Les Conséquences Personnelles Et Patrimoniales Du Divorce

personnes peuvent choisir en fonction de leurs interêts Par exemple il y a 4 possibilités pour le divorce : – divorce par consentement mutuel – divorce pour faute – divorce pour altération définitive du lien conjuguale c.a.d quand les époux sont séparés depuis deux ans – divorce par acceptation du principe de la rupture c.a.d que les époux sont d'accord sur le principe de rupture mais pas sur les conséquences) La règle de droit peut exprimer des valeurs de la société, c'est le cas des grands principes

dérive d'un acte juridique qui permet d'assimiler un enfant biologiquement différent de ses parents à un enfant légitimement naît pendant le mariage. Le droit de la famille peut s'ordonner autour de deux actes: le mariage (avec le concubinage et le divorce) et la filiation.  Le couple Le mariage Chapitre 1 : La formation du mariage Il faut différencier le couple marié du couple non marié. Le mariage n'est pas défini par le code civil. La doctrine est d'après Carbonnier: "le mariage est

aussi les liens entre les personnes et leurs enfants même en dehors du mariage ( pour les concubins ). La famille élargie est concernée par les rapports patrimoniaux. Effectivement, notre droit de la famille se découpe en deux. Il y a l'étude de cette famille restreinte parent/enfant et puis il y a toute l'étude concernant les rapports patrimoniaux dans la famille. On va s'interesser aux rapports entre les conjoints, parents, enfants. Pour Jean Hauser a fait un traité sur la famille. Pour lui, la

de séparation des partenaires, celui qui n’a pas de droit au maintien dans les lieux. Aucune protection n’est accordée au concubin en cas de séparation. Aucun droit sur le logement n’est reconnu au concubin qui n’est pas propriétaire. En cas de divorce, le logement qui a servi de logement familial peut être attribué à l’un des époux (même si le logement appartient en propre à son ex- conjoint). L’époux propriétaire peut aussi, dans certains cas, être obligé de consentir une location à son conjoint

fait que baisser sauf en l’an 2000 où on a atteint 300 000 et en l’an 2008 273 500. Hausse des divorce en 1996 1 couple sur 4 divorcé en Provence et 1 sur 3 à paris, en 2000 1 couple sur 3 en provence et à Paris 1 couple sur 2. Le taux de divortialité est le nombre de divorce rapporté aux nombres de mariage il est aujourd’hui de plus de 40%, il y a l’augmentation émanant des femmes, aujourd’hui 3 divorce sur 4 snt demandé par les femmes. Pendant cette période le concubinage a connu un essor incontestable

plus le monopole des registres. La révolution française au va instaurer un système laïc dans lequel la question religieuse n’intervient plus. Les structures familiales ont-elles même largement évoluée : hausse du concubinage, développement du divorce, recomposition familiale. Le droit prendra compte de ces statuts différents, et s’adaptera. Les recompositions familiales peuvent bien se passer ou pas par exemple, le droit devra s’adapter. Le cas de l’homoparentalité se pose aussi : comment organiser

REGIMES MATRIMONIAUX – catala Titre 1 : Règles communes : Le régime primaire présente dans l’ordre patrimonial Tous les époux sont soumis aux mêmes règles impératives. Mais ya des différences dans les pécuniaires car ils sont pas mariés sous le même régime mat. Ils ont le choix d’opter pour celui qui leur convient le mieux mais en général la loi offre

nullité en matière de mariage est rétroactive, les effets tant personnels que patrimoniaux que le mariage avait produit seront effacés comme si il n’y avait jamais eu de mariage. Concrètement, la femme ne pourra plus par exemple porter le nom de son époux, la nationalité française acquise par le biais du mariage sera perdue, les sommes perçues doivent être restituées etc. La nullité se différencie ainsi de la dissolution (notamment du divorce) qui ne produit des effets que pour l’avenir. Pour pallier

fait, dans ce domaine, que poursuivre une tradition vieille de milliers d’années. L’article 212 du Code civil rappelle que les époux se doivent mutuellement fidélité. Mais l’homme est faible face à la chair, c’est pourquoi, depuis l’instauration du divorce dans notre droit, le législateur a posé comme sanction au manquement du devoir de fidélité, le prononcé aux torts exclusifs de l’époux fautif. Le concubin adultérin engageait sa responsabilité vis à vis de l’époux trompé. Mais les temps changent,

droit n’est donc pas une simple recommandation, un simple avis. Ce caractère obligatoire peut correspondre à trois formes différentes : - la règle peut être une prescription (l’attribution d’une prestation compensatoire à l’issu du divorce) - la règle peut être une interdiction (ne pas causer un préjudice à autrui, ne pas voler) - la règle est aussi obligatoire lorsqu’elle est permissive, soit elle reconnaît un droit à un individu (comme le droit de se marier sans