Lévirat

Fergusson Mac Lennan : reprend les thèses de Bachofen, en y ajoutant une 4ème phase : la monogamie qui selon serait le sommet de l’évolution humaine. C’est lui qui est à la base d’un certain vocabulaire anthropologique tel que : endogamie, exogamie, lévirat, polyandrie. -Lewis Henri Morgan (1818-1881) par sa fréquentation des indiens qu’il a longuement étudiés, établit dans son ouvrage Ancient society, trois stades dans l’évolution de l’humanité, chaque stade se subdivisant selon lui en trois autres

les fétiches, les sacrifices... rien ne permet de leur donner le droit d'être parents. Ce qui, peut-être, a fait naître en elle un sentiment de jalousie vis à vis de Mariam, une femme qu’a héritée de son cousin décédé Lacina au nom du principe du Lévirat. Mariam: la seconde épouse de Fama, est la cause de l'hystérie de Salimata. Elle est belle, ensorcelante et très charmante : la femme parfaite pour le reste des jours d'un homme. Dans ses yeux vifs, on peut lire la tendresse et le tempérament d'une

répudier , ou choisir une concubine qui portera fictivement les enfants de l'épouse initiale . A l'exception de ces enfants choisis , les enfants éventuels de cette concubine n'auront aucun droits successoraux . Il existait la loi dite du « lévirat » selon laquelle une femme veuve et sans enfants du défunt était dans l'obligation d'épouser un membre de la famille du défunt dont le premier enfant issu de cette union serait considéré comme fils du défunt dans l'objectif de perpétuer la descendance

commerciale, ce n’est pas la . Le lévirat a également existé chez les tribus berbères, où le droit de la femme à l’héritage n’est pas respecté. La coutume veut que la veuve n’hérite pas. Elle retourne dans sa famille ; et ses enfants restent dans la lignée du père. La veuve mère de garçons ne peut rester auprès de ses enfants que si elle accepte de ne pas épouser un homme étranger à la lignée de son époux. Lorsqu’un des frères de son défunt est célibataire, le lévirat se présente alors comme « la solution

constituent la trame de l'organisation sociale globale. Il y a toujours le tabou d’inceste, car le mariage est une des formes d’échanges symboliques. La prohibition de l’inceste est essentielle pour rendre des échanges sociaux et culturels possible. Lévirat Institution qui prescrit le remariage d'une veuve avec un frère cadet de l'époux qui vient de mourir. Un tel dispositif restitue à la femme sa place au sein de sa belle-famille, sauvegarde sa sécurité matérielle et celle de ses enfants. Sororat

Disgrâce), tous motifs qui bien entendu n'ont rien à voir avec l'orthodoxie néoconfucianiste. Quelques auteurs ont également évoqué, pour expliquer le statut de la femme chinoise traditionnelle, l'influence de coutumes étrangères, et notamment le lévirat mongol, c'est-à-dire la pratique qui consistait à faire épouser à la veuve le frère cadet de son mari. Cette politique fut rapidement abandonnée, mais elle contribua à imposer l'idée que la femme est propriété 210 La condition féminine traditionnelle

Sénégal - Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal - Union des travailleurs libres du Sénégal -Madia Diop Consumérisme au Sénégal : Association des consommateurs du Sénégal ASCOSEN- Femmes : Histoire des femmes au Sénégal -Polygamie - Lévirat -Musée de la Femme Henriette-Bathily - Ndaté Yalla - Aline Sitoé Diatta -Mame Madior Boye -Marie-Angélique Savané - Awa Marie Coll Seck - Rose Dieng-Kuntz Santé au Sénégal : École de médecine de l'AOF -Paludisme - Sida - Psychopathologie africaine - Moussa

est inconcevable comme être singulier. Il existe par le groupe et s'accomplit à l'intérieur de ce dernier. C’est cette conception de communauté qui explique certaines pratiques dans les sociétés traditionnelles africaine comme le partage social, le lévirat et le sororat. En fin on peut ajouter Les religions sociales asiatiques orientées vers la recherche de l’harmonie sociales. La conception asiatiques des libertés fondamentales s’oppose à la conception individualiste, comme on peut le constater

plusieurs femmes pour des raisons politiques, économiques entre autres et la polyandrie généralement dans les sociétés qui manquent de femmes comme chez les Toda en Inde. Mais certaines règles sont parfois impératives pour le mariage secondaire tel le lévirat, la veuve devant épouser le jeune frère de l’époux décédé comme en Afrique ou plus rare, le sororat, le mariage secondaire d’un veuf. Mais chez certains peuples, le mariage n’existe pas comme chez les Na. Ego pour se marier devra donc obéir à des

solutions proposées. L’on retiendra pour l’essentiel qu’une telle réforme de la matière est généralement souhaitée par tous. Parmi d’autres, l’institution du Conseil de Famille mériterait d’être aménagée, à défaut d’être supprimée. La pratique du lévirat est si généralement décriée qu’elle ne saurait être maintenue dans le Code. Pas davantage, la discrimination entre les co-épouses (partage de l’usufruit proportionnellement au temps passé, représentation par la plus ancienne au Conseil de famille)