Liberté Nietzsche Sartre

et le droit ; l'État. • La morale : la liberté ; le devoir ; le bonheur. b)  Série économique et sociale • Le sujet : la conscience ; l'inconscient ; autrui ; le désir. • La culture : le langage ; l'art ; le travail et la technique ; la religion ; l'histoire. • La raison et le réel : la démonstration ; l'interprétation ; la matière et l'esprit ; la vérité. • La politique : la société et les échanges ; la justice et le droit ; l'État. • La morale : la liberté ; le devoir ; le bonheur. c)  Série scientifique

de telle sorte à traiter autrui toujours en même temps comme une fin et jamais seulement comme un moyen. » (Kant, Les Fondements de la métaphysique des mœurs) - « Et chercher, sur la terre un endroit écarté, ou d’être homme d’honneur, on ait la liberté » (Alceste, Molière, Le Misanthrope) - « Ce qui, dans une société encore un peu grossière, est l’ouvrage d’un seul homme, devient, dans une société plus avancée, la besogne de plusieurs. » (Adam Smith, Recherches sur la nature et les causes de la

L’homme et le monde La question de l’homme, l’homme comme question. Nietzsche relevait, dans la formule « l’homme et le monde » une incongruité telle qu’elle le faisait éclater de rire[1]. Quelle prétention, ce minuscule « et » unissant deux réalités parfaitement incommensurables ! Quoi ? comment penser dans une même phrase l’infinité et la puissance du monde et la minuscule créature humaine qui, seule sur son ridicule rocher s’arroge le droit d’interpeller l’univers dans un « y’a quelqu’un

enlaidis de l’homme feignant l’ignorance de sa finalité, devenant ainsi bien plus monstrueux que le monstre lui-même. Il est important de noter la contribution des philosophes existentialistes dans la réflexion sur la mort, pensons à Kierkegaard, Nietzsche, Schopenhauer, Heidegger, ou même Marcel. Notons que la philosophie existentialiste n’est pas un univers homogène et qu’elle compte plusieurs écoles de penser. Régis Jolivet dira que « l’existentialisme, par le jeu même de ses méthodes d’analyse

Année 2007-2008 Thème : La liberté L’idée de liberté fondamentale Par Arnaud Villani Avant de songer à engager le problème de la liberté sur les chemins classiquement complexes du libre-arbitre et de la nécessité, faisons d’abord cette remarque que la liberté se présente le plus souvent comme un grand embarras. « La liberté, mot détestable ». Et, puisque tout accès direct semble barré, l’épreuve intérieure de la liberté ne faisant surtout pas preuve, l’atmosphère de toute discussion sur ce sujet

nourrissant des rêves d'une force, d'une grandeur, d'une puissance futures, par lesquelles il espère dépasser un jour les adultes de son entourage et leur montrer sa supériorité. Par cette déduction génétique Adler confirma la doctrine que Nietzsche avait résumée dans les formules de Wille zur Macht et Wille zum Schein - volonté de puissance et volonté de paraître. Mais loin de glorifier ces tendances, Adler cherchait à les combattre avec les armes du psychiatre et du pédagogue ; car l'individu

communistes. (p. 259 sqq) Puis pour la situation dans l’immédiat après-guerre, le point de vue des historiens est plutôt négatif ou plus précisément il prend la forme d’un constat : la disparition du surréalisme après 1939, comme déjà l’avait diagnostiqué Sartre au lendemain de la guerre dans « Situation de l’écrivain en 1947 » en associant paradoxalement le destin de Breton et celui de Drieu : Tous ont été victimes du désastre de 1940 : c’est que le moment de l’action était venu et qu’aucun d’eux n’était

d’inconnu, et donc livré à tous les imaginaires, par opposition au passé trop commun et rabâché. Pourtant, négliger le passé peut être un danger et peut-être que l’obstacle est plutôt le présent et ce qu’il peut être. Auteurs en référence : Nietzsche, Aron, Sartre (liberté, projet) Plan proposé : I. Dans le passé, pas d’avenir II. Sans conscience du passé, pas d’avenir III. Autres conditions : avoir un futur est différent d’avoir un avenir I. Dans le passé, pas d’avenir Oublier = ignorer, ne pas tenir

l'homme peut décider de manger ceci plutôt que cela. Il va comparer les aliments entre eux et décider d'en goûter certains. Ce que veut noter Kant, c'est que l'homme s'essaye tout d'abord à la liberté avec la nourriture. D'ailleurs, souvenons-nous que tel est également le cas dans le mythe de la Genèse. La liberté fait commettre à l'homme sa première erreur : manger du fruit défendu : "La femme vit que l'arbre était bon à manger et qu'il était agréable aux yeux et que l'arbre était complaisant à contempler

individu serait alors défavorable voir empêchée par autrui, Rimbaud écrit que « Je est un autre » autrui serait alors un obstacle à la liberté et réduirait l’individu à l’état d’objet qu’il pourrait manipuler, surtout au plus jeune âge. Il y a la un risque d’être absorbé par autrui, qu’il m’aliène et fasse de moi ce que je ne suis pas. « L’enfer, c’est les autres » disait Sartre, en conséquence, il est nécessaire d’établir une distance à l’égard d’autrui. La solitude est une chance. Mais il faut bien distinguer