Les Risques D Une Souveraineté Populaire

Il y a plusieurs acceptions de l'Etat : géographique : c'est la localisation de l'état. juridique : une personne moral de droit public qui présente des caractéristiques spécifique et unique. Exemple : la souveraineté, l'état est le seul à être titulaire de la souveraineté. Deux théorie récurrentes sur l'origine de l'état : « le contrat social » de Rousseau : au 18ème siècle, les révolutionnaire se sont appuyer sur cette théorie. Les hommes à l'origine se trouve dans un état de

générale de l'Etat) : cette définition conduit assimiler l‘Etat aux éléments qui conditionnent la formation de l’Etat. in abstracto : une personne morale de droit public souveraine. La souveraineté : Notion dégagée par Jean Bodin, De la République. Le fait que l'Etat soit détenteur de cette souveraineté implique qu'il n'est pas subordonné à un autre pouvoir. Jellinek : « l'Etat dispose de la compétence de la compétence ». |Les formes de l’Etat

La notion de démocratie « La démocratie c'est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. » Lincoln Au sens étymologique du terme, la démocratie est le régime politique dans lequel la souveraineté est exercée par le peuple. Cependant, cette définition ne suffit pas à rendre compte de la démocratie. La démocratie est un processus, une construction : création historique, elle est en recréation continue. Athènes, au Vème siècle avant J.C., invente la démocratie et en énonce les

dans une tradition républicaine qui s’est mise peu à peu en place depuis la Révolution française. La réforme constitutionnelle de 1962, instaurant l’élection du Président de la République au suffrage universel concourt à un renforcement de la souveraineté nationale tout en accentuant la primauté de l’institution présidentielle voulue par le Général de Gaulle. Ses successeurs, à partir de 1969, vont maintenir ce principe mais dans des conditions variables au gré des alternances et des cohabitations

peut parfois poursuivre d’autres objectifs et même entrer en conflit avec le groupe. Voilà pourquoi, la notion de pouvoir très souvent confondu avec celle de gouvernant ou de dirigeant, renverrait plutôt chez certains auteurs aux gouvernés (pouvoir populaire). La réunion des deux notions : gouvernants et gouvernés donne le Pouvoir National. L’expression symbolise l’entité humaine qui se trouve à l’intérieur des limites géographiques d’un Etat. Le pouvoir national renvoie donc au pouvoir politique appliqué

cette définition classique de l’Etat qu’il va tout d’abord s’agir d’analyser. On verra dans un second temps que cette définition fondée sur ces trois éléments s’avère insuffisante : il manque un autre élément dont découlent tous les autres : la souveraineté. Section 1. – La définition classique de l’État § 1. Les trois éléments constitutifs A. Un territoire Le territoire apparaît à l’évidence comme une condition de la reconnaissance d’un Etat. Le

une autorité politique exclusive qu'on appelle la souveraineté. Cela veut dire que l'état ne subit aucune entrave vis à vis d'un autre état sauf celle qu'il aurait librement acceptée. L'état est caractérisé par l'existence d'une puissance publique, c'est une organisation politique et juridique qui est doté d'un pouvoir de contrainte et d'un pouvoir de sanction. On distingue la souveraineté de l'état que la souveraineté dans l'état. A/ Souveraineté de l'état Notion qui a été dégagé par Jean Bodin

correspond à un ensemble de règles de droit créées dans le cadre d'un Etat pour être appliquées dans cet Etat. Qu'est-ce qu'un Etat ? -> C'est une entité souveraine dotée d'un territoire, d'une population et d'un gouvernement effectif. La question de la souveraineté et du gouvernement. Elle renvoie à la fois à un appareil juridique et un appareil politique. Politique, gouverné, mettre en place une politique, un programme politique. Ex : gouv Fillon, Jospin .. Il renvoie aussi à un appareil juridique, gouverner

théâtre de nombreux affrontements entre les autorités de la République de Chine (Taiwan) et celles de la République populaire de Chine, au nom d’une souveraineté que chacune des deux parties affirme être légitime, au risque parfois de glisser vers un conflit ouvert, comme ce fut le cas, entre autres, lors de la crise des missiles de 1995-1996[i]. Mais en 2006, quels sont les risques alors que chacun exprime sa volonté pacifique et semble se concentrer sur son développement économique, dans un cadre

électorale élargie d'environ 80 000 grands électeurs, cela dans le but d'une part de renforcer la légitimité des présidents à venir, De Gaulle estimant suffisante sa légitimité historique et d'autre part marquer par là les prémisses d'une élection populaire. Le projet est accepté par référendum, la Constitution de 1958 voit le jour et la V e République avec elle. Toutefois De Gaulle n'est pas encore satisfait, ainsi par le biais de deux révisions constitutionnelles il va proposer deux idées dont parmi