Les Peuples Civilisés

références à la morale et aux valeurs de notre société actuelle. L’adaptation pour les enfants de ce roman avec « Vendredi ou la vie sauvage » achève en quelque sorte le projet de démocratisation de ce mythe, comme un manifeste de l’amitié entre les peuples. Le roman de Michel Tournier prend sa forme romanesque de l’initiation. En effet le personnage de Robinson dans sa mésaventure évolue, tant sur le plan moral que sur le plan religieux. Le roman connaît de nombreuses étapes d’abord le naufrage

rapport à ce modèle comme un signe d'infériorité. C'est l'ethnocentrisme qui conduit à parler de sociétés « primitives », comme si certaines sociétés étaient restées à l'état premier, préhistorique, nous seuls étant parvenus par le progrès à l'état civilisé. Lévi-Strauss montre que, parce que notre histoire est surtout caractérisée par un développement des sciences, des techniques et de la puissance économique, nous nous imaginons que les sociétés qui n'ont pas su progresser sur ces trois plans sont

1-Histoire des peuples indigènes Les premières conquêtes sont le fait des Espagnols, qui rapidement après avoir traversé une partie de l'Amazonie, voulurent pénétrer sur les terres des Mebêngôkre. Ils massacrèrent beaucoup de femmes et d'enfants alors que les hommes luttèrent contre eux en tentant de les repousser. Les découvreurs passaient des accords avec les tribus qui devenaient leurs fournisseurs en matériaux exotiques. Pour répondre aux besoins de main d'œuvre en particulier des plantations

et l’injustice des colons « Si un tahitien débarquait »l.17-19 en passant par une supposition feinte le vieil homme met l’accent sur le comportement malhonnête des colonisateurs qui se traduit par le vol d’un pays et la soumission arbitraire d’un peuple à un autre, il utilise l’argument des envahisseurs pour mieux le réfuter par la suite en interpellant de façon directe le voyageur Bougainville l.19 « Qu’en penserais-tu ? » l.23 « le vol de toute une contrée » renforcée par l.26 « celui dont tu

l’éloquence du sauvage. I- L’éloge de la vie sauvage 1- L’innocence et le bonheur des tahitiens Une équation est d’emblée portée = vie naturelle = innocence = bonheur. L’état idéal est donc l’état de nature, c'est-à-dire non civilisé. Les lois sont définies dès les premières lignes. Les lois naturelles réagissent l’état de nature. Le pur instinct domine et la notion de propriété n’existes pas « tout est à tous «  y compris dans la vie sexuelle : « nos filles et nos femmes

dans toutes l’Europe. Au niveau littéraire, elle était très critiquer par les auteurs, soit dans des discours, des romans par exemple. Je vais vous parler de deux écrivains importants qui jugent cette révolution comme étant un chaos total pour le peuple et les villes : Charles dicken ( romancier anglais durant lépoque victorienne) et Victor Hugo considéré comme l’un des plus important écrivain de la langue francaise. Nous allons tout d’abord commencer avec victore hugo : Au cours de la première

vivre "libre, sain, bon et heureux". c) Rousseau veut prouver que la Métallurgie et l'Agriculture sont la cause de ce changement. "ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes…" forme emphatique qui met en relief les raisons du changement de l'homme sauvage heureux en homme civilisé corrompu. l.21 il montre que les peuples qui ne connaissent pas le fer et le blé "sont toujours demeurés tels". Et que l'Europe qui en est abondante a été la mieux policée(=civilisée). B. Volonté de provoquer

A première bord, Hugo démontre que la société à l’époque est capable d’accepter la guillotine qui est un acte inhumain. En effet, le peuple dans l’extrait de « En route vers la mort » ne semple pas valoriser la vie humaine. Il assiste à la guillotine du condamné en grand nombre ainsi que les jeunes enfants et les marchands quittent leur boutique pour voir le condamné mourir comme un spectacle théâtrale ou il y avait : « pleins de spectateurs heureux de leurs belles places […] la journée doit etre

croire en la barbarie est finalement diviser l'humanité entre « civilisés » et « sauvages »,de plus le barbare refuse la diversité culturelle, cela revient à dire qu'il fait preuve d'ethnocentrisme (voir question 2). Il va effectuer une une hiérarchisation des peuples et des cultures et se considère supérieur aux autres et s’octroie le pouvoir et le droit de juger l'autre comme appartenant ou non à l'humanité ( « barbare ou civilisé »). La phrase «  Le barbare, c'est d'abord l'homme qui croit à la

nourrit que des chèvres bêlantes. Car les Cyclopes n’ont pas de vaisseaux peints en rouge pour aller sur les mers, de ville en | |5 |ville, comme font les hommes ; ils n’ont pas de constructeurs de navires à rames, sans quoi ils auraient pu peupler cette île. Elle n’est pas mauvaise : | | |elle donnerait de bonnes moissons car la terre y est grasse. Son port est sûr : on n’y a pas besoin d’ancres ni d’amarres. Au fond de l’anse, une eau | | |claire jaillit de sous une roche ;