Les Marginalistes

l’état prolétarien. Section 2 : Le renouvellement de l’analyse économique (1870-1970) Les néo-classiques ou les marginalistes L’école classique anglaise a dominé la pensée économique pendant près d’un siècle, mais à la fin du 19e apparaissent simultanément en Europe de nouvelles écoles qui vont renouveler la pensée classique (école néoclassique et marginaliste). Ces écoles ont de nombreux points communs : – Ecoles libérales qui sont convaincues de l’efficacité des mécanismes du

de la religion et prise en charge des enfants par la collectivité . Problème ; contredit la dialectique marxienne en prévoyant une fin de l'histoire ! Chapitre 6 : La révolution marginaliste . Dans ce chapitre nous allons nous intéresser aux idées des économistes ayant contribué à la révolution marginaliste des années 1870. Et en particulier il y a 3 auteurs : -William Stanley Jevons, en Angleterre -Carl Menger en Autriche -Léon Walras en Suisse . Il n'y a pas forcément eu d'échanges

faire pour que la croissance dure ? ». En fait, ils ajoutent à la lecture de l'économie des classiques une approche plus formelle (c'est à dire mathématisée) et systématique en termes de marché et d'équilibre. Ils sont à l'origine du raisonnement marginaliste où les agents comparent le prix d’une unité supplémentaire avec l’utilité que leur procure cette unité supplémentaire: ils font donc un calcul.  Ils sont les fondateurs de la micro-économie et du raisonnement à la marge. ( Ils ont une interprétation

l'activité est négligé. → les facteurs de production a utilisé. C'est pourquoi on qualifie très souvent cette approche comme étant une économie de l'offre. Les deux caractères de l'analyse néoclassique : - repose sur l'utilité et sur le raisonnement marginaliste. - les raisonnements néoclassiques sont fondés sur le modèle microéconomique de Léon Walras. Ce modèle s'est construit de manière progressive au 18è et 19è siècle et il joue encore aujourd'hui un rôle dominant car il constitue une référence implicite

la pensée économique, alors que les classiques s’intéressaient aux grands circuits de productions, aux grands agrégats. Leurs successeurs vont essayer de fonder la science économique sur l’analyse des comportements individuels : « la révolution marginaliste ». C) Les néo-classiques. Le courant néo-classique émerge dans la deuxième moitié du XIXème siècle. Il regroupe des tendances différentes mais dont on peut tirer quelques traits communs. En particulier, trois éléments de ruptures avec les

neoclassiques : Les auteurs du courant néoclassique s’intéressent plus particulièrement, à l’analyse de l’équilibre de l’offre et de la demande sur les marchés. Leur approche est plus formelle (c’est à dire mathématisée) ils sont à l’origine du raisonnement marginaliste ’indicateur du climat des affaires en France, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité

faire pour que la croissance dure ? ».En fait, ils ajoutent à la lecture de l'économie des classiques une approche plus formelle (c'est à dire mathématisée) et systématique en termes de marché et d'équilibre. Ils sont à l'origine du raisonnement marginaliste où les agents comparent le prix d’une unité supplémentaire avec l’utilité que leur procure cette unité supplémentaire: ils font donc un calcul. Ils sont les fondateurs de la micro-économie et du raisonnement à la marge , exemple : ‘cout moyen et

1 unité drap =100h 90 heures Coût pour u de vin= 1.20 = 0.89 L'Angleterre vie en autarcie et le Portugal n'échange pas avec. Le Portugal doit renoncer à moins de drap que l' Angleterre. 3)1: Les marginalistes (Menger, Walras, Jevons) - La valeur se mesure selon la rareté 3 conséquences: * Les choses utiles et limités sont appropriables,( disponible en quantité limité. Le travail est utile est en quantité limité). Les choses rare * Si elle ont une

moins de licencier massivement. De plus, seules les grandes entreprises ont les moyens d’acheter des techniques de pointe, en conséquences les petites ferment à terme. Le capitalisme est donc voué à sa propre destruction. Les néoclassiques (marginalistes) La valeur Il y a une rupture par rapport à la valeur d’échange des classiques. Pour eux, ce qui fait la vraie valeur d’une marchandise est son utilité ; hors ce qui est utile pour un ne l’est pas forcément pour l’autre, la valeur est donc

politique. Les « classiques » anglais : Smith, Malthus, Ricardo, Mill et l’école française : Say V. La critique marxiste de l’éco politique et la contestation du « mode de production capitaliste » VI. Le nouveau paradigme de la microéconomie. Les « marginalistes » : Jevons, Menger, Walras et les successeurs néo- classiques VII. La « révolution » keynésienne et la construction de la macroéconomie VIII. L’ « Etat Providence » en question et la « contre-révolution » libérale Introduction : La science