Les Champs Lexical De La Tempete

qu’elle reste bête mais tombe amoureuse d’Horace, son ami. Acte 5 scène 4 : fin du nœud de l’histoire Didascalies, répliques, dialogues, noms des persos, pièce en vers Comédie classique, 3 unités ( temps lieu ac(on ) Repe((ons, quiproquo, champs lexical de l’infan(lisa(on, passe de tu à vous La Fontaine, Le chêne et le roseau Jean de la fontaine Moi(é 17ème en France mort fin 17ème Poète, Fabuliste et Moraliste Famille bourgeoise Se lie d’ami(é avec des écrivains et des poètes (les

de l'eau, mais aussi à tout ce qui ce trouve sur elle. On le nomme «le puissant ébranleur des terres » (v.282 par exemple) ou encore « le rassembleur des nues » . La présence de la mer dans l'oeuvre est toujours associé à Poséidon et donc au champs lexical de la force, la puissance à laquelle l'homme est soumis :(chant V , v.366) « le puissant Poséidon souleva une énorme, terrible lame, en voûte, qui croula sur lui »et (chant IX, v.283 à 285) « Mon bateau, l'ébranleur des terres l'a brisé en le

des cavales, / Les vagues se tordant arrivent au galop » (vers 5 et 6). A travers ces métaphores et « ces animalisations » l’auteur évoque l’agitation de l’océan et du paysage ; il présente une nature sauvage, et « brutale », voire violente. Le champ lexical de la mer est également bien présent dans ce poème «clapotis, ilôt, vagues, flot» ce qui nous montre que l'eau est l'élément de la nature dominant dans ce poème et que l'auteur est proche de l'océan. De plus il décrit une atmosphère pesante grâce

-> 1er reproche : H. ne considère que son environnement immédiat. Métaphore de la vue "vue raccourcie à la longueur de notre nez"(L3) "comme nous, qui ne regardons que sous nous" (L7) -> on veut rendre compte insufisance de la pensée humaine : champs lexical rétrécissement "raccourci" (L3) "contraint" (L2) "amoncelé" (L2) + restriction qui renforce l'idée de limitation "nous, qui ne regardons que sous nous" -> reprise du "nous" -> égocentrisme • "Il se tire une merveilleuse clarté pour le jugement

Equivalence entre Paris et l'enfer A/ Mise en place de perceptions visuelles le champs lexical de la vue Vue Spectacle  Aspect Voir Paraître En voyant Mais ce champs lexical se développe par l'indication de tout ce qui est vu :  - apparence - couleurs - physionomie jeunesse blafarde sans couleur=fardée/caducitée B/ Une vision d'enfer L'exagération épique contribue donc à cet aspect visionnaire. Métaphore de la tempête ou du champs insésemment remué contribue ou souligne le caractère visionnaire de la description

EST dans la tombe avec Caïn Vers 1 à 12 CAIN FUIT DIEU DANS UNE NATURE HOSTILE. Relevez dans ce passage les mots qui le montrent. - échevelé(le vent), livide, tempête, cieux funèbres Ne croit-on pas entendre dans la répétition de certains sons des 3 premiers vers la violence du vent, la tempête ? Essayez de trouver ces sons(consonnes qu’on appelle « allitérations » ) et soulignez-les dans le poème. Dans ces 3 vers, on entend des allitérations en « f » et en « v » dans

héros une tempête épouvantable. Nous étudierons la tempête en elle-même puis la psychologie que subit Ulysse dans ce passage. Tout d’abord la mer est le seul moyen que détient Ulysse pour rentrer en Ithaque mais ce qui signifie aussi un lieu de tous dangers pour lui. Puisque la mer est le domaine de Poséidon « le puissant Ebranleur des terres » et ne pouvant empêcher le retour d’Ulysse dans sa patrie, le Dieu des mers ne peut seulement que le retarder ainsi il provoque des tempêtes contre lui

L’illustration de la puissance, occupée par le chêne est en forte présence dans cette partie. À mon sens, dans le champ lexical il serait question de l’invulnérabilité du chêne ; « arrête » (soleil) l.8, « brave » (tempête) l.9 et «défendre» (le roseau des intempéries) l.14. Le chêne apparaît en opposition avec le roseau (le faible) comme le puissant, celui ayant le pouvoir. Il démontre sa supériorité aisément par son apparence. Ainsi comme suis, le chêne est l’être résistant : «Tout vous est Aquilon

précédemment été établi que le héros souffrait d’instabilité affective, il est donc clair que la nature est elle-même instable. La nature en désolation ou nature morte représente l’état dépressif et la tristesse du héros. La première preuve est le champ lexical de la nature en désolation : «désert», «automne» ou «feuille séchée». La deuxième preuve à ce qui est avancé ici, est la présence de la figure d’amplification suivante : «[…] une feuille séchée […], une cabane […], la mousse […], une roche […]

en étudiant la poésie de la mer dans l'épopée ( en général c'est un ouvrage poétique dont le héros doit affronter les épreuves , ennemis). Nous montrerons aussi un autre sens du mot. I L'epopée de la mer: la poesie de la mer 1) Le vaste champ lexical maritime: " vague" ; "l'eau"; "la lame " "le ressac"; "la mer" ; "l'ecume" "l'onde"; "les flots" ; "le remous" " la houle "; "les courants" ; " le gouffre" Le vocabulaire maritime est ainsi omniprésent dans l'oeuvre. Le vocabulaire