Les Questions Rhétoriques

CORRIGE TYPE Matière : Devoir n° : FR20 02 Epreuve de recette du : 01/08/12 7FR20CTPA0212 statut: 81 Objet d’étude : Genres et formes de l’argumentation : XVIIe et XVIIIe siècles Questions (8 points) 1. Quelle est la cible commune visée dans les deux textes ? Quelles sont les critiques formulées par les deux auteurs ? (2 points) Ce sont les courtisans qui sont visés respectivement par La Fontaine et La Bruyère : ils sont désignés par les termes « Messieurs les Courtisans » (v.16), «

caractérisé par l’alternance entre les verbes au passé simple « Courut », « recourut » et à l’imparfait « daignait », « regardaient ». Ensuite, la fable arrive à être agréable premièrement grâce à l’implication du lecteur, notamment avec les questions rhétoriques comme « Que fit le harangueur ? » ou « Ce qu’elle fit

introduit par le thème du temps qui passe et qui est, sans doute, le thème principal du poème : Autant qu’un poème d’amour, Le Lac est une méditation sur la fuite du temps. Comment arrêter le cours du temps ? C’est la question que se pose le poète, sous la forme d’une question rhétorique qui exprime l’impuissance et le désespoir (v.3-4). Lamartine reprend la métaphore antique de la vie qui coule comme un fleuve qu’il renouvelle par l’image de « l’océan des âges » et de l’homme comparé à un bateau

Insistance avec les compléments de manière et de lieu (répondent au question comment et où)· 1 et 2 : présente le personnage qui est indissociable de son pot · 3 : « prétendait » = imparfait du verbe prétendre. On sait que ça ne va pas arriver. · 1 à 3 : met en place la situation : Perrette part précautionneusement à la ville

fous » (l-21). Pire encore, elle n’a aucune existence qui souligne la répétition de la conjonction « ni » à la ligne 24 qui marque la négation complète. Le déterminant « même » à la ligne 26 (qui a une valeur de mise en relief) après l’interrogation rhétorique « Que dis-je », tout ça exprime cette absence de statut, en même temps son indignité. C’est la raison pour laquelle elle indique toutes les femmes à abréger ses lois, l’anaphore répété par 5 fois souligne avec force cet appel, on peut parler même

divertissement. En effet lui seul sait rassembler et émouvoir autour d'un même thème toutes les classes sociales sans distinction que ce soit la noblesse, la bourgeoisie ou le peuple. Art noble, la visée classique a fait du théâtre un art de la rhétorique formellement parfait, limitant de ce fait le théâtre à sa partie écrite, comme le dit si bien M. Arthaud (1896-1948) dans Le Théâtre et son double (1938) : « Pour nous, au théâtre, la Parole est tout et il n'y a pas de possibilité en dehors d'elle »

est opposée au langage et en effet ces deux actes sont considérés dans l’opinion collective comme contraire. La question est ici de savoir laquelle de ces deux méthodes est la plus efficace pour arriver à ses fins, défendre une idée ou encore un droit. Manifester est-il plus efficace que de produire un discours devant une assemblée ? Faut-il préférer les actes aux paroles ? La question se pose car nous considérons que l’acte est de nature plus concrète et la parole de nature plus abstraite et nous

5. LA RHETORIQUE L'enjeu de la controverse, c’est donc, apparemment, d’énoncer une loi de la naturepour fonder une loi de la société. En fait, il ne s'agit pas simplement d'établir et de manifester la vérité, mais de la faire admettre, faire admettre un regard sur l’Autre sans préjugé, haine ou calcul, à l’encontre des intérêts qui commandent un tel regard. L’enjeu est plus complexe, plus politique et donc plus soumis à des tentatives de falsification. C’est une vérité sous pression, une vérité

Rhétorique de l'image Roland Barthes Selon une étymologie ancienne, le mot image devrait être rattaché à la racine de imitari. Nous voici tout de suite au cœur du problème le plus important qui puisse se poser à la sémiologie des images : la représentation analogique (la « copie ») peut-elle produire de véritables systèmes de signes et non plus seulement de simples agglutinations de symboles ? Un « code » analogique - et non plus digital - est-il concevable ? On sait que les linguistes renvoient

Rhétorique de l'image Roland Barthes Selon une étymologie ancienne, le mot image devrait être rattaché à la racine de imitari. Nous voici tout de suite au cœur du problème le plus important qui puisse se poser à la sémiologie des images : la représentation analogique (la « copie ») peut-elle produire de véritables systèmes de signes et non plus seulement de simples agglutinations de symboles ? Un « code » analogique - et non plus digital - est-il concevable ? On sait que les linguistes renvoient