Les Procédés Théâtraux

vraies malgré la convention théâtrale si forte : des gens qui font semblant de jouer une situation, en faisant semblant de ne pas savoir qu'il y a d'autres gens qui les regardent, qui, eux-mêmes, font semblant d'oublier qu'ils voient un truc qui se passe "pour de faux" et font aussi semblant de ne pas être là... c'est assez dingue quand on y pense, et pourtant, ça marche ! Résumé: A Athènes, dans l'Antiquité, les citoyens assistaient en masse aux représentations théâtrales. Le théâtre y était considéré

Une cérémonie et des rites Le spectacle théâtral apparaît dans le récit d’Anna comme un cérémonial avec ses rites, ses éléments et son décor : la « salle », les « lumières », le « rideau », qui, une fois « levé », signale le début de cette cérémonie magique… Dans une « atmosphère chaude et embaumée », les « officiants » sont les spectateurs et les acteurs, entre lesquels se crée une réelle communion d’« âmes ». À la différence de la lecture théâtrale, le corps est sollicité, les sens sont

appel à la raison du lecteur (indices de l'énonciation rares ou absents, structure claire et rigoureuse, procédés tels que la concession…) - Persuader : faire appel aux sentiments - Délibérer : discuter et analyser une situation en vue de prendre une décision. On mobilise des arguments contradictoires afin d’arrêter son choix. Cela peut être un discours intérieur ou à plusieurs. II – Les procédés de l’argumentation - Les figures d'animation, d'analogie, de substitutions (la comparaison, la métaphore

abri post-apocalyptique. II Le jeu de l’acteur. * Mais la représentation du jeu dans Fin de partie n’est pas seulement divertissement et amusement. Il est aussi le jeu de l’acteur. En effet les références théâtrales dans l’œuvre sont multiples, et Beckett utilise même des procédés de mise en abyme. A) Mise en abyme : * Ainsi, les personnages jouent une pièce dans une pièce que constitue l’œuvre de Fin de Partie. Le prologue de la pièce composé de nombreuses didascalies, peut représenter

présente : « vous,… »). Tous ces éléments mêlés amène doucement le spectateur à réfléchir, à penser. Le discourt doit poursuivre un plan progressif pour assurer une logique simple et clarteuse pour une bonne compréhension. Il doit aussi utiliser les procédés de la persuasion comme l’injonction (ordre) l’interrogation rhétorique (pose la question et répond lui-même) les hyperboles (exagérations), les anaphores (utiliser plusieurs fois le même mot pour insister et soulever la curiosité). Le public est

scène 3 (1647) 2. – S. Beckett, Oh ! les beaux jours, début de l’acte premier (1963) 3. – N. Sarraute, Pour un oui ou pour un non, (1982) 4. V. Novarina, L’Atelier volant (1989) Question (4 points) 1- Quelles particularités présente l’écriture théâtrale de chaque texte ? Vous relèverez au moins une particularité pour chacun des textes. (2 points) 2- Quels éléments montre que chacun des quatre extraits renvoie à une certaine situation de crise, (qui est aussi celle de la parole elle-même) ? (2 points)

des caractéristiques propres à l’absurde. C’est Martin Esslin qui a nommé ce genre théâtrale, le théâtre de l’absurde, c’est lui aussi qui a classer les œuvres de certain auteur dans ce mouvement : Il associe au théâtre de l’absurde les auteurs suivant, en plus de Beckett et Ionesco, Arrabal, Adamov et Genet. On retrouve cette absurdité aussi dans le théâtre de Sartres et Camus 2) Rhinocéros est le «  reflet théâtrale » de la vie de Ionesco, il subissait la pression de ses professeurs et de ses camarades

bourgeois des effets qui vont émouvoir et amener les spectateurs à aimer la vertu comme dans Le Fils Naturel de Diderot. En effet il existe différents effets qui peuvent être provoqués et perçus par les spectateurs en fonction du type de représentation théâtrale. Ces effets peuvent être très fins et très subtiles. Certains de ces effets ne sont pas ressentis de tous les spectateurs c’est pourquoi on dit qu’ils sont fins. Il existe aussi des effets plus « gros » et donc compris de tous les spectateurs. Certains

Mystère : C’est un genre théâtral apparu au XV ème siècle. Ce genre mettait en scène des histoires et des légendes. MIRACLE : est une petite narration (500 à 3000 vers) relatant une action humaine où l'élément divin apparaît dans le dénouement. TRAGEDIE : est une œuvre théâtrale dont l’origine remonte au théâtre grec antique. TRAGI-COMEDIE : est un style de jeu dramatique ou d'écriture théâtrale alternant ou mêlant divers genres théâtraux. Comique, tragique, farce, mélodrame

Dissertation : Dans quelle mesure peut-on dire que Cyrano est une pièce qui a besoin d’être jouée pour être appréciée ? Cyrano de Bergerac, écrit par Edmond Rostand au XIX siècle est une pièce de théâtre qui, comme tout texte théâtral a la faculté de pouvoir être représenté sur scène. Cette pièce établie le juste milieu entre texte écrit et représentation. Pourquoi peut-on dire que cette pièce a été écrite dans le but de devoir être représentée pour être mieux comprise et appréciée ?