Les Diaboliques Narration

à la communication (du point de vue de sa forme en tous cas). Notons que « les deux branches évolutives gardent toutefois des traits semblables issus de leur ancêtre commun et continuent interagir l’une avec l’autre : chanson, poésie, rites, narration musicale, parole musiquée, musique parlée. »5 Selon le chercheur Steven Mithen maintenant, « l’oreille absolue a été aussi indispensable la genèse du langage parlé qu’à celle de la musique ». Il suggère que la musique et le langage ont une origine

en témoigne. Dans cette longue lettre, à l’approche de l’événement crucial, le récit ralentit jusqu’aux lignes qui précèdent le rapport sexuel, lui-même gommé. Elles correspondent du point de vue narratologique à « une scène » car la durée de la narration rapportée par Valmont à la marquise correspond alors à la durée réelle des événements : « […] Sérieusement, j’étais bien aise d’observer une fois la puissance de l’occasion, et je la trouvais ici dénuée de tout secours étranger. Elle avait pourtant

sortes d’ombres sans grande réalité.  Peu d’effort pour mettre de la vraisemblance dans les actes rapportés : Dans la même phrase, Néron est présenté comme « inops consilii », mais quelques ‘mots’ plus tard, le voilà capable d’une stratégie diabolique : il sait tout à coup  monter à grande vitesse un semblant de mise en scène : - de façon à faire accuser Agermus de tentative d’assassinat - de façon à avoir un motif pour faire tuer Agrippine Et il a en outre assez de présence d’esprit pour

synthèse, la réponse peut suivre un ordre propre et non pas forcément celui des documents. On peut par exemple ici adopter un ordre historique : I. Les origines du personnage mythique (reprendre les caractéristiques de Vlad IV, prince buveur de sang diabolique), II. Sa création par Stoker (récapituler la figure du vampire avec ses caractéristiques ambivalentes), III. Sa popularisation par le cinéma (récapituler l’ensemble de ses métamorphoses à travers les photographies, et souligner leur caractère spectaculaire)

manipulateur méprisant ➌➎. III. Mais grand seigneur tout à la fn ➐. Conclusion – [Après avoir résumé le développement :] Cette scène montre bien l'ambiguïté et la complexité de Dom Juan, à la fois grand seigneur (il perd avec élégance) et méchant homme diabolique et corrupteur. DES PISTES POUR L'ENTRETIEN Voir aussi p. 00. Qu'est-ce qu'un libertin ? [Renseignez-vous. Distinguez bien le libertinage de raison et le libertinage de mœurs, même si Dom Juan les cumule…] [Selon le cas:] Tirso de Molina,

pour une voisine, la jeune Nina, qui rêve de théâtre, et dont il est éperdument amoureux. Elle récite un long monologue assez confus où il est question de la solitude de l'être humain dans l'immensité du cosmos et de sa lutte contre des éléments diaboliques. Arkadina manifeste à haute voix son mépris et ses critiques, éclate de rire malgré les efforts des autres spectateurs pour forcer son attention et son respect. Elle trouble si bien la représentation par ses sarcasmes que Kostia, ne supportant pas

féroce, qui fait s’entre-déchirer les personnages, jusqu’à ce que mort s’en suive, une pièce qui respire et vibre sur la promesse de la mise à mort. C’est assurément I'une des oeuvres les plus noires de Racine, et on ne peut qu’admirer l’habileté diabolique avec laquelle il transforma la dramaturgie classique en instrument de torture. La concentration tragique, l’impression d'urgence et d'étouffement, sont encore assurées par les règles imposées à la tragédie classique, qui demandaient le respect

anniversaire de cet événement : (p 283) « pour le cinquantenaire des Mille » : la situation politique de la Sicile a changé radicalement entre ces deux périodes. L’histoire semble donc être au centre du récit. C’est l’année 1860 qui est privilégiée dans la narration. Une temporalité resserrée et non linéaire : sur les cinquante ans on ne nous donne que les moments clefs de la vie du prince : le roman ne relate que quelques journées. Analepses et prolepses tissent un réseau complexe. Une accélération

tard, Saturnin, l'autre frère de Mme Cloche, concierge de l'immeuble où vit Narcense et qui se veut écrivain, apprend à celui-ci que sa grand-mère est morte. Narcense se rend à l'enterrement et rencontre dans le train un nain (Bébé-Toutout) qui, diabolique, se prétend parasite vivant de la peur et de la lâcheté des gens. De retour à Paris, Narcense, dont les billets doux adressés à Alberte ont été interceptés par Théo, échange avec celui-ci des lettres d'injures : rendez-vous est pris pour vider

tension dramatique : Duroy est de plus en plus seul, et chaque étape le rapproche un peu plus de coup de feu qui peut lui donner la mort. b. Le récit du duel constitue ce qu’on appelle une « scène » : le temps de l’action est le même que celui de la narration. Montrez-le et soulignez la dimension spectaculaire de cet épisode. Le duel comporte ses héros (les deux adversaires), ses personnages secondaires (les témoins et le médecin) et sa mise en scène : on prépare le terrain, on place les combattants