Les Éternels

[…] l’univers étant éternel, et nous-mêmes étant appelés à en demeurer à jamais un fragment, nous ne cesserons jamais d’exister. (53) On peut rapprocher cette manière de voir d’un certain matérialisme dont beaucoup se réclament aujourd’hui. Les grands cycles naturels et plus précisément les cycles biologiques (cycle du carbone, de l’azote, de l’eau etc) sont des voies de réintégration de notre matière dans d’autres "êtres" vivants ou inertes, ce qui nous rend éternel. Après notre mort nous

chance d’exister, alors là, je suis forcé de mourir : comment suis-je si mal adapté aux situations ! Si je me crois mortel, je désire l’éternité, mais si j’apprends que je suis éternel, alors je veux mourir… Allons bon, puisque la crainte de mourir réapparaît de générations en générations, alors la peur de mourir serait éternelle ? Avec la crainte de trépasser, je n’oserais pas m’engager dans quelque projet, je serais astreint à vivre au jour la journée, sans rien pouvoir espérer d’autre que ce qu’il

par des virgules « J’attendais pour vous croire,… absence éternelle », « Que le jour commence … Titus ». Ce changement de style donne le ton de la plainte. Le parallélisme « que le jour recommence et que le jour finisse », « sans que jamais … sans que de tout je jour » accentue le sentiment de plainte. Bérénice prend conscience de la rupture. Elle adresse à Titus un adieu « une absence éternelle ». Le champ lexical du temps « absence éternelle », « dans un mois, dans un an », « compter les jours »

plus un concept, mais une personne. Cette définition n’est pas démontrable. Pourtant, une personne qui cherche (le sens de sa vie, le pourquoi et le comment des choses …) est déjà sur le chemin. 3. « Je suis la vie ». Jésus nous donne la vie éternelle : elle est reçue au baptême, à l’Eucharistie, en confessions …. Illustration « Le chemin se construit en marchant » – Antonio Machado ( poète espagnol né en 1875 à Séville, et mort en 1939. Il est l'une des figures du mouvement littéraire espagnol

voulez aller ; le paradis qui signifie le bonheur ou une seconde vie qui est la vie éternelle. Ou l’enfer qui signifie le fer ou le feu qui signifie misère, tourment, douleur, etc... Dieu nous aime d'un amour inconditionnel Dieu a tout fait pour nous sauver, maintenant c'est à nous de choisir. Choisir Jésus = C'est choisir la vie, la vie éternelle Choisir le diable = C'est choisir la mort, l'enfer, l'enfer éternel Le ballon est dans vos pieds, c'est à vous de choisir ce que vous voulez faire

déclencheur de la tragédie. Dans l'obligation de venger sa mort en tuant son assassin, le Capulet Tybalt, cousin de Juliette, Roméo est conscient de mettre en branle la machine tragique : « Ô je suis le jouet de la fortune » (III, 1). Car avec Mercutio, éternel plaisantin, riant de tout, de l'amour romantique comme de la destinée, c'est bien l'esprit de comédie qui disparaît. Cette mort fait basculer la pièce dans l'univers tragique en transformant Roméo en proscrit. Cependant, si machine tragique il y a

parle a un cœur de neige, il utilise cette métaphore qui assimile le noyau de la beauté à la froideur de la neige, pour souligner le caractère de l impassibilité que doit avoir chaque poème, il en parle aussi  dans le dernier vers du premier quatrain(eternel et muet ainsi que la matière) et  dans le dernier vers du deuxième quatrain(et jamais je ne pleure et jamais je ne ris)en effaçant toute couleur de n importe quel sentiment(muet),ni de joie ni de tristesse(je pleure, je ris)..il refuse l innovation

vivants, nous allons tous mourir. C’est pourquoi se pose à l’homme la question d’une vie éternelle. Pour avoir la vie éternelle, il faut passer par Dieu (la religion). Puisque nous sommes des créatures (mortelles) nous avons un créateur (éternel). Pourquoi refuser d’adorer Dieu (notre créateur) à travers une religion pour avoir la vie éternelle ? Si je meurs en croyant à la résurrection et à la vie éternelle et qu’il s’avère que c’est la vérité, j’ai tout gagné. Mais si c’est le néant après la mort

de la justice à la société. Si le droit a la volonté d'appliquer la justice universelle et éternelle, cela signifie-t-il que le droit est juste ? N'existe-t-il pas une incompatibilité entre la relativité et l'imperfection du droit et l'idéal de justice ? Cela implique-t-il que le droit est vain et qu'il faut l'abandonner ? Certes, le droit a l'ambition d'appliquer la justice universelle et éternelle. Toutefois, nous verrons qu'il existe toujours un décalage entre le droit, une création humaine

son attachement au Parnasse (dont il a été évincé) et par la même son admiration pour Baudelaire, dont il doit tirer sa personnification de la Beauté précédemment étudiée. Ainsi le poète drogué, empoisonné, oubli. Il se détache du monde, de ses éternelles questions ainsi « (il) est hors du monde » (cf : Nuit d’Enfer ). La vie de Rimbaud ne fut alors que « folies douces » comme il l’écrit dans Nuit de l’Enfer . Son trésor, et donc son immense culture littéraire, ses prouesses stylistiques, sont même