Les Courants épistémologique

Derrida ou de Heidegger. Ces courants forment autant de pratiques différentes et d'opinions divergentes sur la nature de la philosophie, qui interdisent de donner une définition unique acceptable par tous. S'il y a aujourd'hui plusieurs traditions philosophiques, aucune ne peut prétendre résumer l'activité philosophique à elle seule, ni décrire l'activité philosophique de façon consensuelle. Les difficultés à définir la philosophie sont en outre de nature épistémologique, car il est difficile de délimiter

rejetées dès qu’elles ont été réfutées, mais seulement quand elles ont pu être remplacées Texte Science inductiviste : (inductivisme) est une conception épistémologique normative selon laquelle on ne peut et on ne doit construire les connaissances que sur la base de l'observation, sans idée préconçue du réel. Cette conception épistémologique (inductivisme "naïf") n'a plus aucun défenseur parmi les scientifiques et les épistémologues. Science falsificationniste : La méthode scientifique falsificationniste

remontrons jusqu'aux origines de la philosophie libérale pour ensuite analyser les fondements épistémologiques du néolibéralisme Pour finir nous etudierons le neoliberalisme sous le prisme du réel. I/ Le libéralisme classique. Le libéralisme désigne un ensemble de courant de pensées qui s'est développé entre le 17éme et le 18éme siècles en Europe occidentale. Du libéralisme, on peut distinguer 2 grands courants : le libéralisme politique et le libéralisme économique. Le premier aura pour but principal

infirmière. Pour ce faire, la notion de «soin» et les sources de développement des connaissances sur le soin seront d’abord abordées. Par la suite, l’approche empirique en tant que moyen pour le développement du savoir sera discutée en fonction des grands courants de pensée qui ont marqué la discipline infirmière. Enfin, des pistes pour le futur seront proposées. Francine Ducharme, Ph.D. Professeure titulaire Faculté des sciences infirmières Université de Montréal Titulaire de la Chaire de recherche en

liens complexes que les conceptions entretiennent avec les pratiques des professeurs concernant la culture en classe d’anglais langue étrangère en France dans l’enseignement secondaire. Les hypothèses de départ concernaient aussi le traitement épistémologique du corpus dans la perspective du paradigme de complexité. Il fallait donc varier les dispositifs méthodologiques, mais dans les limites imposées par le format d’un mémoire de Master. J’ai donc eu recours à des recueils d’informations croisées

L’expérience peut-elle se passer de présupposés rationnels ? Le concept d’expérience est polysémique, il est utilisé en de nombreux domaines. Ce que l’on entend, dans l’usage courant, c’est d’abord l’ensemble des données théoriques et pratiques qu’un sujet peut acquérir lors de sa vie. Cela dit, c’est déjà plus que la simple somme de ce qu’il a vécu, c’est le tissu de cette vie une fois réfléchie, car l’homme d’expérience a une compréhension de son xp plus qu’il n’a multiplié les expériences

en science positive, elle conduit à s’écarter de l’accidentel pour s’attacher au régulier, à éliminer l’individuel pour étudier le social »[2]. Cette posture -il faut le dire- fortement ancrée dans le champ sociologique a été longtemps nourrie du courant structuraliste. En effet, l’évènement était sous la tyrannie du structuralisme et son apparition constituait un non-évènement pour les scientifiques. C’était tout simplement l’exception sans conséquence, en termes de modification ou de perturbation

plus général et commun, il s'agit d'une conception qui affirme l'existence ontologique du réel indépendamment de l'esprit, c'est-à-dire d'objets extérieurs à nous. Il s'oppose en ce sens à l'attitude épistémologique du solipsisme. Au-delà de ce sens très général, le réalisme peut désigner des courants variés, voire contradictoires. Par exemple, le platonisme, inspiré de la théorie platonicienne des Idées, est une forme de réalisme idéel. Mais le plus couramment, on parle de réalisme à propos de la

............. 4 1.8 Terrain de recherche ..................................................................................................................... 6 1.9 Positionnement épistémologique et choix méthodologiques ...................................................... 6 1.9.1 Positionnement épistémologique ......................................................................................... 7 1.9.2 Méthodologie ......................................................................

ressources et richesses. Trois grands courants d'analyse proposent une interprétation spécifique des phénomènes économiques (classique et néoclassique, keynésien et marxiste). Enfin, deux types de systèmes économiques peuvent exister : le système capitaliste et le système socialiste. PLAN A. La science économique 1. L'objet de la science économique 2. La méthode de la science économique B. Les principaux courants de la pensée économique 1. Le courant libéral : les économistes classiques