Les Dangers Des Régimes Dictatoriaux

2012, a débuté par des manifestations sociales et politiques vers le mois de mars 2011, c'est-à-dire trois mois après le début du climat révolutionnaire surnommé « Printemps arabe ». Alors que le printemps arabe s’étend à tout le Moyen-Orient, le régime de Damas prend d’intenses mesures de prévention, maniant la carotte et le bâton en alliant répression et tentatives d'apaisement. Le pouvoir réprime dans le sang ces manifestations, faisant des centaines de morts et des milliers de blessés selon

témoins comme Montesquieu dans les Lettres Persanes, ou celle du conte philosophique comme Voltaire (Candide, Zadig, Micromégas…), etc… Dans des temps moins reculés, des écrivains ont aussi fait les frais de cette même censure de la part de régimes politiques dictatoriaux. Depuis 1990, date de parution des Versets sataniques, essai dans lequel il dénonce les excès du coran, l’écrivain iranien Salman Rushdie est ainsi condamné à mort dans son pays et exilé en Angleterre. Les exemples sont nombreux et variés

des E.U (notamment contre la domination des firmes agroalimentaires US). Ces derniers y voient un danger et manoeuvrent pour l’accuser de communisme. Ils participent, via leur firme, la United fruit Cie, au renversement du régime en 1954. Une dictature militaire, une junte, est mise en place avec la collaboration des élites locales qui veulent ainsi conserver leur pouvoir et leurs intérêts. Des régimes populistes (dictatures sociales inspirées de l’idéologie égalitaire marxiste), qui basent leur politique

d’un cercle vicieux : droit, Etat, droit, Etat… qui au fur et à mesure diminue les libertés de chacun. Il s’agit aussi de se prévenir d’un autre danger, autre que le non respect du droit aux libertés par l’Etat, qu’évoque Tocqueville dans De la démocratie en Amérique, de « Quelle espèce de despotisme les nations démocratiques ont à craindre » : le danger de l’égalitarisme. Par la mise en place d’un état fondé sur le droit de tous, la démocratie nie les spécificités individuelles, et les cas particuliers

HOOVER n’a pas hésité à : Falsifier des statistiques Monter des films publicitaires pour glorifier ses prétendus exploits. Inventer, sinon exagérer la menace communiste contre l’Amérique et user de chantage chaque fois que son poste était en danger. b- les machinations économiques : La guerre économique ou les machinations économiques usent de plus en plus des manipulations. Ainsi pour mener la première guerre mondiale économique, les opérateurs et économiques ont besoin d’être renseignés

reprendre la démarche de la politologie classique, celle qui va d’Aristote à Montesquieu et Tocqueville, pour déterminer l’essence propre d’un régime qu’elle considère comme totalement inédit et sans précédent : le totalitarisme. Les thèmes du livre : Le totalitarisme comme événement négatif : Le totalitarisme désigne, pour Arendt, un type de régime politique inédit apparu à l’ère moderne, destiné à organiser la vie des masses. A ce titre, l’auteur le réfléchit comme un événement. Mais cet

puissant de lutte pour l’instauration du changement dans l’histoire. En ce sens, les révolutions du « printemps arabe » permettent d’éclairer cette idée. Il s’agit pour les manifestants de détruire le régime autoritaire et dictatorial mis en place et de lutter contre la répression pour instaurer un nouveau régime, une nouvelle identité nationale au sein de l’histoire, identité qui permettra d’inclure les minorités ethniques et religieuses au profit de valeurs telles que la liberté d’expression. La chute

d’expression est garantie » (l. 43-44), « Voilà la démocratie à laquelle je crois » (l. 23)- Ce faisant, la nation doit être libre : « Mon idéologie est, en un mot, la liberté » (l. 25). Son projet est clairement de s’opposer par son idéologie aux régimes dictatoriaux qui semble se détacher au nord et au sud. Toutefois, cet idéal politique dont l’auteur annonce quelques principes n’est pas davantage détaillé. - Kim Gu sera nommé candidat à la présidence de la Corée du Sud. En 1948, ce sera finalement le

favorise la démocratie contre la tyrannie, y compris par la force lors de « guerre préventive », pour lutter contre le terrorisme et les régimes menaçants et dans le but d’accélérer ce processus de « maturation politique » : la mise en place d’un régime démocratique. Certes pour des raisons morales, mais aussi et surtout parce que c’est le seul régime qui assure la paix et la sécurité sur le long terme et qui assurerait une certaine sécurité aux USA : en effet, les démocraties ne

reconstruction d’une Europe ruinée par la guerre. La doctrine Truman montre que la guerre froide est un affrontement idéologique opposant deux conceptions de la politique : un système démocratique qui repose sur la souveraineté de la nation & un système dictatorial. • La réponse soviétique est formulée par Andreï Jdanov en septembre 1947 qui accuse les Occidentaux d’impérialisme. Elle consacre la bipolarisation du monde en deux camps : « impérialiste », et « anti-impérialiste ». La création du Kominform