Les Inégalités Sont Elles Compatibles Avec La Démocratie

BENCHMARKING 2.2.2. LES PRINCIPAUX RÉSULTATS DE L’ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES 2.2.3. QUELQUES EXPÉRIENCES INTERNATIONALES RÉUSSIES 30 31 32 32 35 39 2.3. LES TENDANCES LOURDES DU DÉVELOPPEMENT HUMAIN 2.3.1. DES PROGRÈS DE LA DÉMOCRATIE AVEC, CEPENDANT, UNE PERSISTANCE DES DYSFONCTIONNEMENTS 2.3.2. UNE TRANSITION DÉMOGRAPHIQUE AVANCÉE METTANT EN EXERGUE LE DÉFI DE L’EMPLOI 2.3.3. UNE AVANCÉE AU NIVEAU DES INDICATEURS DE L’ENSEIGNEMENT AVEC TOUTEFOIS UN SÉRIEUX PROBLÈME DE QUALITÉ

le nouveau et la nouveauté: entre la chute et la rédemption il n'y a pas de nouveauté. Par opposition à ces deux temporalités ancienne primitive, il y a les sociétés chaudes. Ces sociétés chaudes, modernes, acceptent le changement historique. Elles postulent une altérité, une différence, une distinction entre le passé et le présent, distinction au terme de laquelle le présent va afficher sa différence avec le passé. La conséquence de cette façon de concevoir le temps: le passé ne sera plus codifié

politico-juridique de la société et du pouvoir politique, de l’Etat, des individus, et de leurs rapports dans la succession des régimes politiques. Bien qu’elles soient, dans leur forme, incontestablement liées au contexte politique et institutionnel dans lequel elles ont éclos, les idées politiques se présentent comme des clefs pour penser les sociétés, au sens le plus large du terme : Celles du passé, bien sûr, mais aussi et surtout, celles d’aujourd’hui. Les grands courants politiques, sont toujours des repères

attractif de la cité va curieusement à partir des années 300. L’expérience politique du 5e → 4e va plomber la philosophie politique. Au sein même de la philosophie, on va voir apparaître des écoles qui ne vont plus du tout avoir le même culte de la cité: elles vont prôner autre chose que la participation à la vie de la cité: Les épicuriens : abstention / vie civique qui s'insère dans un philosophie d'ensemble de l'homme. Philosophie qui est due en grande partie à son créateur. Il l'installe dans le Jardin

économiste français spécialiste des questions d’endettement et d’histoire financière récente. Dans cet ouvrage, il retrace l’histoire de l’humanité pour nous montrer que finalement la paix n’est pas compatible avec la prospérité. Il s’inquiète de l’avenir du monde, les erreurs européennes du passé pourraient-elles se répéter ? A quelles sortes de menaces devons-nous maintenant faire face ? I. Pourquoi l’occident ? Dans cette première partie, l’auteur retrace l’histoire de l’humanité à partir de

universitaire 2010/2011 CM de M. Jean-Yves Naudet o 2e décision. La suppression des corporations5. Les corporations sont supprimées. Elles jouaient un rôle majeur dans la sécurité sociale des salariés. Elles imposaient des règles très strictes. Pour intégrer une profession, il fallait être admis dans une corporation. Les corporations fixaient même les prix et les salaires. Elles sont apparues comme un frein à la liberté économique. Turgot les abolit. 3e décision. La réduction de la dette publique française

commun, une symbolique commune • Elle définit des statuts, des rôles • Elle détermine/influence notre rationalité : « rationalité située » « esprits institutionnalisés » => le social est toujours déjà-là • Mieux, elles définissent nos intérêts, nos valeurs et notre position sociale • Elles assurent des fonctions de coordination en créant un ordre social qui régule le conflit (mais ne l’annule pas) • L’institution fait donc la médiation entre politique, économique et symbolique • Les institutions

multiples institutions : la famille, la crèche, les examens, le médecin, ... Elles règlent nos vies, socialisent les individus, demandent de suivre des règles, des codes, un certain langage, ... Ces institutions sont des lieux où l'individu doit acquérir un comportement qui n'est pas individuel. Les institutions transforment les individus. Les sociologues cherchent à décrire comment sont organisées ces institutions, et comment elles influencent. Le « comment » est une question sociologique et non le « pourquoi »

de la gestion publique ? La démocratie représentative s’en trouve-t-elle contestée, ou bien modernisée et revivifiée ? Ce rapport du Centre d’analyse stratégique s’efforce de répondre à ces interrogations en centrant le propos sur les formes institutionnelles de la participation citoyenne, c’est-à-dire sur les processus engagés à l’initiative des pouvoirs publics. Il est complété par des contributions signées de quelques-uns des meilleurs spécialistes de la démocratie participative (Antoine Bevort

pouvoir faire ce que l’on veut), alors… comment vivre en paix et dans l’harmonie sociale dans une société constituée par des individus auxquels on accorde une grande liberté ? Autrement dit, la paix et la sécurité (des biens et des personnes) sont-elles compatibles avec un régime de libertés individuelles les plus étendues possibles ? Cette question, c’est l’une des questions centrales — pour ne pas dire LA question — qui est au cœur de la problématique de la modernité. Ce que je voudrais montrer durant