Les Lumières Métaphore

", citation de Bayle 1)?* Que signifie-t-elle?* La métaphore de la Lumière est utilisée pour montrer le nombre important d’idées pour éclaire les esprits, éclairer le peuple, pour montrer le savoir, les connaissances. Les lumières sont les idées des philosophes. La Lumière a le sens d’éclairé, de jour, de clarté et aussi elle montre la vie 2) A quel concept, filant la métaphore de la lumière, s'opposent les Lumières?  Les Lumières s'opposent à l'obscurantisme (Opposition à la diffusion

Rimbaud).La mise en scène de la découverte devient lumineuse avec la métaphore filée « un torrent de soleil » qui mêle l’eau et le feu => alchimie poétique. Les éléments lumineux se mêlent aussi aux éléments naturels en hauteur « entre les branches » (v.3), « à travers les feuilles » (v.4) et le « corridor » devient un lieu magique avec la gradation des verbes « roule » et « se pulvérise » dessinant un élan de la lumière qui part d’une masse «  un torrent »puis se disperse dans l’air pour finir

militaire. On retrouve donc l'idée provisoire dans le mimosa qui est un arbre fragile. Mis en relief du mot mimosas. Bivouac peut-être une allusion à la résistance durant la seconde guerre mondiale. C'est un moment particulier avec la lumière mimosa et la lumière du crépuscule. 2)La jeune femme: caractère précis du mot hilare. Une rencontre fortuite. Ce n'est pas soudain il arrive que cela amène une répétition, une rencontre qui est odorante qualifie la jeune fille or le poète qualifie la rencontre

Coline Déclert 1èreS7 Commentaire littéraire "Philosophe" a été écrit au XVIII ème siècle, pendant le siècle des Lumières, par le philosophe Dumarsais et il est apparut dans l’Encyclopédie dirigée par Rousseau. Quelle définition Dumarsais donne-t-il du philosophe ? Le philosophe a une démarche intellectuelle rationnelle et il se définit à travers sa relation aux hommes. Pour montrer que le philosophe a une démarche scientifique rationnelle, dans un premier temps nous verrons qu’il fait usage

indirecte). B. L'inutilité de la répétition. • Elle ne permet pas de ressaisir le souvenir, qui reste imprécis. C. Caractère fugace du souvenir et localisation difficile. Les antithèses: 1) La lumière En partenariat avec www.bacfrancais.com • • "éclaircissement", "faire entrer dans sa lumière", "claire conscience"; qui est opposée à l'obscurité : "le pays obscure", "jamais de sa nuit". 2) La profondeur • • "tout au fond de moi", "redescendu"; qui est opposée à la surface : "surface"

réflexion occidentale, de la Renaissance à l’époque moderne 1, la métaphore même du corps politique et de ses membres ne plonge pas ses racines dans la réflexion politique de l’époque classique grecque (celle des ve et ive siècles). Elle est pourtant attestée dans la réflexion de l’époque hellénistique et romaine et remonte peut-être à de très anciennes origines proche-orientales. Cependant l’origine de l’omniprésence de cette métaphore dans la pensée occidentale nous semble être essentiellement chrétienne

l'éclat de la lumière à une « lame », « un glaive » et à « une épée ». Ce caractère agressif de la lumière est renforcé par des verbes qui expriment une action instantanée et brutale : « giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de

l’absurde. Le Soleil est omniprésent dans cet extrait mais aussi dans tout le roman. On peut constater dans cet extrait qu’il apparait déjà à la première phrase et en tout cinq fois. Il est très présent à travers le lexical de la lumière avec : « lumière » (l-10), «  étincelante » (l-11-12), « éclatant » (l-18). Mais aussi dans le champ lexical de la chaleur avec : « brûlure » (l-5), « brûlante » (l-19). Le narrateur veut nous montrer à quel point la chaleur est infernale en utilisant

théâtral est destiné à être représenté, ce qui explique ses différentes caractéristiques. Il se subdivise en plusieurs sous-genres rattachés à des époques particulières. MOUVEMENT LITTERAIRE / EPOQUE : Philosophie des lumières : Mouvement philosophique du XVIIIème siècle, les Lumières tirent leur noms du combat qu’elles ont mené contre l’obscurantisme (=refus du progrès, de la diffusion des connaissances et de la culture). Née dans les salons intellectuels, cette philosophie s’appuie sur des découvertes

mais que Ponge met en scène avec poésie grâce notamment aux métaphores. Selon le poète, c'est véritable miniature qu’il décrit avec la comparaison « les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes » (l. 2-3) ainsi qu'avec la métaphore des « vallées, crêtes, ondulations, crevasses » (l. 5-6), un coucher de soleil: « la lumière […] couche ses feux » (métaphore du four en réalité, l.7) ou encore des « feuilles ou fleurs » (l.10, métaphore de la mie). Francis Ponge utilise le champ lexical de la géographie