Les Conditions De Recevabilité Des Recours Juridictionnels

l’autorité de la juge jugée càd qu’on ne peut plus la contestée. Il existe trois sortes d’obligations : obligation de faire, de ne pas faire et donner. Toutes les obligations sont-elles exécutoires ? NB : toutes les décisions sont susceptibles de recours. Par quel moyen, une décision peut devenir exécutoire ? lorsque la personne condamnée n’a pas fait appel ou n’a pas Plan du cours Titre I : Procédure simplifiée de recouvrement Chapitre I : La procédure d’injonction de payer Chapitre II : La

NOTION D’ACTE ADMINISTRATIF UNILATERAL 44 Paragraphe 1 Les actes unilatéraux émanant de l’administration insusceptibles de recours pour excès de pouvoir 44 A La décision n’est pas administrative par son objet (contenu) 44 B La décision relève d’une gestion privée 44 C La décision n’est pas normative 45 Paragraphe 2 Les actes susceptibles de recours pour excès de pouvoir n’émanant pas de l’administration 45 Section 2 LE REGIME JURIDIQUE DE L’ACTE ADMINISTRATIF UNILATERAL

Et, dans un second temps, de savoir si le recours en cassation prévu par l’article L. 16 B du LPF constitue pour le contribuable une voie de recours suffisante pour préserver ses droits. À ces deux questions, l’arrêt « Ravon » répond très clairement. Pour la première, elle estime que l’intrusion dans un domicile privé par des agents de l’administration porte sur le respect d’un droit de caractère civil. Pour la seconde, elle estime que le recours en cassation n’est pas une protection suffisante

protection B - B) La fonction de « bonne administration » C - C) La légitimation de l'administration Section 3 Sanction du pcpe de légalité Paragraphe 1 Le contrôle de la légalité A - A) Le contrôle administratif B - B) Le contrôle juridictionnel CJ. Paragraphe 2 La nullité des actes administratifs illégaux. A - A) La nullité proprement dite ou nullité simple. B - B) L’inexistence de l’acte. Chapitre 2 Les limites de la légalité Section 1 La théorie des circonstances exceptionnelles

construit à partir de la Révolution française de 1789 (cf. état de police). Le point de départ se trouve dans l’interprétation française de la séparation des pouvoirs, mouvement, évolution vers la séparation des fonctions administratives et juridictionnelles. La Loi L 16-24 du 8 Août de 1790 et la Loi L 16 Frutudor l’An III avaient interdit au juge de connaître du contentieux administratif (remarque du sens négatif de la nature du titulaire du contentieux administratif). A partir de ce moment c’est

service public, plus ou moins étendues selon la qualité des personnes, les modes et les domaines d'intervention devaient faire l'objet d'un contrôle juridictionnel. Cette tâche de contrôle de l'activité administrative directe ou indirecte et de la qualité des personnes qui l’accomplissent devait être confiée à l’origine à une organisation juridictionnelle spécialisée : une juridiction administrative. Néanmoins, en raison de l’ambiguïté initiale de la législation, il s’est vite avéré que certains

pénales, admi¬nistratives ou constitutionnelles Le système juridictionnel est néanmoins sous la tutelle de la Cour suprême. Celle-ci est effet, placée au sommet de la hiérarchie judiciaire. La Cour suprême garantie l’uniformité du droit sur le sol américain, puisque depuis la déci¬sion Martin v. Hunter's Lessee de 1816, elle a pu affirmer sa suprématie sur celle des Cours suprêmes d'État fédéré. Elle est saisie pour 95% des cas par un recours en certiorari ; il s'agit d'obtenir la « certification

s'impose généralement comme une condition des démocraties modernes, car il permet le respect des droits fondamentaux au travers de la Constitution. Le texte constitutionnel est la norme de référence et une garantie politique pour le citoyen. Donc le juriste ne peut rester indifférent aux risques de violation du texte. Ainsi, sont nés l'idée de respect des constitutions et les moyens de le contrôler. Ce sont les américains qui sont à l'origine du contrôle juridictionnel des lois. Si le contrôle était

mécanismes de règlements des différents internationaux occupent une certaine place et sont relativement importants en droit international. En droit interne, les individus ont accès à un juge, ce qui n’est pas le cas en droit international. Si le recours à un juge n’est pas organisé en cas de conflit et que le droit est méconnu alors, l’efficacité de l’ordre juridique est en cause et l’on arrive à des situations de justice privée. Les situations de justice privées sont des situations que l’on rencontre

avait le choix d’accepter ou de ne pas accepter les requêtes individuelles. Ensuite, les requêtes donnaient lieu à un double examen, par la Commission, puis éventuellement par la Cour. La Commission examinait principalement la recevabilité (épuisement des voies de recours internes, respect du délai de 6 mois maximum entre cet épuisement et la saisine, caractère sérieux de l’affaire) ; dans moins de 10 % des cas, elle prenait position sur le fond, avant de transmettre à la Cour. Enfin, dans les