Les Vengeurs

foyers! De les venger ou de les suivre! Quoi! ces phalanges mercenaires Terrasseraient nos fils guerriers! Amour sacré de la Patrie Grand Dieu! par des mains enchaînées Conduis, soutiens nos bras vengeurs Nos fronts sous le joug se ploieraient Liberté, Liberté chérie De vils despotes deviendraient Combats avec tes défenseurs! Les maîtres des destinées. Sous nos drapeaux, que la victoire

athées ! ! On peut partir du constat, l’athée est insensible, imperméable au concept de Dieu. L'idée de Dieu glisse sur lui comme une goutte d'eau sur une paroi de verre. Il est réfractaire à toutes les belles histoires de Paradis, de Dieu Amour ou vengeur, que l'on voudrait lui faire croire.! ! Il y a une incohérence et un scepticisme sur la religion. La raison conduit à ne pas croire à des phénomènes supranaturels. Elle contribue certainement pour une grande part à l'imperméabilité au concept de

le monde ».Et pourquoi s'en priverait-il? Il n'est pas le seul à le faire comme il le constate à la l.26-27. Mais le comble de l'immoralité apparaît avec ce nouvel avantage qu'apporte l'hypocrisie: celui de la vengeance personnelle « je me ferai vengeur des intérêts du ciel » l.59-60. Il se prend ici pour le bras de dieu, son représentant sur terre à travers cette phrase. Il trouve du plaisir à se venger. Molière dénonce l'hypocrisie, et son personnage s'en sert , et cela va lui permette d'être méchant

vergogne.Tu m’emporteras sur tes ailes glacées,Par dessus les montagnes enneigées ;Par dessus les cris déplacés,Par dessus la douleur propagée ;En riant des gorges serréesEt des menaces dérisoires proférées,Quand des poings rageursVoudront jouer les vengeurs.

André Chénier ne serait plus ni un imitateur des Grecs, ni un versificateur de l’Encyclopédie. Il allait se révéler poète au sens le plus profond du mot, c’est-à-dire tirer de son âme, de ses colères, de ses indignations, des traits immortels et vengeurs. À Saint-Lazare, il compose sans doute une élégie un peu fade, la Jeune Captive ; mais il écrit aussi ses Iambes, qui sont de la satire lyrique. Il y a environ cent vers qui ne sont, cette fois, imités de personne, ni pour le fond ni pour la forme

Tout à droite, une femme transformée en torche tombe dans le vide. En dessous, le corps d'une autre femme, avec un pied difforme continue le mouvement s'affalant sur le cheval. D'une fenêtre apparue de nulle part, sort une tête avec un bras vengeur tenant une torche. Ses seins sont cloutés. Une ampoule, qui éclaire violemment, casse l'ombre. Quatres flammes, lui font un écho lugubre à droite. Sur une table, agonise un oiseau frappé par une lumière violente. La lumière ne vient

terme pourrait être". Comme vous le constaterez dans le titre, Dieu est l'un des motifs centraux du roman. Tout au long de l'histoire, Dieu transforme l'image de l'enseignant. Au début, il rejette Dieu, il le voit plus tard, même comme un Dieu vengeur et terrible. Le soi-aversion se reflète dans sa marche avec le prêtre, dans lequel il voit les enfants pauvres dans les fenêtres. Elle est suivie par une phase dans laquelle l'enseignant a accepté simplement ce que Dieu remonte aux discussions avec

Clitemnestre, est la soeur d'Oreste et d'Iphigénie. Avec son frère, elle va tuer Egisthe puis sa mère. (les textes proposent plusieurs versions dramatiques et des degrés de culpabilité, mais le résultat est le même). Oreste est surtout connu comme le vengeur de son père, le meurtrier de sa mère et d'Egisthe qu'il égorgea dès qu'il parvint à l'âge d'homme. Il sera poursuivit toute sa vie par les Erinyes (3 soeurs, divinités redoutables poursuivant les méchants et les criminels pour en tirer vengeance)

émet des doutes (modalisateur : « je crois ) et cherche à justifier ses actes en prenant appui sur l’histoire. Si le lion n’est pas convaincu , les autres personnages (courtisans) ne le sont pas d’avantages. Le dieu, tel qui l’est décrit est un Dieu vengeur comme celui de l’ancien testament. Pour échapper au sentiment de culpabilité la foule cherche un bouquet misères. L’âne est la victime expiatoire exemplaires, il paye donc pour tout les autres. La fontaine est donc pessimiste et lucide lorsqu’il

encore plus discutable car il semble avoir extrapolé le texte d’Eschyle afin de pouvoir faire entrer cette ἀναγνώρισις dans sa classification. Il amène comme preuve qu’Oreste a reconnu Électre grâce aux prières prononcées concernant le retour du vengeur. Cependant, il est peu probable qu’il l’identifie par l’intermédiaire de telles prières étant donné qu’Électre n’a pas encore pris la parole au moment de la reconnaissance . Il nous semble donc plus approprié d’appréhender cette scène en s’attardant