Les Risques Simples Et Les Risques Aléatoires

UE11 Modélisation statistique Il faut apporter une calculatrice scientifique (pour les log et exp) aux eds et en partiel ! Le cours est complexe et il y a beaucoup de formules qui sont soit à apprendre et à savoir appliquées lorsqu’elles sont « simples » soit à oublier quand elles sont horribles (le partiel sera comme les eds, donc il faudra voir à ce moment quelles sont vraiment les formules importantes). Le prof insiste sur le fait de s’inscrire sur le cours de didel car les infos seront transmises

pour lui ou pour un tiers en cas de réalisation d’un risque, une prestation par une autre partie, l’assureur, qui prenant en charge un ensemble de risques, les compense conformément aux lois de la statistique2 ». Celle de Picard et Besson : « une opération par laquelle une partie - l’assuré – se fait promettre, moyennant une rémunération – la prime – une prestation par une autre partie – l’assureur – en cas de réalisation d’un risque ». Celle de Lambert qui donne une définition purement

exclusion. Pour parvenir à cette solution la cour de cassation ce fonde sur l’article 1315 CC en effet selon le 1 ali de ce texte «celui qui réclame l’exécution d’une obligation doit la prouver» la charge de la preuve de l’assureur ou du non exclusion du risque couvert devrait incombe à l’assuré aussi la cour de cassation pour déplace la charge de la preuve sur l’assureur se refaire au 2 ali de l’article 1315 réciproquement celui qui se prétend libre doit justifier le paiement ou le fait qui a produit l’extinction

fonction densité de probabilité de la racine carrée Y d’une variable aléatoire uniforme X définie dans l’intervalle [0;4] ainsi que la moyenne, la variance et la médiane de la variable Y X tel que RESOLUTION : Donc  Y fonction croissante de X  Donc – tel que (voir graphique) pour Soit X la variable aléatoire continue de densité X tel que Montrer que obéit à la même densité f(x) RESOLUTION :  Donc Soit T une variable aléatoire continue dont la densité de probabilité est T tel que a) Sachant

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 129 7 Modèles d’actifs avec sauts 1 Processus de Poisson . . . . . . . . . . . 2 Description de l’évolution de l’actif risqué 3 Evaluation et couverture des options . . . 3.1 Les stratégies admissibles . . . . 3.2 Pricing . . . . . . . . . . . . . . 3.3 Prix des calls et des puts . . . . . 3.4 Couverture des calls et des puts . 4 Exercices . . . . . . . . . . . . . . .

aventure ». Prêts à la grosse aventure: - mélange de spéculation et d’assurance car le prêteur n’avait droit à aucun remboursement si le bateau faisait naufrage. - mais si l’expédition réussissait, il touchait une compensation élevée pour le risque pris. - l’Église va condamner cet aspect spéculatif pour laisser place à l’assurance maritime. L’écrit qui matérialisait l’assurance s’appelait POLICE. ( Création de la compagnie Royale d’assurances Maritimes en 1816. L’assurance vie = XVII

d'être sélectionnée. 1 Les méthodes aléatoires (probabilistes) L'échantillonnage probabiliste entraîne la sélection d'un échantillon à partir d'une population, sélection qui repose sur le principe de la randomisation (la sélection au hasard ou aléatoire) ou la chance. Il est plus complexe, prend plus de temps et est habituellement plus coûteux que l'échantillonnage non probabiliste. 1. L’échantillonnage aléatoire simple Principe : Il consiste à choisir des individus

assurer la protection de son personnel et ses actifs, maintenir la satisfaction de ses clients, préserver sa réputation. Limiter les éventuelles conséquences financières ou judiciaires d’un tel événement. L’évolution permanente de la sphère de risque, l’exigence des parties prenantes et la médiatisation de certains événements font de la crise une exposition inhérente à toutes les entreprises. Profondément déstabilisatrice voir destructrice, souvent synonyme de pertes de repère, la Crise est

Passivité du conso (réaction pas action), on ne sait pas pourquoi il réagit comme ça, on sait juste qu’il le fait Cognitiviste : (70’s) Le traitement de l’info est au centre de la réflexion. Le consommateur est un acteur stratégique, il perçoit le risque qd il achète. Affective (80’s) : Submergé par les infos, le consommateur émotif va aller vers l’alternative la plus courte, confortable, il recherche le plaisir, l’émotion. Séance 4 : Les motivations et attitudes du consommateur à étudier

échantillonnage non-aléatoires • (se mettre sur un passage piéton: certain endroit, certain moment lʼéchantillonnage par convenance GB convenience sampling) • lʼéchantillonnage par quotas - GB quotas sampling - un échantillonnage qui reflète la totalité quant aux certains critères • lʼéchantillonnage typique - un village qui vote toujours comme la totalité (on juge sur le comportement dans le passé). e.g. mélange Nancy - Besançon est un échantillon type pour tester un produit en France aléatoires •lʼéchantillon