Les Peuples Civilisés

: la destruction de l’inégalité entre les nations ; les progrès de l’égalité dans un même peuple : enfin le perfectionnement réel de l’homme. Toutes les nations doivent-elles se rapprocher un jour de l’état de civilisation où sont parvenus les peuples les plus éclairés, les plus libres, les plus affranchis de préjugés, les Français et les Anglo-américains ? Cette distance immense qui sépare ces peuples de la servitude des Indiens de la barbarie des peuplades africaines, de l’ignorance des sauvages

réquisitoire contre le colonialisme. PB. I) Une mise en garde persuasive : A) Un personnage singulier : le vieillard Vieillard est présenté comme un sage : « il était père d’une famille nombreuse » (l.1) synonyme de richesse et de sagesse pour son peuple. Comportement singulier : ne partage pas l’émotion de ces compatriotes physiquement : (l.3 rentra dans sa cabane); ni leur chagrin profond pour eux (« s’attachait à ses vêtements, pleuraient… »l5-6) C’est donc une attitude de rejet de mépris pour

comme des sauvages. Sous-argument 1.1Sous-argument 1.2 Dans l’extrait «  Voyages en Nouvelle-France  » de Jacques Cartier, les Français se montrent comme des hommes civilisés en s’efforçant de séduite les Amérindiens avec leurs biens et richesses. Dans le «  Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amériqu

ne sont pas plein de bons sentiments: ils sont là pour asservir les Otaïtiens et prendre tout ce qu'ils ont. Dans le chapitre où il intervient, il met en garde son peuple contre les réelles intentions des Européens, avant de s'adresser directement à Bougainville pour lui dire de quitter l'île et de ne jamais revenir asservir son peuple. Orou est un Otaïtien de trente-six ans, ayant une femme et trois filles, Asto, Palli et Thia. C'est lui qui acceuille l'aumônier chez lui. Lorsque ce dernier arrive

semble logique que la meilleure des sociétés soit la plus juste, et donc celle qui accorde le plus de crédit à la morale.Dans un premier temps, il explique que la morale n’est ni naturelle ni universelle mais qu’elle découle des conditions de chaque peuple. Il est donc impossible et inutile de la remplacer.Dans un deuxième temps, l’auteur affirme que la morale prive de la liberté, chaque individu étant contraint de faire son devoir sans demander l’avis de sa raison.Finalement, il conclut en déduisant

la lecture...). Elle couvre l'ensemble des activités réalisées par l'homme, elle est l'expression de la totalité de la vie sociale de l'homme (pas juste ses pratiques culturelles). Tout les peuples ont une culture > depuis notre société jusqu'aux sociétés dites "primitives". Il n'y a pas les civilisés vs les sauvages. Courant culturaliste (USA) > rôle important des années 30 à 50. Ce courant a donné 2 prolongements à la définition de TAYLOR : La culture est définie comme un ensemble

document 1 est un discourt écrit par Jules Ferry, il a été lu à la chambre des députés le 28 Juillet 1885, le sujet de ce discourt est la colonisation, ses objectifs et en quoi consiste t’elle. 2-Jules Ferry pense que la race supérieure doit civiliser les races inférieures, ici les habitants d’Indochine. Il veut mettre en valeur la France sur les enjeux économiques mondiaux ; il dit : « Rayonner sans agit, sans se mêler des affaires du monde, croyez-le bien, c’est abdiquer, c’est descendre d’un

l’élaboration d’un de ces trois thèmes : • Le progrès de l’humanité • L’humain dans son état de nature, avant la civilisation • L’humain dans son état civilisé En faisant la lecture du texte, le thème qui m’a le plus interpelé est le premier, Le progrès de l’humanité. Je vois en ce thème le passage qu’il y a entre l’état de nature et l’état civilisé de l’humain. Dans la première partie du discours, une grande section du texte est consacrée à des exemples d’antécédents historiques qui montrent que

aller peupler les nouveaux mondes, ce qui va engendrer l'expansion coloniale de la France (pays se disant supérieur), cette supériorité de la civilisation européenne sera un prétexte pour coloniser les races dites inférieures, comme l'évoque Jules Ferry le 28 Juillet 1885 «Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. Je répète qu'il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les

possessions territoriales. Cale est dut au choix de la manière de gouverner les colonies : la France a choisi la voie de l’assimilation, c'est-à-dire la diffusion des principes républicains et la culture française. Cela oblige donc les différents peuples à suivre des lois qui ne sont pas les leurs. La France a aussi opté pour une grande diversité de statuts, selon chaque région ou pays : seul l’Algérie a un statut de département français alors que la Tunisie, le Maroc et l’Indochine sont des protectorats