Levi Strauss

Plan de l’argumentation Claude Lévi-Strauss anthropologue et ethnologue français, écrivit en 2001 : « L’humanité s’installe dans une monoculture ; elle s’apprête à produire la civilisation en masse, comme la betterave. Son ordinaire ne comportera plus que ce plat. » Et vous, que pensez-vous de la mondialisation ? Quels sont ses avantages et ses inconvénients ? Claude Lévi-Strauss anthropologue et ethnologue français, écrivit en 2001 : « L’humanité s’installe dans une monoculture ; elle s’apprête

devenir un individu. Il suffit de voir ce que donnent les enfants sauvages. Leur équipement génétique semble intact et pourtant, ils marchent à quatre pattes, ils sont déformés et ne savent ni parler, ni communiquer, ni même regarder les autres. Lévi-Strauss(1) pense que les enfants sauvages illustrent ce que donnerait la nature humaine s’il n’y avait pas de culture. Pour un éthologue(2), c’est mal poser le problème que de le poser en termes de disjonction entre la nature et la culture. L’un sans

de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou les règlements." (Code Civil, art. 544) Si tant est qu’il soit possible de distinguer, au moins en principe, le naturel du culturel en l'homme, Claude Lévi-Strauss dans Les Structures élémentaires de la parenté, propose le critère suivant: Ce qui est naturel relève de lois nécessaires et est universel. Ce qui est culturel relève de normes conventionnelles et est relatif. Contingent/Nécessaire/Possible

contre ceux qui sont automatiquement exclus parce qu´ils ne satisfont pas tous les attributs revendiqués. Une norme produit par définition des a- normaux. Mais faire exister “l´autre” ou “l´étranger” entraîne des idées xénophobes. p.ex. Claude Lévi-Strauss, célébré par tous comme le penseur de la diversité et de l´unité de l´humain, defend, dans les années 1970, la “mutuelle intelligibilité” entre tous les humains et toutes les cultures. Conclusion: D’après un sondage de l’Ifop-Journal du 27

en garde sur l’égocentrisme. 2. Cette tendance à considérer sa culture comme souveraine (supérieure) et naturelle, c’est ce que Lévi-Strauss nomme l’ethnocentrisme. Il consiste à faire de sa propre ethnie, groupe ou culture, la référence absolue de tout jugement de valeur en infériorisant tout les hommes qui ne sont pas comme nous (étranger). Claude Lévi-Strauss distingue l’ethnocentrisme qui condamne, de l’auto-préférence. L’auto-préférence consiste à préférer sa culture à celle des autres sans

chose suivant certains principes et avec un certain ordre. Bibliographie : Eléments d’Anthropologie sociale et culturelle, Jean-Paul Colleyn, Edition de l’université de Bruxelles, 1998 http://www.mediadico.com Plan : I) Le structuralisme 1) Lévi-Strauss * L’ethnographie * L’ethnologie * L’anthropologie 2) Jean Piaget

de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou les règlements." (Code Civil, art. 544) Si tant est qu’il soit possible de distinguer, au moins en principe, le naturel du culturel en l'homme, Claude Lévi-Strauss dans Les Structures élémentaires de la parenté, propose le critère suivant: Ce qui est naturel relève de lois nécessaires et est universel. Ce qui est culturel relève de normes conventionnelles et est relatif. Contingent/Nécessaire/Possible

entoure, la nature, les gens, lesévénements : c’est aussi la façon dont ils créent. Cette co nception de la vie est déterminée pardeux sortes de phenomènes : les phènomenes de civilisation et les historiques. »Phènomenes de civilisation : Claude Lévi-Strauss « Partout (L’Afrique) nous reconnaissons un esprit, un caractère, une essence semblabes. Cet ensemble de caractéristiques forme le « styleafricain »

certains le tatouage est porteur d'un sens qui témoigne de la singularité de l'individu, pour d'autres il remplit une fonction de marque qui réfère directement à l'appartenance à une culture donnée. Wiener s'inspire du célèbre anthropologue Claude Lévi-Strauss pour avancer que les tatouages remplissent une fonction religieuse comme dans la tribu des Maoris en Nouvelle-Zélande. Ceux-ci ne sont pas seulement une marque d'appartenance ou de rang sociale ni un simple symbole, ils y sont présents à des fins

 Claude Lévi-Strauss TRISTES TROPIQUES (1955) NAMBIKWARA […] On se doute que les Nambikwara ne savent pas écrire ; mais ils ne dessinent pas davantage, à l’exception de quelques pointillés ou zigzags sur leurs calebasses. Comme chez les Caduveo, je distribuai pourtant des feuilles de papier et des crayons dont ils ne firent rien au début ; puis un jour je les vis tous occupés à tracer sur le papier des lignes hori­zontales ondulées. Que voulaient-ils donc faire ? Je dus me rendre à l’évidence :