Les Recours Contentieux Communautaire

juridictions subissent la pression du droit européen && de la convention UE. Ensuite, plusieurs facteurs interviennent : l'admin, le juge admin && l'administré (citoyen, usager) qui prennent des décisions avant même le contentieux (droit admin = art de la décision && non art du contentieux). Les citoyens ne saisissent le juge admin que s'ils pensent que l'admin à mal agit. Enfin ce droit est complexe && n'est pas parfait, il est parfois inadapté. Dans toutes les sociétés où le droit && l'admin existent

A/la notion de contentieux administratif : Concernant cette notion, il faut dire ici que le contentieux c’est l’ensemble des litiges qui sont susceptibles d’être jugés et portés devant le juge qui les règle selon les règles de la procédure contentieuse. *le contentieux de l’adm est l’ensemble des litiges auxquels est partie prenante une personne publique (ou personne privée chargée d’un service public) et qui sont résolus devant le juge adm et le juge judiciaire. Le contentieux adm correspond

Contentieux Administratif Définition : Le contentieux administratif est l’étude du procès administratif. Quel est le juge compétent, quel est son statut ? Le juge administratif est extérieur selon la Constitution à l’autorité judiciaire, mais il est une autorité juridictionnelle. La procédure du contentieux administratif s’est créée contre la procédure judiciaire (des parlements), lente et coûteuse. Pour autant, ces deux types de procédures (judiciaire et administrative) se sont rapprochés. L’exemple

Pour le juge communautaire il s'agit d'un exercice difficile comme le reflètent les formules qu'il emploie aussi diversifiées qu'embarrassées pour qualifier ces moyens sérieux. - Urgence et préjudice L'urgence est la notion fondamentale qui justifie toute l'organisation de la procédure de référé et commande les règles de forme basées sur la rapidité et les règles de fond consistant dans le caractère provisoire des décisions de référé. L'urgence est rarement définie par le juge communautaire ; il faut

La frustration des juridictions suprêmes nationales face à la supranationalité de la Cour Commune de Justice et d’Arbitrage de l’OHADA L’institution d’une juridiction communautaire a sonné comme un coup de tonnerre dans le ciel judiciaire africain. Désormais, un spectre hante les juges suprêmes nationaux, celui de l’impérialisme de la cour commune de justice et d’arbitrage. Ces juges qui régnaient en « maitres absolus » dans le contrôle de l’interprétation et de la bonne application des lois

Tribunal, la répartition des compétences entre les deux instances (renforcement des attributions confiées au Tribunal), les modalités d'adoption de leur statut et de leur règlement de procédure ainsi que le traitement des litiges relatifs aux titres communautaires de propriété industrielle. Les dispositions du traité de Nice relatives au système juridictionnel sont nombreuses : elles se retrouvent dans neuf articles principaux, un protocole relatif au statut de la Cour de justice et du Tribunal ainsi

de désigner les juridictions compétentes pour mettre en oeuvre les droits conférés par le droit communautaire, cette autonomie est encadrée. En particulier, conformément au principe d’effectivité, la désignation des juridictions compétentes ne doit pas rendre excessivement difficile l’exercice de ces droits. Si la loi de transposition a désigné des juridictions spécialisées pour connaître des recours fondés sur ces droits, il faut vérifier que la saisine des juridictions ordinaires pour les litiges

transférer au moins une part du contentieux administratif à des organismes internes à l’administration. Ce transfert est connu sous le nom de l’administrateur-juge. C’est l’administration qui jugeait des litiges survenant dans l’administration. Mais ce système a perduré tout au long du XIXe siècle jusqu’en 1889. A. Le système de l’administrateur-juge. Il fallait distinguer, selon que le contentieux était local ou central. Au plan local, certains contentieux spécialisés étaient dévolus au directoire

réglementaires du roi ( pouvoir général d’exécution, pouvoir réglementaire attribué et pouvoir réglementaire autonome - Les mesures prises par le roi sont examinés par le pouvoir législatif - Les arrêtés de pouvoirs spéciaux sont soumises à la section du contentieux administratif du Conseil d’Etat - Le roi exerce son pouvoir réglementaire sous la forme d’arrêtés royaux qui sont publiés intégralement au Moniteur belge - Les magistrats sont nommés par le roi - Les décisions de justice sont exécutées au nom

problèmes sont abordés par l’intermédiaire du contentieux. En ce qui concerne les actes administratifs, le problème de la légalité des actes administratifs est essentiellement abordé à travers la recevabilité du recours pour excès de pouvoirs et des moyens qui peuvent être soulevés devant le juge administratif. Pour éviter que la juridiction soit submergée par les recours, il y a des conditions de recevabilité (ex : les circulaires : quand on forme un recours pour excès de pouvoirs, on doit obligatoirement