Liberté Obstacle Bonheur

propre fonctionnement ainsi que ses limites. On peut considérer que le corps serait un obstacle à l'épanouissement de l'âme (I), or c'est en fonctionnant ensemble que l'âme et le corps auraient le plus de chance d'assurer le bien-être de l'Homme (II), malgré le fait que le corps, bien que nécessaire, reste sublimé par l'âme (III). Cette première partie traitera donc du fait que le corps paraît être un obstacle à l'épanouissement de l'âme. Tout d'abord, car il peut être un frein à l'accès à notre

____________________________________________________________ _______________ ____________________________________________________________ _______________ Chaque individu possède au moins un désir, sinon une expérience de ce qu’il nomme liberté. Le concept est cependant difficile à définir : il concerne des domaines différents. Etre libre, c’est être dans l’incapacité d’être dominé par un homme et d’en dominer un autre. Dans l’opinion général, un monde utopique serait un monde ou chaque

sagesse, vérité Sentiment, expérience Bonne volonté Objet de l’éducation morale Idée du bien Indépendance et égalité (=liberté, amour de soi) La loi morale, (principe d’universalité) Origine du mal Ignorance, précipitation Comparaison (amour propre) Désirs d’exception (à la règle) Finalité de Harmonie équilibre mesure Accords avec soi même, amour de soi, bonheur Autonomie, cohérence de la volonté (caractère) Sentiment moral privilégié L’amour (4banquet) La pitié Le respect Orientation

mérite celui qui convoite des choses étrangères. Telle est la route qui conduit à la liberté, le seul moyen de nous affranchir de l'esclavage." ÉPICTÈTE La question Elle peut se formuler tout simplement : « qu'est-ce qu'être libre ? ». Pour répondre à cette question, on peut être tenté d'opposer une liberté absolue mais jamais réellement atteinte (l'homme libre ne connaîtrait nulle contrainte) à une liberté possible, mais relative (serait libre celui qui conserverait une part d'initiative suffisante

I- La confiance empêche une recherche de la liberté et peut aveugler les personnes La confiance est présente dans notre société, dans toutes les situations : dans l'amitié et dans l'amour. Cependant, cette confiance se base sur nos sentiments envers la personne en face de nous. Ainsi, la confiance ne peut être bénéfique à une recherche de la liberté et peut aveuglé notre perception du monde. En effet, les bases de la confiance sont les sentiments . Cependant, nous le savons, les sentiments ne sont

majeure du combat des Lumières car dans son article « Encyclopédie » placé en tête de l’œuvre annonce les sujets de celle-ci et nous pouvons voir qu’il aborde surtout une critique du fanatisme religieux et politique et un éloge de la raison et de la liberté d’esprit. Diderot relie donc son projet avec les grands combats des Lumières. Pour pousser l’expérience plus loin, il décidé de mettre toutes les informations contenus dans son Encyclopédie par ordre rationnelle, il fait donc encore une fois appel

soi-même et de calculer ce qui peut nous faire plaisir de manière à ce que notre âme ne soit pas troubler. Épicure administre un quadruple de remèdes : ne pas craindre les dieux, la mort, la douleur et de ne pas craindre également, de passer à côté du bonheur. Le tout est de ne pas être troublé par les désirs : c'est ce qu'on appelle l'ataraxie, c'est-à-dire l'absence de troubles de l'âme. Le désir est source de malheur, il réduit l'homme à la douleur et au chagrin. Ce dernier passe par plusieurs

elle-aussi désir de persévérer dans son être (elle est « nature naturante ») et la réalisation de son conatus est la production d'elle-même. La Nature se produit elle-même. Elle peut le faire, du reste, sans limite car, infinie, elle ne rencontre aucun obstacle. L'homme, en tant que partie de la nature, est, lui aussi, animé par ce désir de production de lui-même. Le conatus se manifeste en lui tant au niveau de son corps qu'au niveau de son âme. En tant que corps, il cherche à vivre le plus longtemps possible

jamais, ils restent dans l'inconscient. Les désirs sexuels sont ceux qui sont le plus susceptible d'être refoulés. La théorie de l'inconscient prétend donc que la conscience est très peu responsable du comportement humain. Cette théorie nie toute liberté consciente, puisque nos actions sont dictées par notre inconscient. Freud présente aussi un deuxième modèle de l'appareil psychique, qu'il nomme "Le moi et le ça". Le ça est situé dans l'inconscient, et est constitué des pulsions sexuelles et des

d’une cité : par conséquent c’est soit une bête soit un dieu »9. Il est soit un dégradé, soit un être surhumain. Après avoir élucidé la conception d’Aristote selon laquelle l’homme est un animal civique, scrutons maintenant celle selon laquelle le bonheur de l’homme se construit seulement dans la cité. 2- La cité naturelle selon Aristote comme le lieu de réalisation de l’homme. Le terme aristotélicien de “cité’’ traduit le grec “polis’’ qui peut désigner la ville, considérée avec ou sans l’arrière-pays