Les Champs Lexical De La Tempete

description d’une tempête

Commentaire littéraire I – Une évolution mise en valeur par le sonnet • Champ lexical de l’amour, répétitions (vers 1, 5, 8) du verbe « aimer » mis en valeur par l’enjambement (vers 1), ainsi que par sa position après l’adverbe qui riment ensemble (jeu de sonorité) et les différents temps employés.              -> L’amour est le thème dominant du sonnet. • Situation personnelle : évocation des sentiments personnels avec les marques de la première personne du singulier. • Évocation futuriste :

permet de réfléchir sur les sentiments. -Julien, à la fin de la ballade pose son doigt sur la main de Jeanne, ce qui provoque chez elle une sensation confuse. La fontaine chapitre 5 (98) Relation entre Jeanne et Julien -Champ lexical du jeu " prit ", " résista ", " se battaient ", " se rencontraient ", " se repoussaient " " la lutte ", " s'abattit " -L'amour " lèvre à lèvre ", " des baisers ", inspiration d'amour ", " un désir enflammé ", " tendresse inusitée ", " son cœur

Lison, une locomotive à vapeur luttant contre une tempête de neige. Quels faits présentés dans cette description nous démontrent une lutte humaine ? Après avoir analysé le combat de la machine contre la tempête nous nous intéresserons aux dépassements de la dimension réaliste. Pour rendre compte du combat acharné entre la locomotive et la neige, Zola met en œuvre de nombreux procédés, générateurs d'émotions. La liaison entre la machine et la tempête est animalisé : « il sembla qu'elle se mît à souffler

vivre A. René se compare à la nature pour expliquer ses émotions (Argument) 1. Champ lexical nature a) ; tempêtes (l, 6), climats lointains (l, 16), feuille séchée (l, 12-13), roche écartée (l, 14) 2. personnification a) «une voix du ciel (…) lui parle en lui disant (….)» B. René veux partir 1. champ lexical de l’évasion a) errant (l, 7), promenades (l,3) ,m’égarais (l,12) , vol (l,19)

mon front, au Caucase pareil » (Vers 5), comparaison hyperbolique. Pour soutenir la thèse qu’il domine et qu’il est égocentrique, orgueilleux. Sentiment de supériorité de la part du chêne. * Champ lexical de la protection : « non content d’arrêter les rayons du soleil » (v 8), «brave l’effort de la tempête » (v 9), « à l’abri du feuillage dont je couvre le voisinage » (v 11-12), « je vous défendrais » (v 14). Transition : Le parallélisme vers 10 permet de mettre en opposition les deux personnages

personnage principal du récit René (1802) de Chateaubriand, est un héros typique du romantisme. A priori, René de Chateaubriand est un héros typique du romantisme car c'est un personnage excessivement tourmenté et mélancolique. Les différents champs lexicaux utilisés dans le récit - Sujet posé:  Démontrez que René souffre du mal de vivre romantique -  Sujet divisé:     -  l'instabilité émotionnelle du héros                               -  la nature comme reflet des sentiments                               

si rapide, que le plancher en trembla ;et elle était morte, comme foudroyée dans cette tempête». Dans ce passage, il est très intéressant de relever le mot «foudroyée» : Les éclairs et la tempête symbolisent la punition des dieu. Toutefois, Séverine est présenté, tout de suite après le meurtre, comme une victime innocente des pulsions meurtrières de Jacques. On observe par exemple la présence du champ lexical de l'innocence : «Fatalité du meurtre» «En inconsciente» «tendre et innocente». Tout ces

tristesse à travers la nature. A. La nature est omniprésente. 1. Champ lexical de la nature a) «orages»(v.1), «vents»(v.4), «eaux»(v.4), «désert»(v.5), tempêtes»(v.6),«nuages»(v.7), broussailles»(v.7), «bois»(v.7),«bruyères»(v.12), «forêts»(v.13), «arbres»(v.13), chêne»(v.14), «roche»(v.14), «étang»(v.14), «oiseaux»(v.14) ,«vallée»(v.15) ( Ce champ lexical de la nature prouve que celle-ci est très présente dans la vie de René. 2

le narrateur utilise le champ lexical du combat : « derniers bataillons » ; « éclat assourdissant ». Par ailleurs, le narrateur utilise de nombreuses figures de style telles que les métaphores et les hyperboles afin de mettre en évidence la foule en mouvement. Ces figures de styles amplifient l’intensité de la situation : « flots vivants » (métaphore) « flots » (eau en mouvement qui désigne la foule d’insurgés) ; « tempête humaine » (hyperbole et métaphore) « tempête » (les insurgés sont tellement