Les Fausses Devotes

diriger les consciences d'une famille bourgeoise afin d'accaparer ses biens. Molière vise dans cette pièce les faux dévots, notamment la puissante Compagnie du Saint-Sacrement qui, si elle n'était pas approuvée par le roi, jouissait du soutien de la reine-mère. L'auteur prend ici beaucoup de risques et radicalise sa satire sociale. » Dans Tartuffe, Molière s’attaque surtout à : la fausse dévotion c. Le Misanthrope (1666) « Alceste hait l'humanité tout entière, y dénonce l'hypocrisie, la couardise

l’héroïne qui meurt, ainsi celle-ci provoque de la pitié chez le lecteur. Champ lexical de la mort « déjà morte », «  cadavre » « mourir » + isotopie de la « tristesse », «  grosses larmes » d’Emma + « sanglots de Bovary » l.39, pathétique qui nait de la fausse rémission du personnage. Une scène d’épouvante dans les manifestations physiques «  ses yeux, en roulant »l.29, « langue sortit »l.29 + comparaison « releva comme un cadavre ». A la fin du texte, on a un tableau d’une horrifique/ frappant la fin

raisonnements. 1665 = Tartuffe interdit. Dom-Juan pièce écrite dans l’urgence (difficultés financières). Il choisit le thème à la mode de D.J. (il s’inspire de Tirso de Molina) D.J. est une pièce de combat : M. reprend ses attaques contre les faux dévots : on retrouve les thèmes de la religion , de l’hypocrisie , de l’argent , des privilèges de la naissance + le thème dominant de l’infidélité . Contexte historique : le XVII = grd siècle religieux , siècle de la rigueur , janséniste ( morale chrétienne

la description hyperbolique mais "réaliste" de l'accusé "pâle, hâve, défait...cachot" qui procède par effet d'accumulation et la phrase suivante "Il se donne le plaisir de l'appliquer..." : la précision des détails de procédure et son cynisme, la fausse légèreté du "après quoi on recommence". Et bien sûr l'allusion à la comédie de Racine... - La syntaxe,( asyndète et juxtapostion) renforce la tonalité ironique ((l5 à8, 11 à 14) par son aspect hâché et rapide. Aussi bien au niveau de la phrase qu'à

personnage ayant tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Réception[modifier] Cette pièce de Molière suscita à sa création une levée de boucliers des dévots. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Le seul défenseur de la religion semble être Sganarelle, pour lequel la religion ressemble fort à de la superstition et dont le

Louis XIV. Molière s'inscrit dans le classicisme qui rejette toute forme d'excès. A la fin de l'année 1664, la pièce de théâtre « Tartuffe » vient d''être censuré, Molière décide d'écrire « Dom Juan ». Un mythe repris pour un droit de réponse aux dévots qui ont fait interdire sa pièce précédente. Le dramaturge en fait un porte parole des esprits forts de son temps, de libertinage d'esprit, de bien des critiques qu'il dirige contre l'Eglise Ce passage correspond à l'entrée de scène de Done Elvire

Maupassant, pour ses conquêtes insatiables de femmes L'argument qui tue : « Dom Juan est un impie qui défi Dieu » La pièce de Molière est à l'origine d'un énorme scandale. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Molière qualifie d'ailleurs son héros de « grand seigneur méchant homme ». Personnage complexe et révolté, il affiche une luxure débridée. A la fin de la pièce, dans un ultime

valeurs de la poésie et de la liberté. Cela lui valut l'hostilité des milieux officiels ; il fut dès lors en butte à de graves ennuis, fut mis peu à peu à l’écart de tout. À l’université de La Havane, on fit de lui un zombie : faux professeur qui, à une fausse chaire, s’adressait à de faux étudiants. En 1969, il participa encore au festival panafricain d’Alger où il rencontra l'écrivain congolais Henri Lopes, qu'il retrouva plus tard dans les bureaux de l'U.N.E.S.C.O.. Mais, à partir de 1971, il fut écarté

ridicule—« Molière nous met en garde contre la généralisation »,c’est ce qu’on appelle « les vraies et les fausses Précieuses »; Par exemple :Lathuillère, il insiste à distinguer fondamentalement les « vraies et fausse  Précieuses » sans considérer l’acceptation de grand public :Par contre,comme Emile Magne, il constate premièrement qu  « aucun contemporain ne départage » les Précieuses « en fausse et en vraie », mais sous la vague de cette répartition,il choisit une opposition complètement diffèrente :

impossible de dire " la chose comme elle est" car " N'a-t-on pas son caractère, son intérêt, son goût, ses passions, d'après quoi l'on exagère ou l'on atténue ?" (89) - par ailleurs le jugement d'autrui est presque toujours faussé " on y fait presque rien qui soit jugé comme l'on fait." ( 89) - les gens ne se comprennent pas ou se comprennent mal ce qui fait que leurs relations reposent sur des quiproquos : " Il y a les quiproquos d'amour,