Les Leviers Motivationnels

Maslow 2 (1974) Cette théorie pose que les besoins d’un niveau supérieur ne sont ressentis que quand les besoins du niveau inférieur sont satisfaits. Cette approche séquentielle des besoins a été critiquée par certains ethnologues et sociologues comme Lévi-Strauss ou Baudrillard 3. La théorie situationniste : elle adopte une perspective radicalement opposée. Selon cette théorie, les comportements sont exclusivement déterminés par des influences extérieures à l’individu, d’une part par les contraintes

qualité, d’interaction entre les collectifs sont peu ou mal prises en compte. lité de vie au travail (voir encadré p.3). La formation des managers aux conditions de travail ou la structuration d’une fonction « management du travail » est également un levier puissant qu’expérimente l’ANPE et que le « Piloter la performance, c’est donc aussi piloter le travail et ses conditions. » du travail ne se repère plus dans la seule production visible mais dans des interstices d’innovation et de régulation

fait que les joueurs attribuent à leur habileté ou à leur savoir les résultats de séquences purement hasardeuses. Cette illusion de contrôle est augmentée par tous les aspects « pseudoactifs » du jeu (les machines à sous Synthèse avec des leviers, les tickets de loterie qu’il faut remplir soimême…). Ils s’attribuent plus ou moins « magiquement » le pouvoir de prédire des résultats, par exemple en faisant des « martingales ». Qu’il s’agisse de machines à sous, de roulette, ou d’autres jeux

peut façonêtre de formuler sespar phrases, les états temporaires d’activations qui demande de regarder le petit objet fera venir la couleur bleue à l’esprit). associatives (existence de stéréotypes), la pertinence motivationnelle et les leviers émotionnels attirent spontanément l’attention. Mais des effets analogues de caractère saillant ou d’attention peuvent survenir Des effets de contextes s’exercent également sur l’accessibilité (exemple du schéma AI3C) de avec que desdes

méconnus du sens commun. Nous commencerons par évoquer les généralités à savoir en quoi consiste le bénévolat, ce qu’il en est aujourd’hui quantitativement puis les évolutions qu’a connu le secteur du bénévolat. Nous verrons ensuite les aspects motivationnelles à la pratique d’une activité et l’engagement qui s’en suit. Enfin nous terminerons sur les notions de fidélité et de fidélisation explicative de l’engagement à long terme et le maintien de la pratique bénévole. 1. Généralités 1.1. Qu’est-ce

(articles publiés dans les revues spécialisées, les conférences, les blogues) Connaissance qu’on peut s’approprier et marchandiser : le droit de propriété intellectuelle et les brevets sont les moyens de marchandisation de la connaissance et les leviers de l’économie financière Les contradictions fondamentales Le court-termisme On s’intéresse aux projets qui rapportent rapidement, on évite les coûts immédiats même s’ils pourraient rapporter dans le temps comme la formation des employés ou les

développement d’organisation (D.O), axé sur la participation des employés à la décision, participation qui s’avère susciter un engagement émotif favorable à la mise en œuvre des décisions. Le mouvement a été alimenté également par les théories motivationnelles incitant l’organisation à se soucier non seulement de l’enchainement des activités, mais aussi du désir des travailleurs de vivre comme des humains dans l’entreprise (Maslow, Argyris, Lickert, Herzberg, Mc Gregor). Ensuite les théories de la

développement d’organisation (D.O), axé sur la participation des employés à la décision, participation qui s’avère susciter un engagement émotif favorable à la mise en œuvre des décisions. Le mouvement a été alimenté également par les théories motivationnelles incitant l’organisation à se soucier non seulement de l’enchaînement des activités, mais aussi du désir des travailleurs de vivre comme des humains dans l’entreprise (Maslow, Argyris, Lickert, Herzberg, Mc Gregor). Ensuite, les théories de la

Vroom en 1964, la théorie des attentes (ou VIE) stipule que les comportements des individus sont la résultante d’un choix conscient et raisonné, d’une sorte d’analyse coûts/bénéfices au sens strict du terme. Selon Vroom donc, la force motivationnelle dépend de l’enchaînement de trois types de perceptions : ✓ L’attente (Expectation) : c’est la croyance qu’a l’individu que des efforts accrus lui permettront d’augmenter sa performance au travail. Le terme « expectation » signifie que l’individu

différencier des stimuli conditionnels. 2) L’apprentissage animal : Thorndike (1874-1949) La boite à problème : un animal en cage va essayer par le biais d’essais et d’erreurs d’en sortir. (appui de manière inappropriée et hasardeuse sur différents leviers). Le comportement adéquat s’acquiert peu à peu. Il y a apprentissage lorsque les comportements de l’animal pour sortir sont réalisés de manière assez rapide. La loi de l’effet : le comportement est fonction de ses conséquences cad qu’il y a un