Lévirat

considérée comme un être sans idée. La femme n’avait pas droit à l’héritage ni à la dot avant son mariage. L’homme pouvait se marier à autant de femmes qu’il désirait. Le divorce s’effectuait sans règle. L’homme pouvait hériter de sa marâtre : le lévirat. Le mariage pouvait avoir lieu entre deux familles par simple échange de filles ; sans donner la dot. II - Statut de la femme à l’avènement de l’islam. L’Islam a donné à la femme plusieurs de ses droits entre temps bafoués par diverses sociétés

généralement, est-elle un facteur de résistance au changement démographique L'Ancien Testament, une pensée populationniste ? Génèse : « Crossez et multipliez » Bilan : Les mesures qui favorisent la croissance démographique (nataliste) sont le lévirat, le pêché d'Onan, le recensement, Interprétation Le peuple élu et ses contraintes Le catholicisme est-il populationniste ? Génèse : « croissez et multipliez » Contraception « naturelle » (méthode Ogino) Sida : hostilité au préservatif

……………………………………. 22 - 23 2. La surcharge en travaux domestiques. ……………………. 24 B - Les violences psychologiques ……………………………… 25 1. Les violences discriminatoires ………………………….. 25 - 36 De l’éducation/formation De l’emploi/travail Succession et lévirat Du droit à la propriété Santé et sexualité La participation à la vie politique. 2. Les violences conjugales non brutales …………………. 36 - 38 2.1. Comportement du mari et de la belle famille 2.2. La polygamie. C - Les violences liées

parmi les immigrés musulmans d’origine malienne sont plutôt des pratiques coutumières liées au terroir africain des ressortissants de ce groupe social. Par exemple, la pratique du lévirat est un cas où la femme veuve est obligée d’épouser l’un des frères de son mari défunt (Lahouri 2). Tout comme la polygamie, le lévirat, qui est une sorte de mariage forcé, contribue aussi à la cristallisation d’une certaine image négative du musulman immigré en France. Etant donné que l’image que la culture majoritaire

les fétiches, les sacrifices... rien ne permet de leur donner le droit d'être parents. Ce qui, peut-être, a fait naître en elle un sentiment de jalousie vis à vis de Mariam, une femme que a héritée de son cousin décédé Lacina au nom du principe du Lévirat. Mariam, la seconde épouse de Fama, est la cause de l'hystérie de Salimata. Elle est belle, ensorcelante et très charmante : la femme parfaite pour le reste des jours d'un homme. Dans ses yeux vifs, on peut lire la tendresse et le tempérament d'une

|Ramatoulaye un sursaut de dignité. Comme une bête | |de Modou, venu demander sa |religion et la tradition qui autorise |refuse la demande en mariage |traquée par des chasseurs impitoyables, elle se | |main. |le lévirat et la soumission de la | |défend avec violence afin de survivre : elle | | |femme, Tamsir vient en conquérant | |s’émancipe

visite de Tamsir, le frère de Modou, venu demander sa main. Tamsir, à l’instar de tous les hommes du roman, considère la femme comme un « mets » qu’on savoure et qu’on se passe entre amis. Soutenue par la religion et la tradition qui autorise le lévirat et la soumission de la femme, Tamsir vient en conquérant Ramatoulaye blessée dans son amour – propre humilie Tamsir et l’imam, les représentants des forces qui assujettissent la femme. Elle refuse la demande en mariage Ce refus est le début d’un

les fétiches, les sacrifices... rien ne permet de leur donner le droit d'être parents. Ce qui, peut-être, a fait naître en elle un sentiment de jalousie vis à vis de Mariam, une femme qui a hérité de son cousin décédé Lacina au nom du principe du Lévirat. Mariam, la seconde épouse de Fama, est la cause de l'hystérie de Salimata. Elle est belle, ensorcelante et très charmante : la femme parfaite pour le reste des jours d'un homme. Dans ses yeux vifs, on peut lire la tendresse et le tempérament d'une

empêchements au mariage, mais les conjoints prohibés sont si nombreux que ceux qui ne le sont pas sont presque obligatoires, ces systèmes deviennent finalement un système prescriptif inconscient (systèmes crow-omaha). f. Lévirat et sororat On désigne le terme de lévirat la pratique par un homme d’épouser la veuve de son frère défunt. Cela permet au groupe du mari de garder les droits sur la femme et ses enfants. On appelle sororat le fait pour une femme célibataire d’épouser le mari de sa sœur

communes à la lutte menée contre le VIH-SIDA et à celle engagée contre les violations des principes de la liberté matrimoniale au Burkina Faso5. Parmi ces préoccupations, quelques pratiques socio-culturelles (notamment le mariage forcé, la polygamie, le lévirat et le patriarcat) et certaines discriminations sexistes6 au détriment des femmes (la plupart des victimes de mariage précoce sont de sexe féminin) peuvent être citées. Un renforcement des recherches, en la matière, s’avère donc nécessaire et intéressant