Les Marginalistes

1776), David Ricardo, John Stewart Mill, Jean-Baptiste Say (La loi des débouchés 1804), R. Malthus. Mais leurs ouvrages restent littéraires. - Fin XIXe siècle : Les mathématiques sont introduites dans l’économie avec les néoclassiques et les marginalistes (incitation au raisonnement à la marge). On y trouve 3 grandes écoles : • Française (Walras) • Anglaise, fondée par Jevons • Autrichienne, fondée par Menger B Définitions contemporaines L. Robbins : « L’économie est la science qui étudie

théorie de la valeur utilité. * Le mode de raisonnement : les néo raisonnent à la marge, c'est-à-dire en terme de couts marginaux d’utilité marginale de productivité marginale. C’est pourquoi la théorie néoclassique est souvent appelé théorie marginaliste. * La méthode d’analyse : dans ce cas là, les auteur néoclassiques pratiquent l’individualisme méthodologique c'est-à-dire qu’il partent des comportements individuels pour comprendre le fonctionnement de l’économie globale. L’accent est mis

- réorganisation générale - système des salaires stimulants - payement à l’année, en nature, donc non productif - payement au nombre de pièce produites : stimulant, mais Taylor pense que ce n’est ni efficace ni équitable car c’est un calcul marginaliste - organisation de l’entreprise : l’ouvrier produit et le contre maître organise et hiérarchise. Taylor pense qu’il faut sécuriser donc propose des contre maîtres qui surveillent les ouvriers et des techniciens qui organisent le travail. Ceci est

par rapport à l'offre ne peut se concevoir. II – L’école néo-classique Walras, Jevons, Menger ont fondé l'école marginaliste (à partir de 1870) Le point de départ des marginalistes consiste à analyser la fonction d'utilité. Les marginalistes pensent que la valeur des choses ne dépend pas réellement de leur coût de production mais de leur utilité. Les marginalistes distinguent l'utilité totale de l'utilité marginale. L'utilité marginale est l'utilité de la dernière dose d'un bien

et de l’école néoclassique du XIXe siècle et du début de XXe siècle va introduire les premières ruptures entre économie et ressources (Éloi 2009) en augmentant de manière importante le degré d’abstraction de théories économique, jusqu’à l’école marginaliste qui, grisée par l’industrialisation du XIXe siècle, s’affranchit des réalités posées par la finitude et les limites de notre environnement, en postulant qu’il est possible de tenir une croissance perpétuelle en augmentant le capital au fur et à

plan économique la propriété privé va s'éffacer et va céder sa place à l'Etat. L'Etat qui détient tous les moyens de production et qui va gérer l'économie. II La période 1870-1970 : une nouvelle analyse économique. 1- les néoclassique ou marginalistes. Après 1 Siècle de domination de l'école classique anglaise, un nouveau courant né --> le néoclassisisme. Ils pensent entre autre que les mécanisme du marché vont mener naturellement à l'équilibre ce qui s'appelle selon Adam Smith "le principe

l’interaction dans laquelle se trouvent producteurs et consommateurs, conduit à prendre en compte les désirs solvables de tous. Par ailleurs la conception wébérienne de l’action permet également d’intégrer sa dimension sociale sans rompre avec la théorie marginaliste à un second niveau. Par exemple et pour le comprendre, Weber explique en commentant la théorie de l’intérêt de Böhm-Bawerk, que le sociologue économiste doit en effet considérer cette explication économique de l’existence d’un taux d’intérêt positif

dans laquelle se trouvent producteurs et consommateurs, conduit à prendre en compte les désirs solvables de tous. Par ailleurs la conception wébérienne de l’action permet également d’intégrer sa dimension sociale sans rompre avec la théorie marginaliste à un second niveau. Par exemple et pour le comprendre, Weber explique en commentant la théorie de l’intérêt de Böhm-Bawerk, que le sociologue économiste doit en effet considérer cette explication économique de l’existence d’un taux d’intérêt positif

dans ce cadre toujours des crises de surproduction alors les crises précapitalistes étaient des crises de sous-production. Les crises sont vues par les marxistes comme un moyen pour le capitalisme de se renouveler. La révolution marginaliste La révolution marginaliste survient vers 1870-1871 quand William Stanley Jevons, Léon Walras et Carl Menger introduisent le concept d'utilité marginale centré sur la valeur pour le consommateur et récusent la valeur travail[43]. Toutefois, entre les trois fondateurs

L'École néoclassique naît de la « révolution marginaliste » dans les années 1870. Si elle connait avec Alfred Marshall et Arthur Cecil Pigou une forte influence, dans sa forme actuelle elle deviendra la principale école de pensée au début des années 1950. Dans la troisième édition de son livre Economics, qui a été un des manuels de référence alors, Paul Samuelson écrit en 1955, « ces dernières années, 90 % des économistes américains ont cessé d'être des « économistes keynésiens » ou « antikeynésiens