.Impressionnante, par les mots qui évoquent la grandeur « longue, grand, majestueuse », la silhouette, l’allure globale d’abord. Enumération

la nature peut conserver la trace de leur amour. Il peut y trouver son réconfort. Lamartine nous montre qu’il est obsédé par le temps. Cette obsession du temps est le symbole de la peur de l’avenir angoissé et on le voit dans le texte grâce au champ lexical du temps qui passe et vite « Toujours » (v.1), « Un soir » (v.13), « La nuit » (v.32), « L’aurore » (v.31)… Il implore au temps d’arrêter de s’écouler ou de faire marche arrière. Le poème est marqué par l’opposition des temps verbaux, le passé

pensée s’organise, progresse grâce à des connecteurs logiques ou temporels : d’abord, ensuite, enfin, en effet, cependant, en outre… III/ Le vocabulaire et les champs lexicaux Le vocabulaire détermine le niveau de langue mais il permet surtout de déterminer la problématique du texte et son registre grâce à la recherche de champs lexicaux. IV/ Les registres 1. le registre comique Le comique repose toujours sur un décalage amusant qui peut s’exprimer par des moyens différents (comique de

illuminait le firmament […]. Il faisait un froid du tonnerre et nos moustaches étaient couvertes de givre […] ». La bête à grand'queue surgit quand Fanfan et Sem se trouvent dans des conditions inquiétantes. Une tempête les surprend sur une route isolée, la nuit est noire : « La tempête éclata dans une fureur terrible. [...] La pluie tombait à torrents, le vent sifflait dans les arbres et ce n'est que par la lueur des éclairs que ma pouliche avait l'instinct de me tenir dans le milieu du chemin,

la puissance attractive du mouvement marin dans lequel l’auteur se jette à corps perdu. Grisé par un puissant sentiment de liberté, il ne cherche pas à lutter contre le mouvement qui l’emporte mais épouse au contraire les assauts maritimes. Le champ lexical du corps jalonne ainsi le poème et met en avant l’état de communion entre le poète et la mer. « La poitrine en avant et les poumons gonflés », il se tient comme une figure de proue devant l’immensité de la mer et se laisse bercer par le rythme

"J'entrai avec ravissement dans le mois des tempêtes" --> René éprouve des sentiments contradictoires 2. Incohérence a) "Tantôt j'aurais voulu être un de ces guerriers (..), tantôt j'enviais jusqu'au sort du pâtre (..)" -->  Les désirs de René sont divergents et incohérents CA : perte de raison B. René est déprimé qu'exalté 1.  champ lexical des émotions négatives

remarquer que la chaleur de l'été est bien présente, ce qui nous le prouve est « les fenêtres ouvertes » (ligne 4). Nous pouvons également constater qu'à la ligne 10 la partie de phrase « La terre s'évapore en poussière » peut être comparer à une tempête du désert qui est principalement associé à la chaleur. Enfin, à travers l'observation et le côté descriptif de ce poème, l'auteur arrive à rapprocher le lecteur de son idée sur l'été et à lui faire ressentir ses propres sensations. Nous pouvons