Liaison

assemblages précédents. Compte tenu des liaisons réelles, nous avons retenu la modélisation suivante. Ce modèle comporte deux boucles cinématiques. On peut montrer qu'il est hyperstatique d’ordre 3. Les contraintes d’assemblages sont construites pour être correctement interprétées par MotionWorks : Exemples : - Une coïncidence point-point sera interprétée comme une liaison rotule ; - une coïncidence point-ligne sera interprétée comme une liaison linéaire annulaire ; - une coïncidence

posé sur le bureau, linéique rectiligne, ou linéique circulaire, comme par exemple, une craie posée sur le bureau et une bille dans une goulotte de même diamètre, ponctuel, comme par exemple, une bille posée sur le bureau. - I–3 Liaisons : Une liaison parfaite est la modélisation d’un assemblage entre 2 solides tel qu’il n’existe pas de jeu entre les 2 solides et que le contact est supposé sans adhérence. II – DEGRES DE LIBERTE : Dans l’espace, les mouvements possibles que peut faire

Déterminer et tracer VJ8/1. 2.6) Déterminer et tracer VM8/1. 2.7) Conclure quant au respect du cahier des charges. 3) Détermination de la section de l’outil central. Hypothèses : - L’outil est assimilé à une poutre encastrée au niveau de la liaison avec 4. - La section de l’outil est supposée constante. Données : - Les actions mécaniques de la pièce de bois 36 sur l’outil 35 sont modélisables par un torseur dont les éléments de réduction en P s’écrivent : 0 0  (3635) = -600

peut être facilement pris en compte avec le logiciel, ainsi que celui du moteur. • Imposer un mouvement de la vis à vitesse constante 360°/s • Lancer une animation pendant 25s • Editer le graphique de sortie et notamment le couple moteur dans la liaison axemoteur/vis sous l’intitulé force d’entraînement « UKIN3.1 ». • Exporter vos mesures sous Excel et compléter le fichier. B3 – Analyse des résultats 30min Faites apparaître sur le même graphique Cm = f (θ ) - Méthode expérimentale à l'aide

gravité est situé sur l'axe de rotation Le solide tourne à la vitesse angulaire ( autour de l'axe de rotation (A, z), le centre de gravité G est sur cet axe et a est l'accélération angulaire du mouvement. Ax et Ay sont les actions exercées par la liaison pivot sur le solide. JG est le moment d'inertie du solide par rapport à l'axe (G, z) qui est aussi l'axe de rotation. a) Énoncé La première et la troisième loi restent identiques à celles du paragraphe 1. La deuxième loi s'énonce: |[pic]

converties en liaisons ce qui apparaît dans la boîte de dialogue Messages de COSMOSMotion qui peut être fermée. Remarque : une autre façon de déplacer une pièce est de la sélectionner dans le panneau à droite, de cliquer à l’aide du bouton droit de la souris et de sélectionner soit Pièce Mobile soit Pièce du bâti suivant ce que l’on souhaite. Remarquer que l’arbre de modélisation de COSMOSMotion s’est alors enrichi de nouvelles branches correspondant aux pièces ajoutées et aussi aux liaisons obtenues

d’établir par une étude du mécanisme (graphe de liaisons, schéma cinématique) s’il est possible de déterminer les efforts qui agissent entre les différents solides du mécanisme ou pas. Le résultat obtenu par calcul permettra de déterminer si le mécanisme est dit : - Isostatique (h =0) : il est possible de déterminer toutes les inconnues de liaisons. - Hyperstatique (h >0) : il n’est pas possible de déterminer toutes les inconnues de liaisons car il y a plus d’inconnues que d’équations disponibles

Module 3 Liaisons par éléments roulants La solution constructive qui réalise une liaison pivot est appelée guidage en rotation. 1- Fonctions à assurer Pour établir un guidage en rotation entre deux pièces d’un mécanisme, la solution constructive adoptée doit assurer les fonctions suivantes : Positionner les deux pièces entre elles; Permettre un mouvement relatif de rotation autour d’un axe; Transmettre les efforts; Résister au milieu environnant. 2- Moyens de mise en œuvre d’un guidage

prévision passe par l'élaboration d'un modèle de comportement. Support de ce TP. Le support utilisé pour la suite est une catapulte. Fonctionnement : Pour projeter les balles en plastique (3 types), on arme le bras de la catapulte, qui est en liaison pivot avec le bâti ; on tend alors l'élastique préalablement positionné; on place la balle dans un des 3 emplacements prévus à l'extrémité du bras. On lâche, l'élastique se détend et accélère le bras jusqu’à ce que celui-ci heurte la butée avant.

mécanisme Schéma cinématique : Description des liaisons : - la porte 1 en liaison pivot en O avec le bâti 0, - le corps 1 fixé par vis sur la porte, - le bras 2 en liaison pivot en A avec le corps 1, - le tendeur 3 en liaison rotule de centre B avec 2, - le poignet constitué des pièces 4 et 5, 4 est en liaison hélicoïdale avec 3 et en liaison pivot avec 5, - la chape fixée sur le cadre 0 est en liaison pivot en C avec 5 - le piston 6 en liaison pivot glissant avec le corps, - le ressort 7 en appui