Les Peuples Civilisés

per le fait que c’est un peuple de guerriers. Or comme tout bon guerrier, ils ne pensent qu’a l’honneur, un véritable honneur, pas celui des européens. En effet, ils respectent leurs ennemies car ils se sont battus jusqu'à la fin puisqu’il ne connaissent rien d’autre que l’honneur : “de déroute et d’effroi, ils ne savent ce que c’est“ (l. 5-6). Comme tout guerriers digne de ce nom, ils ont toutes une codifications de leurs manières de vivre qui prouve qu’ils sont civilisés et moraux. En effet, le

et sa réalisation. B- L’humanisation de l’homme Cette perspective fait apparaitre la dimension humaniste de la culture. Il ne s’agit pas seulement d’avoir des connaissances, mais de marquer un souci d’autrui. La culture est donc une façon de civiliser les hommes afin de permettre une vie sociale plus conforme à leur qualité d’êtres de raison et de dialogue. Dans son étude, la Civilisation des mœurs, Nobert Elias a montré comment les cours occidentales se sont employées à polir les manières des

Georges Clemenceau est en désaccord avec cette méthode, jugeant la colonisation responsable de nombreuses pertes pour la France. Les Guerres coloniales couvrent « des actions fructueuses pour la haute finance, ruineuses pour le public, détournent le peuple d’affaires intérieures ». Du point de vu, du député radical républicain, la colonisation a un coût humain mais également financier beaucoup trop élevé et n’ouvre des débouchés que pour les fonctionnaires. Les conquêtes coloniales amèneraient, selon

satisfaction de vaincre le sauvage. La séparation physique (le grillage) entre le public et l’animal incarne la frontière entre la sauvagerie et la civilisation. Le zoo devient le symbole le plus explicite de la victoire de la culture sur la nature, du civilisé sur le sauvage. À travers les zoos humains, l’Occident consolide son sentiment de dominer la nature et tous les êtres vivants. En effet pour l’Europe la supériorité de l’homme blanc est indéniable, garant des valeurs de la civilisation, les autres

de mots sont plus employés, peu de mots sont moins définis que celui-là. On entend quelquefois par civilisation un état de mœurs adoucies. On entend d'autres fois la facilité, la fréquence des relations entre les hommes. On imagine encore qu'être civilisé, c'est avoir des chemins de fer et causer par le téléphone. En d'autres cas, au minimum, cela consiste à ne pas manger ses semblables. Il ne faut pas mépriser absolument ces manières un peu diverses d'entendre le même mot, car chacune est précieuse ;

|     Selon Cartier, le «sauvage» est facilement assimilé aux coutumes |     Lahontan affirme spontanément, à l’aide d’une comparaison, | |des Français. |la possibilité de dénaturer le peuple huron et non le peuple | | |français. | |Illustration 1.1 |Illustration

« civilisée » des Européens. Dans cet extrait nous pouvons voir que la problématique posée est en fait de définir qui est sauvage ou non. Suivant Montaigne, c’est en fait nous, les personnes factices et « altérées », qui sommes sauvages, et non un peuple non-conforme à nos usages. Ce texte paradoxal veut montrer que nous ne pouvons pas toujours être juge sur des choses que nous ne pouvons comprendre forcement. Ce qui est enjeu dans ce texte c’est en fait l’opinion publique, et la notion de sauvage

sont différents d'une société à une autre. Cette différence conduit à voir l'autre comme un barbare .Cette impression que le barbare est forcément l'autre se retrouve dans de nombreuses civilisations. D’où deux peuples peuvent ainsi s'opposer en étant chacun persuadé d'être plus civilisé que l'ennemi. Des situations ou l’on voit ainsi s'affronter des colons européens avec des tribus indiennes, chacun des deux partis, animé d'une égale férocité, hurlant que les autres ne sont que des "sauvages, même

jougs l’humanité se lasse ; Quand il est quelque part un peuple à secourir ; Qui donc à l’horizon voyez-vous accourir ? À genoux, opprimés ! c’est la France qui passe ! Sans espoir et sans Dieu l’enfant de la forêt Traîne-t-il sa misère à l’autre bout du monde, Qui donc va lui verser la lumière féconde ? Nations, saluez ! car la France apparaît ! De l’immense avenir resplendissante aurore, Pour vous joindre en faisceau, peuples de l’univers, Faut-il percer les monts ou rapprocher les

En effet, la culture d’un peuple, nous permet d’être plus civilisé, et donc de mieux vivre auprès de nos semblable. Nous obéissons a certaine coutumes, qui nous différencie une fois de plus des animaux. Nous enterrons nos proche décédé, dans des lieux fait pour cela, ce qui nous permet de les honoré, et de ne pas les oublié malgré tout. Les animaux ne prennent pas en compte les décès. C’est pour cela que la culture nous arrache a la nature, et nous rend plus civilisé, plus responsable.